Une aide qui vient de l’au-delà

« Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire. » Ainsi parlait Jean Jaurès, un homme anticlérical sans être pour autant antireligieux, un philosophe expérimenté, un homme politique noble de cœur qui a pourtant été lâchement assassiné en 1914. Alors qu’il se restaurait en compagnie de ses amis, un nationaliste français commandité par la haine, Raoul Villain, l’a tué de la manière la plus lâche à la veille du déclenchement de la Première Guerre mondiale. En véritable héros politique de son temps, Jaurès tentait d’empêcher le massacre des 10 millions de morts, des 19 millions de blessés graves et des 10 millions de mutilés que cette horrible guerre allait causer et durant laquelle 900 jeunes Français allaient mourir chaque jour dans la boucherie des champs de bataille. En visionnaire lucide et informé, Jean Jaurès avait anticipé l’ampleur d’une telle catastrophe. Achetée par les forces machiavéliques qui souhaitaient la guerre totale avec l’Allemagne, la presse, tant parisienne que provinciale, avait tant caricaturé ses propositions et tant comploté contre la noblesse de ses idées qu’elle avait réussi à monter l’opinion des masses ignorantes contre lui. Sa tragique disparition mit brutalement fin aux derniers espoirs de paix. Qu’en est-il aujourd’hui? Dans un tweet récent qui a rapidement fait le tour du monde, Elon Musk, le PDG de Space X et Tesla, nous met en garde, je cite : « Ils veulent un holocauste de l’humanité entière ». Qui sont-ils? Qui veut un nouvel holocauste, un nouveau sacrifice diabolique? Les mêmes individus qui ont fomenté et suscité l’élimination de Jean Jaurès en 1914 vont-ils encore tenter d’éliminer ceux qui font tout pour empêcher la Troisième Guerre mondiale en 2024, près d’un siècle plus tard?

D’une manière ou d’une autre, et à toutes les époques, les individus qui veulent la guerre font tout pour éliminer les gens qui veulent la paix. L’histoire se répète, semble-t-il, car les pacifistes n’ont pas l’air d’avoir meilleure presse de nos jours. À cause de ses déclarations pacifistes, Robert Fico, l’actuel premier ministre de Slovaquie (république parlementaire de 6 millions d’habitants faisant partie de l’Union européenne depuis 2004) se remet actuellement d’une tentative d’assassinat. Il n’est pas surprenant que les membres des complexes militaro-industriels et pharmaceutiques d’Occident tentent de le supprimer puisque, en tant que président slovaque, Robert Fico a le courage de s’attaquer ouvertement à la mafia des fabricants de vaccins; en outre, il s’est toujours opposé aux livraisons d’armes au régime otano-bandériste du régime de Kiev. À l’instar du grand Jean Jaurès, Fico préfère risquer son statut de chef d’État, et sa vie, en se battant sur la table des négociations plutôt que de voir les Russes et les Ukrainiens (ainsi que le reste du monde) s’autodétruire en enrichissant les marchands de missiles cachés dans leurs villes souterraines. Souhaitons-lui un prompt rétablissement et que la paix des nations puisse cette fois être sauvée.

Mais il n’y a pas que les pacifistes qui sont la cible des régimes nazis aujourd’hui. De plus en plus de médecins, fidèles à leur serment d’Hippocrate, osent désormais sortir du placard et dire enfin la vérité sur les dangers du déploiement des vaccinations; ceux-là aussi sont à risque. Ils ne font pourtant que dire la vérité en témoignant de la dictature du réel : alors que le vaccin d’AstraZeneca contre le COVID 19 vient d’être retiré en catastrophe dans le monde entier à la suite du trop grand nombre de vaccinés victimes d’effets neurotoxiques graves, voire mortels (c’est pour ça que plus personne ne veut l’acheter), l’Institut National de Médecine (le NIH) vient de révéler dans un aveu explosif que ses chercheurs ont bel et bien rendu les coronavirus plus infectieux, et donc beaucoup plus viraux, par des manipulations génétiques de gains de fonction! C’est énorme. L’affaire est désormais déclassifiée. De nombreuses personnalités réclament l’arrestation immédiate du docteur Anthony Fauci (directeur du NIH), ainsi que de tous les éditorialistes qui l’ont soutenu à travers le monde, pour crime contre l’humanité et pour les mensonges sur le financement du laboratoire du Wuhan (info : qactus.fr, A, Fauci, J. Biden, USA). Le fait que dans tous les pays de l’OTAN la presse grand public reste muette au sujet de ce scandale d’État en dit long sur l’état de délabrement et de compromission de nos médias de grand chemin (surtout en France et au Canada où la censure est quasi totale). Ne nous étonnons plus qu’une grande partie de la population ne fasse plus du tout confiance aux grands médias corporatifs et réclame un débat sur la question du danger des vaccins ARNm de toute urgence.

