Certitude ou fiction ? (12e partie)

En 2010, je publiais chez Québec-Livres un ouvrage intitulé Certitude ou fiction ? faisant allusion au phénomène ufologique. Ayant récupéré mes droits, j’ai accepté de le confier à Julie afin qu’elle en publie le contenu ici sous forme de chroniques.

J’ai révisé quelques passages, mais essentiellement tout ce qui est là demeure contemporain au niveau de ma pensée.

Après bientôt six décennies d’étude et d’enquêtes minutieuses auprès des faits rapportés par de nombreux témoins de différentes anomalies, je vous invite à découvrir le fascinant processus de réflexion qui amène les gens à prendre une position ferme sur tout sujet et particulièrement sur tout sujet qui… n’existe pas. 

Le Panel Sturrock

Trente ans plus tard, en décembre 1996, Laurence Rockefeller du Fond LSR, celui-là même qui permis à John E. Mack de mettre sur pied le PEER, invite le professeur Peter Sturrock, physicien et astrophysicien de l’Université Stanford (6), à déterminer le « statut de notre compréhension globale du problème posé par les signalements d’ovnis ». Les deux hommes s’entendent sur le fait que le phénomène ovni est méconnu et sème plus de confusion que toute autre chose. Sturrock estime alors que ce problème ne peut être résolu que par une investigation scientifique ouverte, professionnelle et étendue, et qu’un prérequis essentiel à cette recherche est un apport substantiel de scientifiques intéressés.

Rockefeller, son collègue M. Henry Diamond et le professeur Peter Sturrock, mettent sur pied un atelier au cours duquel des ufologues reconnus vont rencontrer un panel de huit ou neuf scientifiques afin de se concentrer sur les preuves physiques associées aux rapports d’ovnis. Du 30 septembre au 3 octobre 1997, l’atelier s’organise au  Pocantico Conference Center de Tarrytown dans l’État de New York, puis du 28 au 30 novembre 1997 à San Francisco.

Pour l’assister dans ses travaux, Sturrock fait appel aux personnalités suivantes : Dr. Thomas E. Holzer du High Altitude Observatory of the National Center for Atmospheric Research, à Boulder dans le Colorado, le Dr. Robert Jahn, professeur au Aerospace Engineering de Princeton, Dr. David E. Pritchard, professeur de physique au Massachusetts Institute of Technology[1], Dr. Harold E. Puthoff, directeur de Institute for Advanced Studies à Austin au Texas, Dr. Yervant Terzian, professeur d’astronomie et président du Astronomy Department à l’Université de Cornell, et le Dr. Charles R. Tolbert, professeur d’astronomie à l’Université de Virginie. M. Henry Diamond, de Washington (D.C.), doit assurer la portion administrative et messieurs Puthoff et Pritchard sont désignés comme modérateurs durant les sessions d’études.

Sept enquêteurs ufologues expérimentés sont requis pour passer en revue des catégories spécifiques de preuves. Le Dr. Richard F. Haines de Los Altos (Californie) est en charge de l’examen des éléments photographiques et des anomalies d’équipement aérien ; le Dr. Illobrand Von Ludwiger de Feldkirchen-Westerham (Allemagne) discute des preuves obtenues par  radar ; le Dr. Mark Rodeghier du Centre pour les études sur les ovnis de Chicago (fondé par le Dr. Allan Hynek), traite des anomalies de moteur d’automobile ; John F. Schuessler de Houston discute des blessures sur les témoins ; le Dr. Erling Strand de Ostfeld (Norvège), quant à lui, présente des éléments impliquant des enregistrements vidéo et des données spectroscopiques ; le Dr. Michael D. Swords, professeur au Département de Science des Études Générales à l’Université du Michigan de l’Est,  discute des anomalies inertielles ; le Dr. Jacques Vallée, de San Francisco, présente des estimations d’énergie et discute en plus des éléments matériels. Jean-Jacques Vélasco du CNES de Toulouse (France)  présente des éléments concernant des événements radar, des traces au sol et des dommages à la végétation.

