Une belle histoire de « Matrice »
Cette lettre a été réécrite pour une meilleure compréhension.
« Bonjour M. Casault,
Je vous donne mon nom, mais mon ex et moi préférons l’anonymat. Il s’agit donc de moi, Serge, de mon ex, Alice, et de son frère Maxime.
Le 27 mars 2014 à Drummondville, nous partons du boul. Saint-Joseph Ouest. Vers 12h30 ou 13 heures. Après 15 à 18 minutes de route, j’ai dû rouler près de 25 km, je suis un peu après la sortie 200 de l’autoroute 20 Est. C’est alors qu’Alice et moi nous crions ensemble « UN OVNI ! »
C’est un ovni, un vrai de vrai, Alice et moi n’avons aucun doute là-dessus. L’objet est gris métallique pas très brillant, genre métal brossé, il semble rond, de style soucoupe volante, je n’ai pas d’autre référence à donner. L’engin a un diamètre de 10 m, puisqu’il semble rond, et aurait une hauteur de 3 m. Il a également une espèce de très grosse lentille presque de la même hauteur que l’ovni, sur le pourtour. Lentille, hublot, projecteur ? Aucune idée. L’objet était à 60 mètres de nous de l’autre côté de l’autoroute, à 30 mètres de hauteur.
Pas évident de bien le décrire, je l’ai aperçu qu’une seconde ou deux.
Bon, entre l’événement et aujourd’hui j’ai trouvé des réponses et explications en lisant tes livres et tes références, dont John E Mack. Mes connaissances sont, disons, plus étendues depuis l’observation parce qu’au bout du compte cela fait plus de huit ans que j’essaie de comprendre. Je vais continuer comme si je ne connaissais pas certaines réponses, comme si c’était arrivé il y a moins d’un mois.
C’est là que les choses deviennent étranges : Alice et moi l’avons vu subitement, comme s’il était apparu là devant nous, nous avons tout d’un coup réagi en même temps avec la même exclamation et en le pointant. Je vais utiliser souvent le mot étrangement pour signifier mon incompréhension.
Donc étrangement, le frère d’Alice, Maxime, ne le voit pas; il est pourtant du même côté que moi et l’ovni, mais pourquoi ? Il y a plein de choses que je ne comprends pas à partir de là et j’ai tenté de regarder l’heure, mais étrangement quand je regarde l’heure, c’est comme flou, je suis incapable de la voir correctement. Je me souviens d’avoir eu la réflexion « regarde en avant, tu conduis ».
Je ne comprends pas pourquoi personne ne freine devant moi, pourquoi je n’ai pas freiné. Pourquoi ne me suis-je pas rangé sur le côté, je n’y ai même pas pensé une seconde. J’avais mon appareil photo près de moi à portée de la main et jamais je n’ai pensé à l’utiliser. Normalement j’aurais dû réagir, mais non… rien. Étrangement après quelques secondes, moins d’une minute, c’est le silence dans l’auto et dans ma tête. Pourtant, je suis quelqu’un qui parle beaucoup et j’aurais dû être excité, emballé, mais là rien, aucune réaction de ma part ni de la part d’Alice. Son frère n’a pas posé de questions non plus sur ce qu’on a observé, je présume que lui aussi est affecté même s’il ne l’a pas vu.
Le reste du trajet est silencieux et on se rend à Rivière-du-Loup ! Les seuls commentaires furent sur ma vitesse assez élevée. Oui, je me sentais pressé, mais de quoi, j’en sais rien. Finalement, un peu avant Québec, Alice me fait la remarque que je roule vraiment vite, « t’as pas peur d’avoir un ticket », qu’elle me dit. Ma réponse me surprend encore, je lui ai dit que quand je vais avoir mon ticket (pas de si j’en ai un, mais quand je vais l’avoir), je vais aller faire des travaux communautaires pour payer.
