Vers le sauvetage de humanité

Au bout de décennies de recherches scientifiques sur la conscience humaine, Carl Jung (1865-1961), le célèbre fondateur de la psychologie analytique, ancien élève du neurologiste Sigmund Freud, est finalement arrivé à la conclusion suivante : c’est la conformité aux lois de la nature et l’allégeance aux lois de l’intelligence soutenant le cosmos qui lui ont apporté tant de bonheur et tant d’inspiration. C’est ce qu’il avoue dans sa biographie. En tant que psychanalyste, Jung atteste le plus sérieusement du monde que pour connaître la santé intérieure, l’individu doit s’abandonner aux constances du cosmos ainsi qu’aux directives du cerveau infini qui en contrôle les phénomènes. En d’autres mots, Carl Jung nous dit que pour obtenir un bonheur durable, l’homme doit s’abandonner à Dieu (du latin « dies », claire lumière, mère du ciel et de la Terre).

Comme pour les plus grands sages de l’Antiquité, Jung savait que rien n’est automatique dans la nature. Selon les résultats de ses recherches, rien n’est plus important que de se conformer aux grands courants de nécessité divine et universelle. Faute de quoi l’existence humaine, et les conditions de la vie quotidienne des gens en général, deviennent pure folie, une sorte d’existence sans but qui ne fait plus aucun sens. Sans suivre ces lois cosmiques qu’un Dane Rudhyar (le pionnier de l’astrologie transpersonnelle) nommait « le rythme de la Totalité », la société se met rapidement à ressembler à un asile de fous, parfois avec des fous endormis, mais qui deviennent à d’autres moments carrément fous furieux.

Bien entendu, en tant que chercheur internationalement reconnu comme un des plus grands penseurs et philosophes du 20e siècle, Carl Jung ne se reconnaît dans aucune religion d’institution. Il dit pouvoir ressentir la présence de la transcendance sans nécessairement faire partie d’une secte quelconque ou d’une corporation religieuse. Sa vision est que Dieu représente l’Égo de l’Univers. Dans ses grands débats philosophiques, le maître A. C. Bhaktivedanta Swami (1896-1977) dit être en parfaite harmonie avec cette ligne de pensée. Bhaktivedanta précise que l’égo d’un l’individu n’est conscient que de son propre corps, mais non du corps des gens qui l’entourent. En revanche, l’Égo de l’Univers est différent, car il est instantanément conscient des corps de tous les êtres vivants partout dans la galaxie. Par son omniprésence simultanée au sein du grand champ de la cohérence universelle, l’Égo Cosmique est également conscient de chaque atome ainsi que de l’espace sans densité qui sépare les particules élémentaires de la matière. C’est ce qui fait la différence entre l’égo individuel de l’homme et l’Égo Universel de Dieu. L’homme n’est pas Dieu même s’il en est pourtant partie prenante. Entre l’Égo Infini de Dieu et l’égo infinitésimal de l’homme, la distinction de quantité n’exclut jamais l’unité qualitative; ces deux entités possèdent les mêmes qualités d’éternité, de conscience et de bonheur, car elles sont indissociables et constituent une même unité absolue. Il n’en demeure pas moins qu’elles n’ont pas la même magnitude : la goutte d’eau est l’océan parce qu’elle en fait partie et en possède les mêmes qualités, et simultanément elle n’est pas tout l’océan.