Les éléments présentés à l’atelier sont étudiés par le panel d’Étude Scientifique comprenant le Dr. Von R. Eshleman, professeur émérite d’Ingénierie électrique à l’Université de Stanford, Thomas Holzer, du High Altitude Observatory of the National Center for Atmospheric Research de Boulder, déjà nommé, le Dr. J. R. (Randy) Jokipii, professeur des régents de Sciences Planétaires et d’Astronomie à l’Université d’Arizona à Tucson, le Dr. François Louange, directeur responsable de Fleximage, Paris (France)[2] , le Dr. H. J. (Jay) Melosh, professeur de Science Planétaire à l’Université d’Arizona à Tucson, le Dr. James J. Papike, directeur de l’Institut de Météoritique et professeur de Sciences de la Terre et Planétaires à l’Université du Nouveau Mexique à Albuquerque, le Dr. Guenther Reitz du Centre Aérospatial Allemand, Institut pour la Médecine Aérospatiale à Cologne (Allemagne), Charles Tolbert, professeur d’astronomie de l’Université de Virginie et le Dr. Bernard Veyret du Laboratoire de Bioélectromagnétique de l’Université de Bordeaux (France). Eshleman et Holzer agissent au titre de coprésidents de ce panel.  Tous de petits rigolos, n’est-ce pas ?

Les observations du panel sont les suivantes : «  Le problème des ovnis n’est pas simple à résoudre et il ne semble pas y avoir de réponse universelle à ce sujet. Dès que des événements inexpliqués se produisent, il existe une possibilité pour le monde scientifique d’apprendre quelque chose de nouveau. (Tout le contraire du rapport Condon.) Ces recherches devraient alors s’articuler sur les dossiers incluant à la fois les témoignages crédibles assortis d’évidences physiques[3]. (Tout le contraire du rapport Condon.)  Un rapport étroit entre les organisations ufologiques et la communauté scientifique devrait être établi et l’ensemble de la recherche devrait être chapeauté par un support institutionnalisé. (Tout le contraire des propos de Edward U. Condon.)  Un bon exemple à cet effet est le GEPAN/SEPRA du CNES en France, soit le Centre National d’Études Spatiales, qui depuis 1977, travaille de manière modeste, mais très efficace. Nous avons constaté que certains rapports d’observations d’ovnis sont associés à l’irradiation des témoins, un élément qui devrait être soumis à la communauté médicale. »  

Le comité d’experts du panel fait également savoir que leur analyse du Rapport Condon les amène à prendre une position différente : « Contrairement aux recommandations de l’époque, la technologie et l’avancement des connaissances en 1997 font que l’étude sur les ovnis doit être rétablie ». 

Malgré les espoirs maintenus par l’ensemble de la communauté ufologique suite au dépôt officiel du rapport Sturrock, rien n’a changé et pourtant, aucun contre-argument n’est venu s’opposer à cette recommandation. Les rapports Condon et Sturrock ne sont certes pas les premiers, les seuls ou les derniers. Cela démontre au moins que des esprits scientifiques sont concernés par le problème des ovnis et qu’aucune explication universelle n’existe et qu’il est ridicule d’estampiller ce problème d’inexistant ou de fantaisie de l’esprit. Il se passe quelque chose de très sérieux.

Le jury Robertson

L’extrait d’article qui suit provient du site www.rheadae-magazine.com. Il s’agit d’un écrit du journaliste J.F. Delpech Laborie, rédigé en 1973. Les chiffres entre parenthèses correspondent à la documentation du chercheur en fin d’article.

« Avant 1940, les autorités officielles du monde entier ne se sont probablement jamais souciées des diverses observations dont on retrouve encore la trace. Il semble donc que ce soit au cours de la seconde guerre mondiale que leurs regards se sont portés sur ces phénomènes par l’intermédiaire des pilotes de guerre, dont il ne faut pas oublier le nombre considérable de rapports (2). À tel point que l’armée de l’air nazie, la Luftwaffe, créa en 1944 un « Bureau Spécial 13 » chargé d’étudier ces rapports, activité prenant le nom code d’« opération Uranus ». (3) 

Un an plus tôt, les services de renseignements britanniques avaient eux aussi formé un organisme d’enquête qui put établir, par le canal d’un agent double, que les objets mystérieux n’étaient pas d’origine allemande et causaient les mêmes soucis à ces derniers (3 et 4). Comme ceci le démontre, ce sont donc les services de renseignements qui, en temps de guerre, se sont occupés en priorité des ovnis. Et ne serait-ce pas justement en passant au crible les rapports des pilotes de chasse alliés, qu’est né au sein des services secrets américains un intérêt pour les U.F.O. qui paraît n’avoir jamais tari ensuite ? 