Le monde est malade. Le sommet de la déviance et de la dégénérescence de l’Occident vient d’être atteint : selon le standard 2017-2030 pour l’éducation sexuelle de l’OMS, on va désormais considérer que les bébés de zéro à 4 ans ont la capacité de dire si oui ou non l’expérience sexuelle ou le ressenti est déplaisant. Le saviez-vous? C’est la stratégie officielle de santé sexuelle signée par le gouvernement français. Ce standard est également signé par les gouvernements des pays de l’OTAN (la France et le Canada sont de grands contributeurs financiers de l’OMS). La pédophilie est donc déjà entrée officiellement dans notre constitution. On voit que le tissu social est en train de se dissoudre sous nos yeux. Que pouvons-nous faire? Cette maladie du petit monde occidental est-elle un reflet de ce que nous portons à l’intérieur de notre cœur, au tréfonds de notre conscience? Le reste de la planète se moque de nous. Sommes-nous du côté du problème ou du côté de la guérison? Il y a tellement de choses à guérir. On pourrait sans doute commencer par ne pas faire aux autres ce que nous ne voudrions pas que les autres nous fassent. Ce serait au moins un bon départ puisque, si nous appliquons le principe d’équivalence des lois thermodynamiques, tout ce que nous faisons aux autres doit nous revenir automatiquement tôt ou tard. « Celui qui vit par l’épée périra par l’épée », disait déjà le plus grand des saints prophètes de Palestine il y a plus de deux millénaires. Cette loi physique de rétribution est-elle encore d’actualité? Scientifiquement oui, mais politiquement non. C’est donc à nous de décider si nous choisissons de faire confiance aux politiciens véreux ou aux honnêtes savants sans conflits d’intérêts et qui ne sont pas encore actionnaires de l’industrie du Big Pharma.

Avant de décéder à 90 ans, le célèbre professeur biologiste et virologue Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, a été le premier à prévenir l’humanité dès 2020 : « Surtout ne vous faites pas vacciner! », disait-il à qui avait des oreilles pour l’entendre. Avant d’être odieusement censuré sur toutes les grandes chaînes de télévision, il affirmait que d’après les études de plusieurs laboratoires indépendants, de nombreuses fioles d’injections d’AstraZeneca renfermaient des fragments du virus du sida, de l’ADN en masse, plus un gène cancérigène mortel. Dans le même temps, en France, le ministre de la Santé Olivier Véran, de même que l’inénarrable Christian Dubé au Québec, affirmaient avec un cynisme terrifiant sur tous nos écrans de TV que le vaccin AstraZeneka était absolument sans danger! Qui voudrait naïvement prendre le risque de se faire injecter, et faire injecter dans le sang de ses enfants ou de ses ainés, des fragments du virus du sida ou d’un gène produisant des turbocancers? Personne, évidemment, sauf ceux qui cherchent à se suicider de mort lente. Hélas, des centaines de milliers de gens ont fait la queue pour se faire vacciner et ont cru de bonne foi leurs docteurs et leurs infirmières, sans avoir jamais eu l’idée de leur demander la liste complète des ingrédients de ces injections aujourd’hui retirées en vitesse du marché, presque en catimini. À la suite des aveux récents du plus grand centre de recherches biomédicales dans le monde, le NIH, en qui allons-nous placer notre foi désormais? Où est la vérité? Qui la détient? Qui la recherche? Qui veut se sortir la tête du sable de la technocratie totalitaire?

Le monde moderne est arrivé à un tel degré de confusion, de compromission d’État et de crime corporatif qu’il est devenu nécessaire de trouver en nous-même l’énergie de la foi. Mais attendez, ne tournez pas la page tout de suite, je ne parle pas ici d’une foi basée sur des croyances imposées par des conditionnements extraculturels ou par des professions religieuses institutionnalisées. Religieuse ou pas, la foi est de toute façon une force intérieure, une énergie privée qui ne dépend que de nous-même. Si les déviations bien connues de ce qu’on nomme la religion font encore obstacle aux clartés de l’esprit, si la force de la foi n’est pas spontanée, intuitive, si elle n’agit pas sur notre vie intérieure personnelle, si elle ne fait pas surgir des profondeurs de l’être nos plus secrètes vibrations dans un jaillissement d’espoir en l’infini, alors la foi reste faillible, réductionniste, calculatrice, artificielle, fragile, voire sectaire, et ce n’est pas la vraie foi, mais un simulacre de foi.