Un jour, Bhaktivedanta Swami parlait à ses disciples en tenant une petite fleur dans sa main : « Remarquez les infimes fibres de cette fleur. Pouvez-vous fabriquer de telles fibres dans vos usines ou vos laboratoires? Et combien brillantes leurs couleurs! En étudiant simplement une fleur, vous devenez conscient de Dieu. Il y a ce gigantesque organisme que nous appelons « la nature », et de lui tout est produit. Mais qui l’a fabriqué? Quelle est donc cette inconcevable intelligence qui a pensé à manifester la nature? Pouvez-vous concevoir que les fleurs soient si belles sans l’intervention d’un artiste? C’est pure folie. C’est quoi la nature? C’est l’œuvre de Dieu. C’est son instrument. Et toutes les énergies, tous les éléments matériels passent à travers elle. » Parallèlement à ces propositions et à la suite de ses recherches sur la destinée de l’âme humaine, Carl Jung en avait percé certains secrets. Selon lui, notre personnalité se trouve gouvernée par une multitude de facteurs subconscients que nous devons conscientiser et confronter si nous désirons guérir de nos pires angoisses existentielles, faute de quoi nous demeurons plus ou moins esclaves des pulsions que notre vie subconsciente nous impose de force à cause de notre identification à un corps de matière. Bhaktivedanta Swami dit que cette vision est en parfait accord avec les concepts védiques de ce qu’il appelle la « Conscience de Krishna ». Il enseignait que, dans son état actuel, l’âme humaine est identifiée au corps physique qu’elle anime pour la durée d’une vie terrestre. L’individu reste ainsi enfoui vie après vie dans un sommeil peuplé de toutes sortes d’illusions. Comme pour Jung et Rudhyar, le véritable but de la roue des morts et des renaissances serait donc de sortir de ce sommeil d’hypnose et de s’éveiller aux dimensions de l’esprit immortel. Le premier pas vers la sauvegarde de l’humanité serait par conséquent de s’éveiller des rêves de la vie qui nous font prendre le corps physique, ainsi que tout ce qui s’y rattache, pour notre réelle identité.

Où est Dieu? Par l’effulgence impersonnelle qui émane de la personnification suprême du divin, Dieu est partout par définition, c’est entendu, mais plus précisément nous ressentons intuitivement que Quelque Chose de transcendant se positionne au fond de nous, telle une présence de proximité intime et privée. Qui ne ressent pas cette substance vitale? Existe-t-il vraiment des gens qui ne ressentent pas que Quelque Chose d’immatériel les habite? Même en étant seul et en se regardant les yeux dans les yeux dans le miroir de leur salle de bain? Sérieusement? Même à l’approche de leur inévitable mort? Un de mes bons amis ambulancier me disait que lorsqu’on vient sortir les gens avec des pinces de désincarcération après qu’ils aient subi un grave accident de la route, il n’y a plus d’athées. C’est dire que cette mystérieuse présence nous envoie constamment des intuitions métaphysiques. Certains les écoutent, mais il est vrai que d’autres choisissent de les ignorer ou de les nier. C’est le choix du libre arbitre. Mais qu’on y porte attention ou pas, la présence est toujours là.

Au cours de ses études sur la psyché moderne, Dane Rudhyar remarqua que le simple fait d’accueillir cette présence surnaturelle qui vibre en nous revient à accepter sa propre position dans le Tout Complet et Absolu auquel nous nous sentons profondément appartenir. En lui ouvrant les bras et le cœur, nous laissons le pouvoir du mouvement dynamique de l’Égo Universel nous mener pas à pas. Tel serait un des sens ésotériques de la vie intérieure, et ce sens nous est proposé au moyen de signes et de principes transmis par les révélations des grands guides spirituels qui ont guidé l’humanité vers son destin depuis l’aube des temps. Dieu nous fait constamment des clins d’œil depuis la fraction de seconde de notre conception, et même avant. Il nous fait des signes. Les voyons-nous? Y portons-nous attention? Dans toute civilisation qui se targue d’être vraiment « humaine », on trouve systématiquement l’acceptation de principes et d’injonctions spirituels. Par le passé, de grands personnages tels que Moïse, Abraham, Confucius, Bouddha, Mahomet, Jésus-Christ, Toukaram, Kabir, Krishna-Chaitanya, etc. ont offert aux hommes des points de repère et des indices afin de faciliter l’harmonie sociale pour que l’humanité redécouvre la voie vers sa libération ultime.

Les méthodes diffèrent selon les circonstances, les impératifs de l’époque et le niveau d’évolution des peuples, mais le but reste le même : il s’agit de protéger le monde des hommes de l’effroi de retomber dans la bestialité. La tradition ésotérique les nomme « principes régulateurs de la liberté ». Ces préceptes empêchent l’être humain de glisser vers la barbarie en lui donnant la possibilité de maîtriser graduellement l’enflammement irrépressible de ses sens. Les animaux en sont naturellement incapables, n’étant pas dotés de ce pouvoir relié au cortex frontal que seule la forme humaine a le privilège de mettre en activité. Le principe premier est donc de l’ordre du contrôle du mental et des sens. L’homme doit veiller à contrôler ses pulsions animales et élever sa conscience par la maîtrise de ses émotions. Si l’être humain ne fait pas l’effort nécessaire pour prendre conscience de sa propre conscience et ne parvient plus à maîtriser ses orientations et dérèglements sexuels, sa cupidité maladive pour les jeux d’argent, ses penchants à suivre les spéculations de son mental sans pouvoir les calmer et son incontrôlable appétit sanguinaire, alors il ressemble à un animal à forme humaine.