Depuis 1947, les commissions d’enquêtes officielles chargées d’éclairer le problème U.F.O. aux États-Unis ont connu bien des malheurs ! Ou bien elles se sont fait  museler et « liquider » les unes après les autres, ou bien elles ont dégénéré en entreprises de mystification publique. Les détails les plus précis à leur sujet se trouvent par exemple dans l’ouvrage d’Henry Durant (3) et dans le savoureux petit livre d’Aimé Michel (coll. Pour ou Contre) qui les commente avec son humour incisif (5). Rappelons seulement les faits principaux.   

Le 30 décembre 1947, James Forrestal, secrétaire d’État américain à la Défense, signe le décret de création de la première Commission « Project Sign », devant le nombre croissant des observations et les réactions du public. Depuis le début des événements, la U.S. Air Force (U.S.A.F.) feint la plus totale ignorance. Elle a pourtant déjà eu l’occasion d’étudier des rapports similaires, ceux de ses pilotes pendant la guerre et de ses bases scandinaves en 1946. « Project Sign » est placé sous la responsabilité de l’A.T.I.C. (Service de Renseignement technique de l’U.S.A.F.) à la base de Wright-Patterson, Dayton (Ohio). Il dispose de moyens importants et son travail est très actif. Ce sera la première et la dernière Commission américaine sérieuse (6).

En septembre 1948, « Project Sign » fait parvenir au chef d’état-major de l’U.S.A.F. un rapport top-secret : «The estimate of the situation ». Ce rapport soutient clairement l’hypothèse de l’origine interplanétaire des U.F.O. « Project Sign » n’y survivra pas ! Le Pentagone repousse ses conclusions, puis le dissout purement et simplement. C’est la première amorce de la « politique du secret ». Cela dénote-t-il forcément, dès cette date, une hostilité systématique à la réalité des faits de la part de l’état-major de l’U.S.A.F. ? Peut-être pas. D’une part parce que les militaires du Pentagone ne sont pas plus bornés que ceux de l’A.T.I.C., ensuite parce que les ouvrages du Major Donald Keyhoe nous montrent que l’atmosphère au sein de  l’U.S.A.F. à cette époque était plutôt à la perplexité et à l’indécision. Cette réaction signifierait-elle alors que le service de renseignement que nous verrons apparaître, dans l’affaire en 1953, faisait déjà pression sur l’U.S.A.F. en 1948 ?  

Le 11 février 1949, le défunt « Project Sign » est transformé en « Project Grudge ». Le capitaine Ruppelt révèle dans son livre (7) que, violemment secoué par la tempête qui vient de s’abattre en provenance du Pentagone, le personnel de l’A.T.I.C. a maintenant pris le parti d’une attitude beaucoup plus conforme aux vœux de l’état-major ! Une ultime tentative est toutefois risquée avec la publication du communiqué du 24 avril 1949, encore orienté vers l’hypothèse interplanétaire. Le Pentagone réagit à nouveau violemment et en arrive même à opérer certaines purges à l’intérieur du « Project Grudge ».  

À partir de ce moment, l’A.T.I.C., deux fois échaudée, se contentera de réduire au maximum le nombre d’objets non identifiés par le biais d’explications parfaitement douteuses et arbitraires. Ce traitement réussira si bien pendant toute l’année 1949, qu’il aboutira à un pourcentage négligeable de cas inexpliqués lors du rapport final de la Commission, en décembre, ce qui entraînera ipso facto la suppression de « Project Grudge », devenu évidemment inutile.