Ben, c’est exactement ce qui s’est passé, j’ai eu une contravention pour excès de vitesse et j’ai effectivement fait des travaux au comptoir alimentaire pour payer cette amende. C’est comme si au fond de moi je savais déjà tout ça, c’était même évident que tout ça allait se produire.
Donc dans les faits, je me suis fait intercepter au km 482.6 par la Sûreté du Québec à 16h22, à Saint-André. Ça a pris de trois heures à trois heures 30 pour faire 293 km à plus de 130km/h par moments. Mais comme je me suis fait prendre à 130 km/h, j’ai gardé cette référence pour faire mes calculs. Ça aurait dû prendre près de deux heures 30 pour parcourir cette distance à cette vitesse. Il manque du temps. Le pire, je croyais que c’était ça, ce manque de temps.
C’est en cherchant les faits, distance et temps, que j’ai remarqué quelque chose de troublant. Quand j’ai été intercepté par la Sûreté du Québec, j’étais à moins de 40km de l’arrivée, à 30 minutes selon Google Maps.
J’ai trouvé ça étrange, par après, que moi et le policier n’avons échangé aucun mot, aucun. Il s’est approché, je lui ai tendu mes papiers et il est reparti. Puis, il me redonna mes papiers et la contravention, sans dire un seul mot. Il ne m’est même pas passé par la tête de lui dire ce que j’avais vu plus tôt.
Quand nous sommes arrivés, il commençait à faire noir; je revois encore les parents d’Anick sortir dehors les mains dans les airs avec la peur. Ils ont eu peur qu’il nous soit arrivé un accident. J’ai vérifié sur internet pour savoir à quelle heure il faisait noir le 27 mars 2014 : j’ai su que le soleil s’est couché à 19h12. Comme il commençait à faire noir, je présume qu’on est arrivés vers 18h30.
C’est là que ça n’a vraiment pas d’allure, comme si le reste en avait : ça aurait pris deux heures pour faire moins de 40 km ? Je croyais depuis le début qu’il manquait du temps entre l’observation de l’ovni et l’interception par la Sûreté du Québec, mais non c’est APRÈS.
En cherchant sur Google Maps les distances et le temps pour faire cette distance, j’ai remarqué qu’il manquait beaucoup plus de temps après l’interception et notre arrivée. Ça aurait dû prendre 30 minutes, PAS DEUX HEURES.
Puis, ç’a pris du temps, plusieurs semaines je crois, avant de vouloir en parler; je voulais, mais j’étais incapable de le dire, ma bouche ouvrait, mais rien ne sortait. Ça a pris du temps pour être capable de me confier sur le sujet. Je me souviens qu’on a tenté de t’en parler en 2014, sans succès. Ce n’était pas le bon moment, j’imagine.
Peu de temps après cette observation, nous avons rompu, Alice et moi. C’est plus d’un an après qu’on a repris contact, et on en a parlé. C’est là que nous avons remarqué que nous n’avions pas les mêmes souvenirs. Comment c’est possible ? Je me souviens qu’elle m’a dit « on ne s’est quand même pas fait enlever », je ressentais la peur dans sa voix J’ai répondu ce que je me rappelais, « on a vu un ovni, pas d’occupant ». J’ai voulu être rassuré, même si je crois qu’il s’est passé plus que ça.
Aujourd’hui, je sais au fond de moi qu’ils sont intervenus, j’ai énormément changé, j’avais toutes sortes de troubles de comportement, j’ai fait beaucoup de thérapies, plusieurs années même. Je sais qu’ils m’ont aidé à devenir une meilleure version de moi. Je ressens ça en moi, difficile de décrire mon ressenti. Le plus grand changement est que je suis devenu beaucoup plus spirituel, je me suis vraiment reconnu dans le livre de John E. Mack, Passeport pour le cosmos, ça vibrait en moi quand je lisais. Je n’ai aucun souvenir de leur intervention, mais j’ai vraiment le sentiment qu’ils m’ont vraiment aidé, qu’ils veillent sur moi.