Quand on rédige des articles de réinformation, il est toujours question d’appréhender le réel, de savoir ce qui se passe pour pouvoir se déterminer, trouver sa place, affirmer son ressenti, opérer des synthèses. Faire des compromis ne nous aidera pas. Nous devons trouver le courage de dire honnêtement ce que nous observons sans essayer de plaire ou de déplaire, ou sans même tenter de justifier la stratégie des uns et des autres; de toute façon, la faute que nous détectons se trouve aussi quelque part en nous, sinon nous ne la verrions pas. Analyser les drames et les tragédies de ce monde est donc un exercice qui peut aussi être une source de guérison intérieure.

On voit de nos jours au Canada des drag queens qui étalent leurs parties génitales sur grand écran et devant des petits enfants de cinq ans. Comment en est-on arrivé là? Que nous est-il donc arrivé? N’importe qui doté d’un minimum de bon sens peut immédiatement voir que ces agissements sont odieux, ridiculement abjects, et représentent une insulte à la noblesse de la personne humaine. Ces programmes d’ingénierie sociale financés et encouragés par les élites mondialistes ont un but bien précis : ils violent le cerveau des très jeunes enfants en détruisant la formation de leur caractère. L’objectif final est génocidaire (un génocide documenté dans le manuel du Forum Économique Mondial, The Great Reset, à la page 105 : « Nous voulons éliminer sept milliards de mangeurs inutiles »). Cela signifie qu’on se trouve à un point de rupture majeur. On a dépassé la ligne rouge tracée par l’esprit du cosmos. L’agenda de la clique qui dirige l’hémisphère nord nous propose une politique de dépravation jamais vue dans les aristocraties précédentes.

Par conséquent, tout le monde ressent que quelque chose va se passer; on s’attend à un évènement cataclysmique. L’Occident doit rapidement réagir et retourner de toute urgence vers un art de vivre vertueux afin de régulariser d’une manière ou d’une autre ses perversions mentales. Cette transformation de nos penchants n’est pas une diminution, mais au contraire une augmentation. Tous les psychanalystes qui se sont penchés sur la question l’attestent : les plaisirs de la vertu sont des millions de fois supérieurs à tout ce qu’on peut expérimenter quand on se trouve sous la domination des forces de la passion. On ne perd pas au change, au contraire, on gagne infiniment à élever les qualités vertueuses de ses désirs. Pour la sauvegarde de l’humanité, nous sommes parvenus au point de non-retour où nous devons globalement ressentir la nécessité de passer d’une culture basée sur des pulsions biologiques incontrôlées à un état de civilisation authentiquement spirituelle. Aurons-nous encore le courage de le faire? En aurons-nous le temps?

La pensée unique et sans débat du matérialisme technocratique est sans issue puisque la fin éventuelle en est le reniement total du pouvoir de l’amour comme de toute manifestation divine. L’erreur serait de s’embrigader dans l’exclusivisme d’une idéologie religieuse ou socio-culturelle qui se croirait encore supérieure à toute autre, comme cela s’est souvent produit par le passé. Le réveil de la conscience est un sine qua non, car l’état de matérialité absolue est un état d’indifférence absolue. Si l’homme devient insensibilisé par l’influence néfaste des technologies qu’il a lui-même activées, il est perdu. À terme, les avancées fulgurantes de l’intelligence artificielle ne peuvent que le broyer. C’est l’indifférence à la souffrance du genre humain et le consentement tacite des populations aux effets de l’ingénierie sociale qui constituent l’échec total de l’évolution humaine, l’extrême de la décomposition mentale.

