Une médium vous répond

Je vous écris un article différent des sept dernières chroniques. J’y vais ce mois-ci avec des questions qu’on m’a demandées pendant une discussion. Cependant, il est possible que je retourne à l’ancienne manière, où vous m’envoyez vos questions par courriel majulie@live.ca.

Situation :  J’ai des amis, mais pas vraiment. Trop souvent, les gens lâchent parce qu’ils ne sont pas droits. Il y a peu de relations que j’ai eues qui n’ait pas marché de mon bord. J’ai toujours réussi à m’ajuster à l’autre. L’harmonie coule dans mes veines. On dirait que les gens pardonnent. Quand on a peur, on se referme, et il y a quelque chose qui brise.

J’ai confiance en mon discernement, et tout le monde a une chance de montrer qu’ils sont droits, dans la flexibilité, le courage, et la détermination d’évoluer. Mais ça ne fonctionne pas si la communication n’est pas bien établie. Avec soi, dans un premier temps. Donc, oui les gens ne sont pas toujours honnêtes envers eux, et n’ont pas la maturité pour apporter le progrès dans l’évolution humaine. C’est résolu quand ça fonctionne avec un autre être de lumière, mais il y en a peu qui sont incarnés et ils sont durs à trouver.

Le principe est ancré dans chaque relation humaine, que ce soit amicale, patronale, familiale. Sur qui peut-on compter? Avec qui peut-on passer des tendres moments de camaraderie? Avec qui est-ce sympatique? Avec qui on avance tout le temps? Avec qui est-on naturel/le et beau/belle?

Voici la réponse :

L’artificiel est à toute chose, comme l’abstinence à du progrès. Pour qu’il y ait amélioration, il suffit de rire, d’être dans sa joie, stable à plusieurs niveaux, ouvert et fluide. Ceci est le sentier des recommandations que l’on tente de faire passer à travers moi, et leur vision des choses. Comment s’épanouir à partir de son propre degré intérieur, pour être naturel et confortable avec qui on est? Voilà la question qui fait brasser les consciences qui sont ouvertes et qui sont déterminées à recevoir un immense et inespéré sentier de splendeurs et de gratitudes pour illuminer leur chemin de guérison. La joie est un instrument illimité, qui béatifie le parcours de son quotidien. La confiance des choses. Accueillir sa création dans la divinité. S’unir à son destin, et vérifier qu’il se réalise en participant dedans, en essayant quelque chose.

La prise en action équilibrée demande une base stable. Et la stabilité forme la confiance. Et c’est là que ça devient la place où les déceptions commencent à arriver justement. C’est un semblant de trahison qui s’en suit habituellement à ce niveau. Ensuite l’injustice, et la persécution.

La compréhension suprême et subtile reste la meilleure ressource pour s’en tirer à bon compte. Elle est basée et unifiée sur une vérité absolue, communicative, une symbiose harmonique qui provient des cieux, et qui réside en nous.

Les gens qui ne sont pas fiables ne sont pas supposés être là. S’ils le sont, ils sont positionnés à une certaine distance, et bien souvent, quelques années s’en découlent.

Tout ceci est programmé selon une charte des karmas, véhiculé par l’âme, qui s’amuse avec sa stratégie et ses plans, pour pré-fabriquer et construire, avec la raison d’être pour être dans la matière. Sa raison de vivre est de mettre fin au karma, pour véhiculer une énergie neuve et spectaculaire. Celui qui honore son divin en soi, son universel espace d’amour et de reconnaissance aussi.

On a bien prié depuis des siècles pour arriver à une certaine autonomie. Et on trouve ça dur, quand on l’a, de la garder. C’est une motivation à prendre, et la bonne pour certains.

Les autres, on pardonne. Ils font partie de nos erreurs de parcours à la reconnaissance du plan divin, qui s’expose à travers plusieurs miroirs en même temps.

On est mieux seul quand on veut la paix dans un environnement. Dès que quelqu’un participe, c’est là habituellement que le karma ou le dharma commence. C’est là que ça nous fait du bien. Si on est capable de l’atteindre tout en étant en relation avec l’autre, vous avez bien fonder vos fondations.

L’ascension, ça se fait pour soi, et c’est face à soi qu’on se reconnaît, et qu’on grandit. L’absolution est totale. L’acceptation et l’accueil permettent à l’énergie féminine de sélectionner les fréquences avec qui on partage, et que l’on porte croissance comme à une semence. C’est ça une matérialisation consciente.

On est magnifique face à soi, et cette pleine reconnaissance est une ouverture totale qu’on peut se permettre d’être soi quand on est avec n’importe qui. Julie, si elle ne peut pas être soi, elle ferme la porte et poursuit son chemin, sans regret, dans la compassion, car elle comprend que les gens ont une limite bien à eux, face à eux-mêmes. Et il est normal que ses limites se reflètent sur l’autre, qui doit s’en adapter, et se positionner à son tour. La valse continue. Mais est-ce que mouvement d’amour, de respect? Ou une joute d’égo qui déconstruit un rêve et où on se met à se décourager, et à éprouver de la tristesse.

Sachez apprécier et reconnaitre vos barrières, elles vous rendront grâce un jour, car pour certains en évolution constante sur terre, seuls ceux qui feront face à un mur deviendront sur un nouveau style musical. Et cette nouvelle fréquence mieux harmonisée vous permettra de choisir avec lesquelles il est possible de construire en harmonie et d’arriver au plein succès.

Ce ne sont pas de simples pions, et quand c’est une personne ressource, c’est encore plus rare, et ils ont plus d’importance et d’influence dans l’exécution du grand plan, qui peut être superficiel, mais avec une qualité d’ancrage exceptionnel. Plus on s’habite, plus on vit des miracles, en plus de se relever plus rapidement de la dernière déception.

Signé : Groupe les Melchisedeck avec une touche d’Hilarion, et une autre de St-Germain. Conversation reçue à travers le canal Julie Leblanc. 21 décembre 2018.

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