En ce qui concerne le domaine de l’énergie de la foi réelle, chacun sait que le fanatisme religieux demeure le plus grand ennemi de la vérité. La foi dont il s’agit ici est donc plutôt une sorte de certitude, d’ouverture, de plénitude intérieure, une sensation précise, universelle, fluide, naturelle, une force substantielle qui grandit en nous comme un arbre de vie. Les témoignages des saints de toute tradition nous disent que la foi semble être une lumière qui nous éclaire comme un soleil. C’est une force indépendante et volontaire qui se développe d’elle-même, par elle-même et pour elle-même. Elle n’a de comptes à rendre qu’à elle-même et elle n’oblige personne à croire en elle. Elle est libre. Elle est thérapeutique.

D’après les données les plus récentes, presque 50 % des Occidentaux avalent des antidépresseurs afin de supporter le rythme de la vie actuelle. Les régimes matérialistes nous vendent des drogues pour que nous puissions supporter la pression psychologique provoquée par ces systèmes de société. C’est un cercle vicieux. Pour se protéger et guérir de l’angoisse existentielle qui nous écrase consciemment ou non, il est devenu urgent de redécouvrir l’énergie de la foi et de croire en la vérité. Ceux qui possèdent ce genre d’énergie nous disent que c’est la redécouverte de la foi qui peut précisément déclencher un jour la descente d’une aide venue d’un réalisme non physique, situé au-delà de la conception matérielle de la matière elle-même.

Détail important : ils nous précisent également que l’au-delà étant en nous il ne faudrait pas faire l’erreur de le chercher ailleurs qu’en nous. La percée du supramental divin dans l’inframental humain est une réalité non physique, mais réelle. Nul ne pourrait dire exactement ce que cela signifie puisque ni aucun concept scientifique ni aucun livre de philosophie ou de spiritualité ne sera jamais exhaustif à ce sujet dans l’univers. De plus, les fondateurs des grandes spiritualités nous préviennent que toutes les belles histoires qu’on nous raconte dans nos anciennes écritures sacrées sont paraboliques, c’est-à-dire symboliques. Par conséquent, il n’est pas recommandé de les déchiffrer ou de les assimiler au premier degré, mais au contraire de chercher à déceler leurs secrets ésotériques. L’esprit pénétrant sera toujours plus important que la lettre écrite.

Quoi qu’il en soit, une chose reste certaine : croire en la vérité signifie croire en la toute-puissance de la lumière et de l’amour. Pourquoi? Parce que le simple fait d’avoir l’intention de se tourner vers la lumière de l’âme produit instantanément en nous un effet bienfaisant. Avoir la foi en la vérité et en l’amour fait du bien. On ressent instantanément la solidité de notre immensité spirituelle, on constate l’inébranlable fondation de notre temps éternel. Cette sensation nous donne le courage de « vouloir » la vérité avec moins d’indifférence et plus d’intensité. Mais avec une intensité libre de tout attachement à ce qui n’est pas immortel. La vérité est une puissance incommensurable qui demeure à l’état latent en chacun de nous. Intuitivement, beaucoup de gens y croient; beaucoup de gens croient, sans le dire, en leur partie divine malgré l’étalage criard des propagandes matérialistes tous azimuts qui écrasent l’industrie culturelle actuelle. Même si elles n’en parlent pas ouvertement, les personnes qui aiment la vérité sont légion.