Ce courant de pensée ne devrait jamais être amalgamé à la religion dans son sens le plus large. L’évolution de la conscience vers la Réalité du Tout Absolu dont elle fait partie n’est pas une religion au sens propre. Il s’agirait plutôt d’un processus graduel d’éveil et de purification de la force vitale qui anime toute chose. Le Véda millénaire définit ce processus en termes de « sanatana dharma », ou « fonction constitutionnelle de la force vitale éternelle ». Ça veut dire quoi ? On peut définir cette fonction comme un service d’incorporation de la conscience humaine au sein de la Conscience Divine. Qu’elle soit de tradition chrétienne, amérindienne, musulmane, juive, hindoue ou quoi que ce soit d’autre, toute société qui se dit humaine se doit de suivre les directives que lui conseille la métaphysique ancestrale qui est la sienne. Faute de quoi les hommes deviennent des animaux sophistiqués bourrés d’antidépresseurs, d’alcool ou de drogues psychoactives, enchaînés à des jeux vidéo d’une violence inouïe, ou prisonniers par addiction aux milliers de sites sado-pornographiques qui inondent actuellement les plateformes numériques. C’est une vision caricaturale qui ne s’applique pas à tout le monde, bien sûr, mais s’il veut vraiment être heureux et connaître les joies supérieures qui l’attendent en son for intérieur, l’homme du 21e siècle doit avoir de la retenue, se dominer, conquérir ses pulsions et sortir vainqueur de son combat entre le vrai lui et une illusion dégradée de lui-même. Pour paraphraser André Malraux, ministre d’État chargé des Affaires culturelles dans le gouvernement de Gaulle, on pourrait dire que l’humain doit reconquérir sa souverainement surnaturelle ou bien le 21e siècle ne sera pas. Il doit triompher des désirs pervers et des vices qui l’accablent et redécouvrir le goût merveilleux de la vertu et, jusqu’à un certain point, de sa propre pureté originelle. Personne ne peut le faire à sa place. Le futur de l’humanité en dépend, car si ce changement de cœur ne s’opère pas, la société se transformera en un film d’horreur et les conditions d’existence deviendront irrévocablement infernales. Les lois de la thermodynamique sont catégoriques et sans appel, et nul n’a la capacité de les changer à seule fin qu’elles s’adaptent à ses désirs personnels.

Chaque peuple possède ses propres livres sacrés qui lui indiquent la voie à suivre s’il veut connaître la paix sociale et se diriger vers la libération des morts et des renaissances. Tu ne tueras pas… Les Dix Commandements de l’Ancien Testament, ou ceux des Lois de Manu, par exemple, représentent des conseils, des directives, des panneaux indicateurs qui sont loin d’être de simples commandements soi-disant catholiques ou hindous’ C’est beaucoup plus que ça. Ce sont plutôt des conseils de médecine sociale à appliq er; on pourrait les comparer à des perles de sagesse intemporelle à méditer. Les paroles du Bouddha, le Coran, la Thora, le Zen Avesta, la Bhagavad-Gita, etc., sont également d’excellents précis cosmologiques pour comprendre comment fonctionnent les grands cycles de l’espace-temps. La première leçon qu’on y apprend est que nous sommes différents du corps et qu’il existe réellement de multiples dimensions bien au-delà de la manifestation matérielle grossière.

Il est bien entendu absolument nécessaire de savoir détecter la signification profonde de ces anciens textes codés et ne pas rester à la surface des métaphores, des paraboles ou des symboles qui y sont exposés, de crainte que leurs sens figurés nous échappent, auquel cas une telle lecture serait, au bas mot, contreproductive. Tout est symbolique dans les révélations transcendantales. Tout y est de l’ordre du domaine des sciences super-subjectives. Une spiritualité dogmatique ou qui n’est qu’objective devient par extension une autre forme de superstition et ne sert plus à rien.

