ON SE PAIE NOTRE GUEULE À LA MILITAIRE !
L’Agence France-Presse diffuse aujourd’hui le 24 novembre que le Pentagone a annoncé la création d’un bureau chargé de rassembler et d’analyser l’ensemble des informations sur les objets volants non identifiés (ovnis) observés par les différentes branches de l’armée américaine.
Inutile de rappeler aux ufologues que les États-Unis avaient fermé en 1969 le bureau de l’Air Force sous le vocable de Bluebook à la suite des conclusions du Rapport Condon. Inutile de rappeler aux ufologues que la découverte du document sous forme de mémo du secrétaire de la commission Condon, Robert Low, avait causé tout un scandale en invitant les membres de la commission à tout faire pour valider la non-existence du phénomène soupçonné d’être d’origine extraterrestre.
Ce groupe de synchronisation sur l’identification et la gestion des objets aériens, ou AOIMSG selon son acronyme en anglais, remplace la cellule de travail sur les phénomènes aériens non identifiés créée en août 2020 et confiée alors à la marine américaine, a annoncé le département américain de la Défense dans un communiqué.
Le bureau est placé sous la responsabilité du sous-secrétaire à la Défense chargé du renseignement et de la sécurité, signe que pour les militaires américains, les phénomènes aériens non identifiés ne proviennent pas de petits hommes verts, mais plutôt de très réels adversaires des États-Unis.
Comme on peut le voir, l’Agence France Presse, qui se targue d’être rigoureuse et précise, utilise encore une expression idiote et désuète de petits hommes verts, ce qui trahit son ignorance du phénomène.
Pour justifier cette décision, on nous dit que Washington s’inquiète notamment des capacités d’espionnage de la Chine à l’aide de drones ou d’autres moyens aéroportés.
En d’autres termes, lorsque le Jury Robertson a statué en 1953 qu’il fallait cesser de s’intéresser aux ovnis, c’était pour éviter le « bruit » causé par des observations trop nombreuses. Sachant maintenant que c’est la CIA qui dirigeait les priorités du Jury, une dénonciation du Major Mac Donald de l’époque, on peut se demander ce qui arrive du bruit en 2021. Dans le jargon des agences de renseignements, le bruit dans ce cas de figure serait causé par un aveu des autorités que les ovnis viennent de l’espace. Elle se disaient alors que des millions et des millions de rapports d’observations viendraient nuire à l’analyse de véritables objets, dont des missiles lancés par l’ennemi.
On ne semble plus craindre cela, mais on fait porter le chapeau aux ovnis en disant que ce sont possiblement des drones ennemis de surveillance car JAMAIS les autorités militaires ne vont admettre la nature bien réelle des ovnis. Durant les 55 ans de recherches sur le terrain, je peux vous dire que ce qui a constitué le niveau d’étrangeté le plus élevé dans les observations que j’ai reçues n’étaient certes pas des drones chinois. Nous serions tous Chinois dans ce cas !
Le futur directeur de l’AOIMSG, pas encore nommé, synchronisera les activités dans ce domaine des diverses branches de l’armée et des services de renseignement américains.
Le Pentagone a diffusé l’an dernier trois vidéos prises par des pilotes de la marine américaine – l’une en novembre 2004 et les deux autres en janvier 2015 – montrant des rencontres en vol avec des phénomènes aériens non identifiés.
Sur l’une, on peut voir un objet de forme oblongue se déplaçant rapidement et qui, quelques secondes après avoir été repéré par un des capteurs à bord de l’appareil de la marine américaine, disparaît à la suite d’une soudaine accélération.
Dans une autre vidéo, on distingue un objet au-dessus des nuages, le pilote se demandant s’il s’agit d’un drone.
Tout cela ne vient donc rien changer au statu quo du plus grand mensonge de tous les temps sur l’existence de vaisseaux provenant de l’espace et sur lesquels nous n’avons aucun contrôle.
Rien ne change au bout du compte.
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