J’ai la joie de vivre (2e loi cosmique)
J’ai la joie de vivre. Ce sentiment merveilleux peut-il exister quand toute la société vit dans l’angoisse, provoquée par les révoltes, les guerres, les grèves, l’affolement du bruit, la nécessité de gagner sa vie? Peut-on sourire à tous ces gens qui nous bousculent, qui sont injustes avec nous?
Peut-on rêver de bonheur dans un monde où les hommes se détestent?
Eh oui, c’est dans ce monde-là qu’il faut trouver la joie de vivre!
Cependant, il faut s’entendre sur ce terme qui peut laisser croire que la joie de vivre se trouve dans les fêtes, l’alcool, les divertissements où la musique et le bruit nous assourdissent. La joie de vivre n’est pas extérieure à nous, mais en nous.
Commençons par le bien qui nous touche de plus près, la santé. Mais en sommes-nous maîtres? Oui et non.
Non, quand survient une épidémie, un accident, une situation où les éléments vitaux sont insuffisants, comme l’air, les aliments, l’habitation, mais pour les autres conditions qui peuvent nous rendre malades, nous pouvons y remédier plus ou moins selon le genre de vie que nous adoptons.
La maladie s’installe dans un organisme lorsqu’il y a violation des lois de la nutrition, de la respiration et de l’activité musculaire. Cette violation est la conséquence, soit de l’ignorance des lois, ou d’un état de vie imposé par le milieu sur lequel l’homme, comme individu, n’y peut rien.
La médecine peut alors enrayer le mal en complétant ce manque à l’organisme, ou en enlevant ce qui provoque les troubles qui peuvent devenir graves si on ne les corrige pas à temps.
Mais l’homme n’est pas seulement un être de chair et de sang, il est un être à qui la conscience d’exister cause des impacts si cette existence n’est pas conforme aux aspirations qui surgissent du fond de son hérédité humaine.
L’homme ne porte pas seulement l’héritage de ceux qui l’ont précédé, mais il porte une Âme, qui réclame, elle aussi, ses droits.
L’organisme doit donc obéir à ses lois physiques: l’intelligence, aux lois de sa conscience d’homme, et la conscience, aux lois de son Âme. Si l’une ou l’autre de ces lois est violée, l’homme tout entier en subit l’impact.
La santé est donc soumise au milieu extérieur, et encore d’une manière plus subtile au milieu intérieur, non seulement de l’organisme physique, mais surtout du moi intime comme le subconscient, le conscient, le psychisme et l’âme.
Admettons que toutes les lois biologiques sont respectées, mais on accumule les frustrations, les complexes, on est pessimiste, inquiet, toujours dans l’attente d’un malheur, d’une catastrophe, la santé alors est compromise, car la tension nerveuse contracte tout le système organique qui finit par ne plus fonctionner normalement. Il en est de même de l’Âme: si elle est bourrelée de remords, malheureuse de ne pas évoluer, elle tendra un voile de tristesse sur tout le comportement qui finira par provoquer des troubles fonctionnels, sinon organiques, qui détériorent peu à peu l’un ou l’autre des organes vitaux.
La santé est donc dépendante de ces trois plans de la personnalité. Si on respecte les lois physiques, intellectuelles et spirituelles, on goûtera la joie de vivre et l’état de santé sera d’autant plus stable et plus résistant aux agents négatifs extérieurs.
La joie de vivre vient aussi des bons rapports sociaux entre nos proches parents et amis et nos concitoyens, car si on accepte avec bienveillance les attitudes négatives des autres, cherchant plutôt à comprendre pourquoi ils sont si mécontents, plutôt que de leur reprocher leur attitude qui nous blesse et nous éloigne d’eux, nous serons plus heureux.
La joie de vivre naît aussi de l’amour de son travail, lors même que ce travail n’est pas conforme à nos goûts.
Le travail, quel qu’il soit, est toujours constructif, puisqu’il fait agir les muscles en synergie avec le cerveau qui, sous l’impact des stimuli, développe des ramifications qui enrichissent les intercommunications, rendant la pensée plus logique et plus créatrice d’idées nouvelles.
Lorsqu’un être humain respecte les lois cosmiques, il possède inévitablement la joie de vivre, car il sait, même dans le malheur, découvrir le côté positif des événements.
La joie de vivre s’acquiert par la volonté persévérante d’évoluer, par des exercices répétés d’auto-dynamisme, par la compréhension de l’influence, les unes sur les autres, des différentes parties de la personnalité.
Voilà pour la deuxième couleur primaire!
**Les textes sont pris dans le livre des Sciences cosmiques d’Adéla Sergerie, dont j’ai eu sa permission de les utiliser.
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