Quoi qu’il en soit, et que cela nous plaise ou non, nous pouvons être certains d’une chose : sans suivre les directives qui sont offertes à l’humanité par les lois sublimement intuitives du cosmos, sans principes directeurs sacrés, sans discipline et sans retenue de ses pulsions mentales et sensorielles, la société est certaine de sombrer rapidement dans une phase de sous-animalité. Même les animaux ne sont pas aussi dépravés que l’homme moderne. Prenons comme preuve les trafics d’enfants et d’êtres humains qui sont devenus désormais un marché de plusieurs centaines de milliards de dollars à travers la planète. Qui sont les clients de cet abominable commerce? Par ailleurs, de nombreuses grandes métropoles en Amérique du Nord et en Europe sont devenues des jungles de béton où règnent l’insécurité, la pénurie, le vol, l’émeute, le pillage, le vandalisme, le danger, le viol, le crime et l’agression permanente. Et tout cela sur un fond d’addiction à des drogues synthétiques aux effets de plus en plus pernicieux. Il suffit d’aller visiter Philadelphie en Pennsylvanie, désormais considérée par les travailleurs sociaux comme une ville perdue, pour n’en plus douter.

La mutation mondiale, historique, d’une magnitude considérable vers laquelle nous fonçons tête baissée nous donne le droit et le devoir d’envisager les évènements du point de vue d’un contre-pouvoir intellectuel. Une mission ingrate qui était auparavant réservée aux journalistes de vocation, mais qui malheureusement ne l’est plus. Il faut savoir que les pays de l’OTAN se trouvent maintenant terriblement isolés sur l’ensemble de la carte géopolitique. La dépravation de l’Amérique du Nord et de l’Europe ne serait pas possible dans la plupart des autres pays du monde. L’agenda transgenre, l’euthanasie, le prosélytisme fasciste du wokisme religieux, l’assassinat de l’avortement à la naissance, les spectacles sataniques de drag queens dans les écoles ou dans les lieux publics, l’affichage homosexuel conventionné ou la légalisation de la pédophilie sont des résolutions qui ne pourraient jamais être acceptées dans la plupart des pays d’Afrique ou d’Amérique du Sud, ou en Inde, en Indonésie, en Chine, en Russie, etc. Les populations se révolteraient automatiquement si elles étaient placées devant de telles conduites. Les dégradations de la personne humaine seraient considérées comme des sacrilèges, des délits passibles d’emprisonnement. L’Occident se trouve par conséquent divergent, cantonné dans ses absurdes déviations et, pour ajouter l’insulte à la blessure, il a définitivement perdu le haut du pavé moral en face de la planète. Quand on lit la presse internationale (qui est infiniment plus libre de censure et de désinformation qu’en France et au Québec), on s’aperçoit avec stupeur que l’Amérique, le Canada et la France en particulier sont devenus la risée du monde entier.

Il est crucial de noter qu’actuellement en Occident, tout est fait pour empêcher le grand virage de l’humanité vers sa régénération spirituelle. Tout est fait pour bloquer l’éveil des esprits. L’élévation de l’humanité vers des niveaux supérieurs de conscience est volontairement freinée par un système médiatique corrompu au service des classes dirigeantes et policières, qui sont elles-mêmes influencées par des forces malfaisantes qui les dépassent et qu’elles ne sont même plus en mesure de comprendre ni de contrôler. La compromission a même envahi les pouvoirs de l’exécutif, du judiciaire et du législatif. Les enjeux de ce choc de civilisation sont bibliques. Le Véda stipule qu’il existe sur Terre deux sortes d’êtres : les « suras », ou êtres qui prennent refuge dans la lumière divine du bien, et les « asuras », ou ceux qui prennent refuge dans les ténèbres démoniaques du mal. La vérité se situe au-delà de ces deux factions, car elles représentent les deux facettes d’une unique réalité. Alors… Quelle peut bien être notre responsabilité dans tout cela? Notre rôle pourrait bien être simplement de choisir dans quel camp nous désirons évoluer. Choisir la vérité plutôt que le mensonge, l’honnêteté plutôt que l’hypocrisie, la lumière plutôt que les ténèbres.