Durant presque deux ans, toutes les observations seront impitoyablement rejetées aux oubliettes, c’est-à-dire dans les archives de l’A.T.I.C. Il faudra attendre octobre 1951 pour que « Project Grudge » soit rétabli à la suite d’une observation d’ovni survenue en présence d’importantes personnalités. La direction est alors confiée à un officier de renseignement de l’A.T.I.C., le capitaine Edward Ruppelt. Son action à la tête de la Commission, jusqu’en 1953, est énorme.

Son premier soin est de former une sous-commission, « Project Bear », véritable bureau scientifique composé des spécialistes de diverses disciplines. Il dispose de moyens plus étendus et plus modernes que l’ancien « Project Sign ». L’étude des rapports s’oriente vers une recherche objective et compétente. Ses pouvoirs sont encore accrus lorsque la Commission prend le nouveau nom de « Project Blue Book », en mars 1952. Tout ceci aboutit à une augmentation considérable des observations inexpliquées dans les statistiques officielles. Est-ce précisément cela qui gêne alors un certain service de renseignement, compte tenu de l’atmosphère générale consécutive à la vague de 1952 ? Quoi qu’il en soit, un jury scientifique est réuni en janvier 1953 par le Pentagone pour statuer définitivement (!) sur le problème U.F.O : le jury Robertson.

Rappelons que tous les détails concernant le jury Robertson sont connus grâce aux documents découverts par le Dr. MacDonald au siège de l’A.T.I.C. en 1966. Le jury se réunit au Pentagone à partir du 12 janvier 1953, il est composé de plusieurs experts, présidés par le physicien H.P. Robertson, mais aussi du directeur de l’A.T.I.C. et de trois personnalités importantes de la C.I.A.

Le « Project Blue Book » dépose ses conclusions qui envisagent favorablement la réalité concrète des U.F.O. Au moment du rapport final, la C.I.A. se précipite au service de la science ! Elle réclame du jury un verdict négatif, qui couvrira une série de recommandations secrètes de la C.I.A. exigeant «… une réfutation systématique des soucoupes volantes en vue de réduire l’intérêt du public pour ce sujet… ». Prétexte officiellement invoqué par la C.I.A. : tarir la source publique des informations, afin d’éviter que les réseaux de renseignements des services secrets ne soient submergés. Deux règlements, maintenant célèbres, sont promulgués à cet effet : A.F.R. 200-2, qui organise l’acheminement des observations, et J.A.N.A.P. 146, qui considère la divulgation de toute information au niveau des bases, comme un crime passible de 10,000 dollars d’amende et de dix ans d’emprisonnement. Dans le motif officiel avancé par la C.I.A., on peut déceler une contradiction qui éclaire du même coup sa duplicité. Ce motif est donc le prétendu besoin pour la C.I.A. de débarrasser ses réseaux de renseignements de rapports présentés comme inutiles et dangereusement encombrants (8).

Or, l’argument est par lui-même irrecevable. En effet, la C.I.A. possède d’une part des réseaux suffisamment étendus, organisés, perfectionnés, et en possède suffisamment le contrôle pour ne pas risquer de les voir brouillés à tout propos. D’autre part, elle est libre de n’acheminer par ces canaux que les renseignements qu’elle estime dignes d’intérêt et elle peut rejeter à sa guise les informations superflues, sans avoir besoin de recourir à la censure de l’U.S.A.F. !

Ou bien les soucoupes volantes ne sont que fantasmes aberrants, et pourquoi s’en embarrasser alors ? Ou bien… les activités de la C.I.A. en matière de UFO démentent manifestement le prétexte invoqué. Non seulement les enquêteurs de la C.I.A., comme le souligne Aimé Michel, font preuve de beaucoup d’empressement et d’attention dans de nombreux cas d’observations, mais encore, les dispositions établies par A.F.R. 200-2 sont elles-mêmes en contradiction avec le prétexte en question. A.F.R. 200-2 stipule en substance que toutes les observations acheminées par les services de l’U.S.A.F. doivent obligatoirement parvenir en premier lieu à l’Air Defence Command (A.D.C.) qui opérera un tri ; l’A.T.I.C., et donc « Project Blue Book », n’en recevra alors par son canal qu’une sélection épurée, les cas importants étant réservés et transmis par les soins de l’A.D.C. aux « Agences de Renseignements intéressées »  sur la base de documents significatifs. Aimé Michel a démontré dans son livre déjà cité, que c’est bien la C.I.A. qu’il faut entendre par cette appellation. Par conséquent, cette mesure n’a pas manqué de drainer vers la C.I.A. de nombreuses observations de « premier choix ». Étrange méthode pour se débarrasser de rapports considérés « inutiles »… 