J’ai recontacté Alice récemment, j’ai vécu plein de synchronicités qui l’impliquaient et j’en ai fait aussi te concernant. C’est ce qui m’a motivé à t’écrire. Je t’en ai parlé un peu dans un autre courriel.
Alice m’a envoyé sa version de l’histoire et un dessin numérique de l’ovni. Le sien et le mien. Je suis embêté, nous n’avons pas le même souvenir de l’objet, et notre récit de l’événement diffère aussi. Comme elle m’a dit « ça ne fait pas très crédible, deux images différentes du même objet, mais c’est comme ça, ce qui ne serait pas crédible serait de changer nos versions pour concorder. »
En écrivant ceci, il me vient ceci à l’esprit. Comme il manque plus de temps après avoir été arrêté par la police, serait-il possible qu’on aurait croisé un autre ovni différent ? Ça expliquerait peut-être les différences dans l’histoire et du type d’ovni que nous avons en souvenir et ça expliquerait aussi le manque de temps entre l’interception à Saint-André et notre arrivée à Saint-Antonin.
Je crois avoir fait de mon mieux selon mes souvenirs. Si t’as des questions, ça va me faire plaisir d’y répondre.
Voici la version de mon ex :
Drummondville, année 2014
Notre départ était prévu à 13:30. À bord d’une Saturne rouge, trois portes, mon copain du temps, le chauffeur désigné et feu mon frère (paix à son âme) prenait place à côté de celui-ci, et moi-même à l’arrière, côté conducteur. Nous étions en route pour aller chez mes parents dans le coin de Rivière-du-Loup. Nous allions pour fêter en même temps mon anniversaire le 29 mars et y passer du temps.
Je dirais que pendant cette journée on avait un ciel variable en guise de météo. Donc, par moments les rayons du soleil se pointaient le bout du nez. Nous avions emprunté l’autoroute 20 en direction de Saint-Léonard d’Aston. On voyait au loin la grosse pancarte qui indique le Madrid.
Je regardais à ma gauche et en haut des arbres (de grands sapins) quand mes yeux furent attirés par un objet sphérique, ou je dirais même un objet en forme d’œuf. Sur la route, on approchait de plus en plus vis à vis de l’objet en question. Mon ex-copain m’a demandé : « vois-tu ça ? » – Oui !
Ça flottait au-dessus des arbres, c’est vraiment bizarre. Je me demande « qu’est-ce que c’est ! ? » C’était comme en matière métallique… avec une forme entre rond et ovale, le soleil reflétait dessus. C’était vraiment brillant ! Environ quelques secondes après, j’ai demandé à mon frère s’il avait vu quelque chose. Malheureusement, il avait regardé dans l’autre direction, vers la droite. Dommage.
Je crois que le voyage a été plus long que prévu; une fois arrivés chez mes parents, ils nous avaient fait part de leur inquiétude, que nous étions supposés être arrivés depuis un moment déjà ! »
Mon analyse :
Cela fait déjà quelques années que je ne fais plus d’enquêtes sur le terrain et, bien évidemment, si cela eût été le cas j’aurais eu de très nombreuses questions et je me serais attelé à déconstruire leur histoire point par point en parallèle pour confirmer leur point.
Mais je les crois. En suis-je rendu maintenant à savoir quand c’est un bobard, une erreur ou autre instantanément ? Euuhhh oui. Crédible ou pas, c’est là où je suis rendu.
Ce qui ne m’étonne pas dans ce dossier, c’est la confusion, le manque de rigueur dans la mémorisation des faits. C’est presque normal, je dirais même que l’inverse serait suspect. On demeure rarement calme et concentré quand on vit une expérience ufologique. Mes lecteurs savent le nom que je donne à cela : la résonnance enchanteresse.