Soutenue officiellement par une légion de biologistes-analystes du sang venant de toutes les parties du monde, la populaire et courageuse correspondante de guerre sud-africaine Lara Logan atteste désormais que la fonction réelle du récent déploiement des vaccinations ARNm est ni plus ni moins d’empêcher les consciences humaines d’évoluer. Pour manipuler les masses, les asuras ne reculent donc devant rien. Les révélations qui sont sur le point d’arriver vont choquer bien des gens. Le mouvement a déjà commencé : la Cour Suprême d’Espagne a récemment déclaré que le Covid19 est une arme biologique brevetée et non un virus comme on nous l’a fait croire. L’Espagne, en tant qu’une des plus grandes nations d’Europe, est désormais le 9e pays à poursuivre son ministre de la Santé en justice pour fraude et crime contre l’humanité, et a gagné. À quelle heure cela va-t-il enfin arriver au Québec et en France? Serons-nous les derniers à reconsidérer nos priorités? Aux États-Unis, un officier de haut rang du Pentagone confirme que les cas de crises cardiaques fatales et de blessures neurologiques graves ont explosé (+151 %!) parmi les membres de l’armée à la suite des campagnes de vaccination C19. Ces informations provenant de la Cour Suprême et du Pentagone ne sont évidemment pas du « complotisme », mais représentent l’avant-garde du paysage géopolitique mondial.

Nous sommes en pleine guerre spirituelle. Les suras doivent désormais conscientiser la réalité et connaître le plan des asuras afin de défendre leur droit de vivre, d’exister, d’être libres et d’évoluer en pleine conscience. Si les gens de bien, les suras, les membres des familles, les travailleurs, les commerçants, les gens dits « ordinaires » s’attendent à être libres d’évoluer tout en refusant la conscientisation de la réalité et en choisissant de placer leur foi et leur confiance dans la propagande gouvernementale relayée par la télé, et à y consentir par inertie, indifférence ou manque d’intérêt, alors ils espèrent en ce qui n’a jamais été et ne sera jamais : un monde à la fois libre et ignorant. Il faut savoir que le véritable plan des classes dirigeantes qui cherchent à prendre le contrôle technocratique des nations et des peuples est de détruire la famille, qui est la fondation de toute société, de détrôner la Conscience Suprême de la nature et de prendre la place de l’Égo de l’Univers. Les hautes sphères de l’État profond sont parfaitement conscientes de cet objectif et agissent en coulisses pour mettre ce projet en place.

Que ce soit clair : l’objectif principal des mondialistes est l’élimination de toute spiritualité authentique sur Terre et l’éradication de l’évolution des consciences. Le simple fait que le récent film Sound of Freedom, qui dénonce la traite sauvage des enfants, soit agressivement et insidieusement attaqué, voire diabolisé par les corporations médiatiques prouve définitivement que Mel Gibson, Jim Caviezel et Tim Ballard disent la vérité. Cela en dit long sur la mentalité des journalistes qui encouragent le trafic des enfants en désavouant ce film-réalité avec un mépris sans nom. Chacun doit mesurer les conséquences de ses actes. Malgré cela, le film vient de briser tous les records de succès au box-office avec des recettes de 127,6 millions, et c’est loin d’être terminé. Il est à noter aussi que l’Ordre des médecins sanctionne durement les docteurs qui dénoncent les petites filles qui sont hospitalisées à la suite de blessures dues à des agressions de pédophiles. La doctoresse Catherine Bonnet a été condamnée à neuf ans d’interdiction d’exercer pour avoir fait des signalements d’enfants victimes de prédateurs. Pensez à ça! L’inquisition est doublée de l’omerta. Ça en dit long aussi sur la perversité systémique du conseil de l’Ordre. Les infirmières devraient en être révoltées. Tout le monde est-il complice? Les révélations ne font que commencer. Désormais, nous savons qui ment et qui est au service de la vérité. Le réveil des populations semble imminent. L’activation des tribunaux militaires également.

Toute cette confusion des valeurs ne doit pas nous écarter de notre mission de vie. Sans spiritualité, nous nous retrouvons dans une situation précaire. Nous mourrons constamment et nous devons reprendre naissance dans les différentes espèces de vie. Le but de l’incarnation humaine est de mettre fin à ce cycle et de résoudre les quatre grands problèmes de l’existence, la naissance, la maladie, la vieillesse et la mort. La solution se trouve dans l’élévation de la conscience. La plus grande menace pour le monde est le néolibéralisme technocratique qui est imposé sur les races d’Occident. Cette agression génocidaire est ciblée. Le but principal de ce programme est de bloquer toute tentative d’élévation de l’esprit, d’effacer les identités des nations, le libre arbitre de la personne humaine ainsi que tout ce qui la constitue, c’est-à-dire ses coutumes, ses mœurs, sa moralité et son droit de pratiquer la médecine ou la spiritualité spécifique qui lui a été transmise par les guides de sa tradition ancestrale. L’agenda des mondialistes consiste surtout à éradiquer toute médecine naturelle, tout souvenir de l’âme divine, à éliminer les valeurs traditionnelles et historiques. On s’attaque directement à l’immortelle relation que nous avons avec la totalité du cosmos, avec la nature et avec l’esprit divin qui la sous-tend.