Quoi qu’il puisse nous arriver, quelle que soit la nature des réactions agréables ou désagréables de nos actions passées, ou de nos vies passées, on se sent bien quand on ne se ment pas à soi-même, quand on ne se trahit pas soi-même. Seul un petit nombre choisit la maladie du mensonge. En contrôlant le monde par la peur, ou en accusant les autres des crimes qu’ils commettent eux-mêmes, ils en tirent du pouvoir. Mais c’est un pouvoir qui porte en lui le germe de sa propre destruction. Des documents récents sortis de la CIA révèlent que nous vivons dans un monde à cinq dimensions. Cela signifie qu‘en tant qu’humains, nous avons la capacité de créer notre propre réalité. La CIA sait que si nous exprimions tous plus d’amour spirituel, toute notre réalité changerait et que tout serait transformé. Les régimes matérialistes en perdraient leur pouvoir. Plus les gens qui aiment sont harmonieux, plus ils deviennent puissants en s’unissant. Pourquoi pensez-vous que les élites de l’hyperclasse font tout ce qu’elles peuvent pour maintenir le monde divisé par le racisme et les grandes menaces climatiques ou l’arnaque des pandémies? À l’opposé, l’intelligence intuitive de la vérité vibre à une fréquence beaucoup plus haute; l’intuition de la vérité est une force des millions de fois plus puissante que l’intelligence cérébrale du mensonge. L’imagination est bien plus puissante que la volonté. Une seule petite pensée lumineuse peut détruire des milliers de pensées négatives en un rien de temps. Même une toute petite étincelle parvient à repousser les ténèbres d’un bunker complètement obscur.

Souvent, ceux et celles qui font directement l’expérience de vivre dans la vérité disent qu’il suffit tout simplement d’appeler la « lumière de la présence du cœur » pour qu’elle se manifeste. « Frappez et on vous ouvrira », c’est ce que proposent les équations évangéliques depuis deux mille ans. On entend dire parfois : « J’ai frappé et personne n’est venu m’ouvrir! » La solution est qu’il ne faut probablement pas frapper n’importe comment. « Apprenez à frapper d’une certaine manière », disent les maîtres de la conscience. Il doit y avoir un prérequis pour que « ça » fonctionne et pour que le portail s’ouvre. Il faudrait au minimum avoir le courage de partir à la recherche de la cohérence du cœur, faire sauter les cadenas émotionnels, enlever les scellés mémoriels et assécher les cicatrices traumatiques des blessures encore saignantes et non cicatrisées. En outre, il faudrait ne plus se sentir blessé à cause de l’importance que l’on s’accorde, anéantir la haine de Dieu et commencer à l’aimer en s’aimant soi-même puisque par constitution nous sommes une transformation d’une de ses énergies. On ne peut quand même pas accuser l’infini d’aucun écart de conduite. Il faudrait aussi ne plus craindre l’opinion publique. Tout se passe comme s’il fallait avoir l’audace de demander, d’appeler la lumière intensément, avec ferveur, mais sans rien attendre en retour, avec modestie, avec une certaine pudeur, une noble retenue, comme avec une sorte d’effacement de soi devant la présence d’un plus grand Soi que soi.

Avoir le désir de lumière, c’est très probablement avoir le désir de Dieu, mais sans ambition religieuse grandiloquente, sans couronne dorée de style nouveau-riche, sans arrogance kitsch, sans mauvais goût, sans clinquant tapageur ou faux-semblant, sans se croire le seul détenteur de la vérité, sans condescendance, et en acceptant que les spiritualités différentes de la nôtre puissent avoir plusieurs concepts importants à nous apprendre. Les dévots de Krishna pourraient ainsi apprendre beaucoup des traditions chrétiennes authentiques, et vice-versa. Les bouddhistes pourraient apprendre beaucoup des saints musulmans, et vice-versa. Pareillement, s’ils parvenaient un jour à se parler calmement et sans se défier à chaque phrase, les biologistes pourraient aussi apprendre beaucoup des physiciens. Une aide certaine vient de l’au-delà quand on commence à se considérer soi-même comme le premier responsable de tous nos conflits; on comprend alors un peu mieux pourquoi les choses se passent comme elles doivent se passer, un point c’est tout. On commence aussi à traiter tous ceux que nous rencontrons comme si le succès de notre vie intérieure dépendait entièrement de la qualité de notre relation avec eux. On nourrit un idéal, mais on ne peut pas le forcer à se manifester.