Il est aussi très intéressant de noter que leur missing time survient après ou pendant leur arrestation par un policier, un événement prédit par le jeune homme. On a l’impression qu’il n’y a jamais rien de normal avec ces histoires et c’est tout à fait exact et normal.
Ont-ils effectué un petit voyage à bord d’un vaisseau ? Fort probablement. Pas très longtemps sans doute, un simple check-up pour voir si tout va bien avec ces deux-là, Maxime ne semblant pas être concerné. Serge marque un point intéressant : il est probable que l’objet soit revenu, d’où sa perception différente et que lui seul l’ait vu et qu’on ait occulté sa mémoire.
Alors, voilà un autre exemple de la colossale réalité qui nous survole, interpénètre notre réalité et repart avec nos souvenirs. Notez que dans un très important pourcentage des cas de RR-4, l’expérienceur ne se souvient de rien. Le plus souvent, il faut utiliser l’hypnose et, là encore, ça ne fonctionne pas toujours.
Qu’est que cela nous enseigne ?
Sur ce point, je n’ai qu’à construire une structure à partir de TOUS mes écrits, de toutes mes enquêtes, de toutes les expériences que j’ai vécues, mais aussi de celles vécues par les dix auteures de la Collection Ufologie profonde. Il en ressort ceci :
Vous vous souvenez de la Matrice ?
Qui n’a pas vu ce film ! Les humains évoluent normalement comme nous tous, mais dans les faits ils sont enfermés dans un cocon géré par des machines et ce qu’ils vivent est en fait une illusion créée pour eux dans leur cerveau par « l’Architecte », en d’autres termes un programmeur lui-même un programme. L’intelligence des machines comme telle n’a jamais été vraiment expliquée, ni leur origine, leur but et on s’en fout. Ce qui importe ici est le concept de la Matrice.
Rassurez-vous, je ne suis pas en train de vous dire que les ovnis sont des sous-produits d’une situation similaire et que nous ne sommes que des pions joués par des joueurs d’échecs extraterrestres. Les Geeks aiment cette idée, mais je ne la partage absolument pas. MAIS…
Oui, il y a un gros MAIS
Je crois que notre réalité tridimensionnelle est la plus primitive forme d’existence qui soit. Je parle ici de l’univers que nous connaissons, celui qui serait né du Big Bang. Il est constitué de matière non-vivante et de matière vivante et celle-ci est constituée d’organismes escients et d’organismes non-escients. Nous sommes, les humains de cette petite planète, des organismes escients à durée de vie très limitée de sorte que nous puissions multiplier les expériences dans un espace de temps raisonnable.
Est-ce donc qu’il existe, comme le suggère La Matrice, un autre monde supérieur qui nous contrôle ? Il y a du oui et du non dans la réponse. Autre monde, oui, supérieur, oui, qui nous contrôle, non.
Ce n’est pas un contrôle au sens informatique du terme. Comme par exemple, vous êtes parents d’enfants en bas âge. Vous devez en prendre soin, à tous les niveaux, les protéger, mais en même temps (si vous n’êtes pas des foutus parents-poules) les laisser vivre leurs expériences. Si je vous demande si votre rôle en est un de contrôle… vous allez grimacer. Oui, vous devez garder le contrôle sur eux sans quoi vous pourriez les perdre et ce petit pourrait bien se noyer, mais d’un autre côté vous les aimez et s’il y a contrôle c’est dans le but de leur permettre d’évoluer vers une certaine autonomie. Alors oui, il y a un contrôle, mais …tsé… je pense que vous avez compris.
Un autre monde ?
Plusieurs, en fait. C’est le concept des dimensions, des univers de plus en plus subtils, de plus en plus éthérés qui existent et ils sont tous interreliés, et le nôtre, le plus dense, le plus lourd est ce qu’il est : une très grande école !