Le sauvetage de l’humanité passera donc forcément par un sursaut de l’âme. Le genre humain dans sa globalité passe actuellement par cette étape intermédiaire. Nous avons besoin d’une renaissance de dévotion, besoin d’un grand réveil de cette Transcendance qui nous habite depuis toujours. La spiritualité sera notre seule porte de sortie, notre seule bouée de sauvetage, un refuge qui saura nous faire traverser les temps d’épreuves et de grands changements qu’on nous annonce et qui sont prophétisés pour la purification du monde. Nous avons bien plus besoin de prier spontanément et de se connecter à notre Centre Sacré que de tout autre chose. Quelle que soit la manière dont nous le concevons, Dieu habite notre cœur. Il est notre ami et il est à l’écoute.

Et si tout ce que nous avions à faire était de se tourner vers la Présence du Grand Esprit en chacun de nous en l’accueillant dans la joie et la paix intérieure? Se soumettre à la volonté suprême de ce Krishna-là serait transformationnel. Tout prendrait alors un sens nouveau puisque tout est créé de manière cyclique dans l’univers. Tout n’est pas forcément négatif dans le rêve de l’existence matérielle. Ainsi, l’ensemble des évènements dramatiques qui se déroulent à la surface du globe pourrait être réinterprété comme une symbolisation divine de la réalisation de ce que nous sommes vraiment. La fonction des ténèbres est de réveiller la lumière quand elle s’est endormie ou qu’elle s’est entêtée à ne plus vouloir briller. La fonction du mal est de donner un coup de pouce au bien lorsque le bien a peur de sa propre lumière. Tout est interrelié, imbriqué, entrelacé, rien n’est séparé. Malgré l’ampleur et la signature satanique de toutes les tribulations actuelles, nous pourrions soudainement ressentir un authentique sursaut de l’âme humaine, sans artifice ni publicité payante, et y voir l’appel irrépressible du Soi Immortel, dans un éveil cosmogonique sans cesse renouvelé. Sauver l’humanité : serait-ce possible alors? Ou bien n’est-ce qu’une prémonition? L’avenir le dira.

Souvent, lorsqu’il était interrogé sur les épreuves, les accidents, les longues maladies et les inévitables bouleversements que l’être humain rencontre au cours de sa vie, Swami Muktananda (1908-1982), le maître du Siddha Yoga, indiquait ce remède très simple pour soulager et améliorer les fluctuations de l’incarnation : « Souvenez-vous, disait-il, que tout est dans les mains de Dieu. Quoi qu’il arrive, c’est pour un renouveau, une nouvelle vision des choses, un nouveau sens de l’amour divin, quoi qu’il arrive, c’est pour le mieux ».

En conclusion, nous pourrions dire aux hommes de science qu’il est inutile de perdre son temps et son énergie à essayer de créer la vie. Tout ce qui naît doit mourir et tout ce qui meurt doit renaître. Mais ce qui vit est toujours vivant. L’être vivant est déjà vivant de toute éternité. Tout est vivant parce que tout est la transformation des énergies de la source des forces vitales du Dieu Vivant. Nous n’avons jamais été créés par Dieu; nous sommes une étincelle de son feu, une goutte de son océan, une pépite de sa mine d’or. Utilisons plutôt notre vie à la rendre meilleure, plus simple, plus souple, plus pure. Réalisons dès maintenant notre identité transcendantale afin d’être heureux dans cette vie. Cette recherche doit être faite pour la sauvegarde du monde. L’âme est le conducteur qui déplace la « voiture » du corps et non l’inverse. Si le conducteur en prend conscience, il pourra utiliser son véhicule charnel pour la réalisation du Soi, ce qui le conduira vers les ultimes dimensions du bonheur, les dimensions divines. Alors il atteindra la perfection.

 

 

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