C’est l’idéal que nous cultivons qui nous invite un jour. L’invitation survient quand on commence à sonder les profondeurs de l’être, quand on prépare son esprit à accueillir le mystère, quand on s’enquiert sans exiger, quand on se recommande à plus grand que soi, en soi, et qu’on se place sous la protection du Grand Esprit de l’Univers. On l’appellera comme on est en mesure de l’appeler; ce qui importe le plus c’est de l’appeler comme si cet Esprit était déjà parmi nous, en nous, et nous en lui. Il arrive un moment où on se demande si la prière n’est pas juste un dialogue avec une symphonie qui se joue au-delà du silence. À ce niveau, le Nom de Dieu n’est plus différent de Dieu. Rien n’est plus à côté, séparé, tout est ensemble, uni, épousé. Il n’y a plus de divorce entre les âmes. La séparation devient union. L’action devient inaction. Le Mystère n’est pas différent du mystère. L’Infini parle au fini. L’indéfinissable se redéfinit. Le sans-nom accepte de porter un nom. Le sans-forme reprend forme. L’invisible redevient visible. Avec cette aide qui vient de l’au-delà, tout est possible. Tout est déjà reçu : « Priez comme si vous aviez déjà reçu », disait Jésus. Et si c’était vrai? Si c’est vrai et que vous priez vraiment comme si vous aviez déjà reçu, alors attendez-vous à un miracle.

Le seul fait de demander humblement, en privé, dans le secret de l’âme, redonne le courage de désirer la vérité. On s’adresse à un pouvoir supérieur tout-puissant, à Quelque Chose de plus grand que nous, Quelque Chose d’infaillible, d’absolu, un idéal super-subjectif infaillible. Une fois que nous suivons cette voie tout intérieure, l’effet de la providence apparait. Il vient à notre aide. Cela signifie que nous profitons alors d’une aide qui descend d’un réalisme non physique, un domaine qui est appelé quelquefois « le ciel spirituel », le « Royaume », ou « Vrindavana » (vrinda signifie en sanscrit « couronné de pur amour », et vana veut dire « forêt »; Vrindavana est donc « La Forêt Couronnée d’Amour »), la Zone Transcendantale dont le centre est partout et la circonférence nulle part. Devant la descente de la lumière, les ténèbres sont vaincues et ne peuvent plus nuire. Le Royaume n’est pas de ce monde, mais peut se manifester dans ce monde par la puissance de la conscience humaine transfigurée en conscience divine. Et l’apparition des phénomènes de la providence divine construit et fait grandir en nous une énergie de foi substantielle encore plus grande, et ainsi de suite. Il y a toujours « Quelque Chose » qui nous guide. Peu importe comment nous le nommons parce qu’il s’agit d’une réalité qui transcende toutes les langues, tous les vocabulaires, tous les mots. Les hindous font appel au « Chaita-Guru », le guide caché du cœur, les chrétiens parlent du Saint-Esprit, les textes coraniques font mention du « Rûh al-Qudus » ou l’Esprit Pur. Quoi qu’il en soit, tout le monde sait qu’au moment où l’âme humaine a suffisamment de courage pour demander de l’aide, elle est nécessairement guidée de l’intérieur. C’est garanti, et c’est une actualité d’éternité : il y aura toujours une aide qui vient de l’au-delà. À terme, c’est toujours la lumière qui gagne. Cette fonction du cosmos n’a jamais été négociable.

Il n’y a qu’un seul pourvoir dans l’univers. Maya, l’illusion, est une énergie qui émane de Krishna. L’énergie n’est jamais indépendante de l’énergétique. L’énergie d’hypnose Maya (ce qui n’est pas) est une énergie qui émane de l’Être Suprême (Cela qui est). Elle nous fait croire réel ce qui est irréel, car elle nous fait penser que les formes éphémères ne le sont pas. Pareillement, Satan est une énergie menteuse qui émane de Dieu. Sans Dieu, l’Illusionniste Suprême, Satan, n’existerait tout simplement pas, car Dieu est la tricherie des tricheurs, le crime des criminels, le mensonge des menteurs, la vertu des vertueux, la sainteté des saints, l’intuition des intuitifs, l’idiotie des idiots, la force des forts et la faiblesse des faibles. Il n’y a rien qui n’est pas Dieu. C’est pour ça qu’on ne peut rien lui cacher. Il est l’Être de la non-séparabilité et tout ce qui existe gravite autour de son service, consciemment ou pas. La source des énergies n’est pas différente de ses énergies. Une étincelle solaire est aussi le soleil, mais le soleil reste le soleil. Dieu est en tout et simultanément Il n’est nulle part. La médaille cosmique est unique, mais elle a deux côtés.