Je crois que nous sommes tous des êtres provenant d’un même endroit. Les Hébreux parlaient de la Goûve, un réservoir d’Âmes, l’ésotérisme oriental voit aussi les choses sous cet angle, un peu comme un Esprit qui naît « enfant » sans aucune expérience autre que ce Néant d’où on vient de le sortir pour qu’il puisse s’incarner sur une des planètes ou des lunes du Premier Univers. Le nôtre.
Et vous et moi avons accumulé un certain nombre de vies expérientielles, ici comme ailleurs, et un jour, ce cycle sera terminé et nous pourrons poursuivre notre évolution sur un monde moins dense, que certains appellent la quatrième ou la cinquième dimension, le Ciel, le Paradis, whatever. Combien y en a-t-il ? Aucune espèce d’idée !
Cela dit, nous sommes surveillés comme des enfants le sont par des adultes. C’est dans cet esprit que j’avais écrit Et si la Terre n’était qu’un Jardin d’enfance et aussi l’École Invisible.
Je crois que toutes ces expériences ufologiques et paranormales, ces incidents, ces créatures de lumières ou autres sont des manifestations de ces autres dimensions qui sont visibles ou ressenties par certains et certaines pour une raison que j’ignore, sans doute pour en véhiculer le concept, et instiller cette notion de multivers de plus en plus éthérés. C’est évidemment mon cas, mais pour d’autres c’est différent.
Je crois que Serge et Alice ont été interceptés par un surveillant pour effectuer des correctifs, puis ils sont repartis, et excusez-moi d’être un peu brutal, mais c’est comme l’ours qu’on endort, ce qui permet aux biologistes du gouvernement de lui injecter des antibiotiques parce qu’il souffre d’une blessure ou d’une maladie, qu’importe. Il y a des centaines de motifs pour capturer un animal, intervenir et le libérer.
Nous sommes sous ce type de contrôle, c’est ma conviction la plus profonde entre toutes.
Et les guerres, les massacres, le crime, les drogues ?
Pourquoi laissent-ils tout ça aller ? Parce que nous en sommes les auteurs et c’est à nous de nettoyer notre bordel, de ramasser les corps et de faire plus attention au cours de la prochaine génération.
Essentiellement, les organismes escients sont immortels; leur avatar, leur corps ne l’est pas, mais eux oui, alors 60 millions de morts entre 39-45 c’est une tragédie, mais personne n’est mort. Que des corps qui ont pourri, des corps vidés de leur énergie. C’est très grave, mais ça ne l’est pas au niveau de notre évolution.
Cela dit, je pense que nous ne devons pas dépasser certaines limites. L’usage d’armes nucléaires, par exemple, est interdit, Poutine ou pas Poutine. C’est d’ailleurs depuis Hiroshima et Nagasaki en 1945 qu’autant de manifestations ufologiques se sont produites. « Les petits risquent de faire péter la maison alors on se bouge, on les rentre ici, on modifie leur ADN pourri et on espère que ça va faire le travail ».
Donc, ce n’est pas « La Matrice », mais nous sommes des petits êtres physiques, fragiles, en pleine évolution, nous apprenons au cours de multiples vies des choses essentielles à notre développement. Très souvent par contre, la nuit durant notre sommeil, nous sortons de notre corps pour aller voir papa et maman à la Maison et on en revient bouleversés par ces « rêves » qui n’en sont pas, mais on finit par ne plus y penser et on se replonge dans notre monde.
Voilà, c’est le plus grand secret qui soit que je viens de vous révéler. C’est loin d’être la première fois, mais c’est juste au cas où vous me lisiez pour la première fois.
Visitez-nous sur notre page Facebook
Une belle histoire de « Matrice » Une belle histoire de « Matrice » Une belle histoire de « Matrice » Une belle histoire de « Matrice » Une belle histoire de « Matrice » Une belle histoire de « Matrice » Une belle histoire de « Matrice » Une belle histoire de « Matrice »