Notons que cela permet aussi de ne présenter au public, par l’intermédiaire du « Project Blue Book », qu’une sélection de cas « inoffensifs ». Ces prescriptions ont été, bien sûr, scrupuleusement appliquées grâce à l’épouvantail incarné par J.A.N.A.P. 146 ! Notons aussi que le Dr. Hynek, présent aux réunions du jury Robertson à titre de conseiller scientifique de l’U.S.A.F., refusera d’en contresigner les conclusions.

Tous ces détails sont connus au moyen de documents que le Dr. Macdonald découvrit au siège de l’A.T.I.C. en 1966. Il est édifiant de constater qu’aussitôt après sa demande d’en obtenir copie, ils furent tous remis au secret sur l’intervention de la C.I.A. Les exemplaires publiés par la suite et reproduits en annexe du rapport Condon sont entièrement expurgés. On y trouve tout de même quelques petites perles, par exemple : « La Commission a pris connaissance de l’existence de certains groupements comme les « Civilian Flying Saucers Investigators » et « l’Aerial Phenomena Research Organization ». Il a été estimé que de telles organisations devraient être surveillées en raison de leur grand potentiel d’influence sur l’esprit du public au cas où une extension des observations surviendrait. L’irresponsabilité apparente et l’utilisation possible de tels groupements en vue de desseins subversifs (sic) devraient être prises en considération. » Sans commentaires !

Sous cet éclairage, la Commission Condon apparaît comme un prolongement logique. Aimé Michel la qualifie très judicieusement de « dispendieuse et vaine réédition du jury Robertson ». (5) Voici les sources de sa documentation :

(2) De nombreux exemples en sont donnés dans le livre de Cordon Lore et Harold Dencault « Mysteries of the skies, U.F.O.S. in perspective. »

(3) Voir l’ouvrage extrêmement bien documenté d’Henry Durrant « Le livre noir des soucoupes volantes » (Laffont, 1970).

(4) Frank Edwards : « Du nouveau sur les soucoupes volantes » (Laffont, 1968).

(5) Aimé Michel : « Pour les soucoupes volantes » (Berger-Levrault, Collection  Pour ou contre , 1969).

(6) À l’exception de « Project Blue Book » lors de sa brève direction par le capitaine Ruppelt.

(7) Edward Ruppelt : « The Report on U.F.O. »

(8) Le prétexte est repris à peu près similairement et toujours pour justifier l’action de la C.I.A., par Walter Sullivan dans l’introduction du Rapport Condon.

Le phénomène ovni n’est pas un incident survenant dans le quotidien de chacun d’entre nous. Un homme peut passer une vie entière sans être témoin de son existence. Un autre peut croire en avoir été témoin et s’être trompé, mais un autre verra l’inadmissible, il ne sera pas seul et des traces subsisteront. Il sera confronté au ridicule et reculera rapidement et s’enfermera dans le silence. Un crime est commis, du sang coule sous la porte et personne ne réagit ! Mais il y a pis encore.

La suite au prochain numéro …

Référence et documentation

Chapitre 5 – Il se passe quelque chose

(6) STURROCK, Peter (2000). The UFO Enigma: A New Review of the Physical Evidence. Aspect Books. Le professeur Sturrock est un britannique attaché à l’Université de Stanford. Professeur émérite, il s’est intéressé aux OVNIS très tôt dans sa carrière et a dirigé un groupe d’études en 1998.

[1] Il fut le président de la conférence sur les enlèvements au MIT en 1992 avec le docteur Mack.

[2] Il fut membre du COMETA en 1999, un comité d’experts de diverses disciplines qui remit un rapport-choc au président de la République.

[3] Ces rapports existent !

 

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