Les physiciens ont découvert avec étonnement la non-séparabilité de toute chose et ils savent qu’il n’existe qu’une seule source énergétique dans l’univers. Les êtres démoniaques utilisent des énergies occultes subtiles; mais ces énergies sont exactement les mêmes que celles que nous pouvons utiliser pour se guérir dans l’amour vrai et la lumière de la vérité. Ce sont les mêmes énergies, mais elles sont mises en action différemment. On observe que pendant que les uns stagnent laborieusement dans les excitations angoissantes de l’exploitation, croyant fermement que les complexités technocratiques représentent un progrès de civilisation, les autres cheminent paisiblement sur la voie libre du dévouement divin sans renoncer au monde pour autant, mais en vivant une vie simple et enrichie de hautes pensées. Ce qui est le jour pour les uns semble être la nuit pour les autres. Mais la source énergétique demeure néanmoins la même pour les deux prototypes d’humanoïdes. Chacun choisit son camp. Le choix est donc entre nos mains et il le restera pour l’éternité.

Le pouvoir des démons et le pouvoir des dévas proviennent de la même origine. Les uns sont attirés par la lumière alors que les autres lui tournent le dos. C’est l’utilisation que chacun en fait qui crée cette immense différence entre la lumière de la vérité et les ténèbres du mensonge. Les résultats diffèrent également de manière draconienne. La vérité apporte la sérénité, la joie, l’abondance, la santé, la bonne fortune, l’harmonie et la paix de l’esprit même au milieu des situations les plus saugrenues. Le mensonge, quant à lui, génère la confusion, les conflits, les désastres, la déprime, la pénurie, la distorsion et la folie même au milieu des palais de milliardaires. Pareillement, l’électricité est une énergie neutre, impartiale, qui n’est ni bonne ni mauvaise. C’est à nous de décider si nous voulons l’utiliser dans le but de créer du chaud ou du froid. Il arrive un jour où nous devons faire face à la réalité : notre dehors est à l’image de notre dedans, car rien n’est séparé de rien.

Nous pouvons donc devenir un lieu de passage pour les êtres de lumière ou un canal d’entités sombres. C’est à nous de voir. Sur le plan pratico-pratique, la question est la suivante : voulons-nous placer notre foi en des êtres qui utilisent le mensonge et la perversité cruelle en réseaux sataniques, ou voulons-nous placer notre foi en des êtres qui croient en la force divine de l’amour et de la vérité? Il n’y a plus de retour en arrière. L’humanité est au pied du mur. « Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire », répétait Jean Jaurès dans ses discours. Et il avait raison. Faire passer des armes géniques bourrées de sida pour des vaccins, c’est mal. Vouloir avoir des relations sexuelles avec un bébé de 4 ans, c’est mal. Assassiner des politiciens qui militent pour la paix, c’est mal. Se dire journaliste et mentir au peuple comme un arracheur de dents, c’est mal. Notre passage sur cette Terre est bien trop court pour rater l’occasion d’avoir le courage de chercher la vérité et de la dire. L’idée est de ne plus consentir au mal, car c’est un consentement basé sur la peur de voir la réalité en face.

Le consentement au mal est aussi fondé sur l’indifférence à la souffrance des autres. Une fois que nous avons décidé de choisir librement le côté qui est aligné sur la réalité de l’Esprit Vivant, on marche sur la voie qui s’ouvre sur la réalité de l’amour et de la lumière. Il se passe alors un phénomène surprenant : nous trouvons la force de surmonter la peur. Nous laissons les influences du système mouvant de l’infini entrer doucement en nous. Il n’y a plus de résistances. De moins en moins en tout cas. Nous allons vers les choses, mais sans s’installer en elles. L’abandon de soi entre les bras de la Justice et de l’Amour de l’Être Absolu est un risque à prendre. Mais c’est un risque dans lequel on se sent en parfaite sécurité d’âme. Il devient évident qu’on ne peut connaître Dieu sans se connaître soi-même. La seule chose qui serait impossible serait de connaître Dieu sans le soi ou de comprendre le soi sans Dieu.

Demandons de l’aide et nous recevrons cette aide qui vient de l’au-delà. J‘y crois, j’y crois! Je suis certain que je ne suis pas le seul à y croire. L’aide viendra et ce sera comme un face-à-face avec la beauté et la bonté de la vérité. Pourquoi ne pas essayer? Qu’avons-nous à perdre? Le seul risque serait peut-être de rencontrer ce bonheur dont nous rêvons depuis que l’homme est apparu sur Terre.

Patrick Bernard, Caucalières, 23 mai 2024.

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