L’âme et son support : correspondance

Correspondance : neurone spirituel au centre du front. Les groupes de neurones concernés donnent accès à la communication avec les Êtres des couches supérieures d’énergie. Ces groupes de neurones contiennent, en potentiel, le pouvoir de communiquer avec :

– la matière en général

– le subconscient des hommes

– les psychismes

– la mémoire partielle du temps (10,000 ans)

– les âmes en attente

– les âmes ascendantes

– les grands maîtres de l’Univers

– la mémoire Universelle

– les Maîtres divins

– les Superunivers

– les planètes de Havona qui entourent le Paradis

– l’Omniscience.

Ces neurones correspondent au neurone spirituel, au centre du front.

L’Âme, le Psychisme, le Subconscient

Il faut apprendre à combiner l’âme, le psychisme et le subconscient, en les soumettant à la volonté de l’homme. L’âme est au sommet des valeurs humaines, mais, pour évoluer, a son libre arbitre. Le psychisme est le collaborateur de l’âme, il est le trait d’union entre elle et l’intelligence de l’homme. Il est flexible et prend la forme que lui donne la pensée ; il est codé et s’adapte au plan qu’on lui a tracé, consciemment ou non.

Le subconscient, au-dessous de l’intelligence, enregistre tout : les réactions intellectuelles et émotives, aussi bien que les réactions physiques instinctives. Le subconscient ne remet à l’homme que ce que l’homme lui a donné, tandis que le psychisme peut lui apporter des informations qu’il aura captées dans ses exploration de l’univers.

L’ÂME

Le Psychisme

Le cerveau

Le Subconscient

Le Cosmos

L’intelligence doit diriger la volonté, elle a donc besoin de connaître la valeur qui domine dans la constitution de son moi.

La première valeur est l’ascension de son âme immortelle. Tout ce qui peut empêcher ou retarder cette ascension doit être évité. Il faut donc subordonner le psychisme et l’intelligence à cette valeur, leur donner le commandement de se mettre à son service.

Qu’est-ce qui unit la matière à Dieu ?

La matière, inanimée ou vivante, est inapte à communiquer avec des énergies supérieures parce qu’elle n’a pas de conscience et qu’elle ne peut donc pas connaître et décider librement, puisqu’elle ne possède pas les éléments qui peuvent s’harmoniser avec les éléments à hautes vibrations des énergies supérieures.

Il fallait donc un être possédant une énergie qui avait des vibrations de même nature que celles des énergies qui montent par degrés, en finesse et en rapidité, jusqu’à Dieu. Cet être est l’Homme, support d’une âme qui est formée d’énergie divine, mais à un degré, à son origine, suffisamment bas pour s’unir à un support matériel, et servir de levier à la conscience humaine afin qu’elle puisse connaître Dieu et ses œuvres.

L’ÂME chez les hommes primitifs

L’âme se manifestait chez les hommes primitifs par le sens de la survie puisqu’ils enterraient leurs morts et les munissaient d’objets et de nourriture pour leur voyage vers un lieu lointain. Ils se créaient des êtres supérieurs qu’ils imploraient quand ils avaient peur des phénomènes de la nature. Pour eux, les choses étaient régies par des forces mystérieuses à qui ils octroyaient tous les pouvoirs.

Comment se révèle l’âme dans notre Être ?

Ce qui distingue l’homme de l’animal est dû à la présence de l’âme. Celle-ci engendre des sentiments tels que : la pitié, la miséricorde, l’altruisme, le don de soi, le désir de connaître, de laisser la trace de notre passage sur terre. Elle se révèle aussi dans la prudence, l’amour désintéressé, le patriotisme, la justice, l’admiration, les arts et le beau en général. En un mot, tous les actes intellectuels et affectifs de l’homme sont teintés de la couleur de l’âme : notre conscience, notre intelligence, notre acquisition des connaissances, nos efforts pour améliorer notre existence, notre recherche du bonheur… La liste peut s’étendre à tous les actes de notre vie.

Actes positifs, actes négatifs

Les actes qui violent les lois ont pour nom  « NÉGATIFS ». Donc, ceux qui les respectent s’appellent « POSITIFS ». Quand un acte est-il positif ? Un acte est positif quand il répond à l’équilibre physiologique du corps, au besoin intellectuel de l’intelligence et à l’appel de l’absolu de l’âme.

Le geste et son rapport avec l’âme

Le geste indique l’état d’âme d’un individu ; il est le mouvement de la pensée active, il lui donne de la force, de l’actualité. Le geste est la matérialisation des concepts qu’élabore l’intelligence, du subconscient qui commande aux muscles involontaires, et du psychisme qui parle aussi bien par l’expression corporelle que par la pensée.

La colère provoque des gestes brusques ; la haine, des gestes courts et rapides, comme une lame de couteau qu’on enfonce ; l’hypocrisie, des gestes lents et onduleux ; l’indifférence, des gestes erratiques, distraits ; la tendresse, des gestes enveloppants, indécis comme ayant crainte de faire mal ; la bienveillance, des gestes qui font ouvrir les mains, parfois les bras, avec un sourire d’accueil ; l’amour, des gestes ardents qui étreignent, qui prennent, qui se donnent, qui se fondent avec l’objet aimé. Cet objet peut être une personne, un travail, une œuvre. Lorsque l’amour ne s’adresse pas à un être humain, il prend le nom d’idéal, de création, de feu sacré et lorsque cet amour se déverse sur une collectivité d’hommes, on l’appelle altruisme, charité.

Le geste est le langage muet des êtres vivants. Ce geste est appelé aussi réaction, mouvement.

Bonne prise de conscience!

À suivre…

 

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