Le feu de l’esprit divin

En ces temps de misères omniprésentes, de censures totalitaires, de révoltes manipulées, de fausses nouvelles médiatisées, de violences aveugles, de pédophilie élitiste, de drag queens superstars télévisées, de perversions sexuelles institutionnalisées et de catastrophes écologiques préprogrammées, on est en droit de se demander comment on a pu en arriver là. Que l’on soit d’accord ou pas avec les évènements tragicomiques qui se déroulent sous nos yeux, on peut quand même observer que de plus en plus de gens se réveillent et se posent la question suivante : pourquoi la civilisation se casse-t-elle la figure à la vitesse d’un train fou, sans mécanicien ni pilote à bord, et dont les freins et les rails ont été délibérément sabotés?

D’après le désormais célèbre philosophe François Cheng, membre éminent de l’Académie française, l’humanité en est arrivée là pour la simple raison que les individus qui la composent ne sont plus en résonance avec l’esprit divin qui sous-tend les phénomènes de la nature. Ça veut dire quoi? Dans la grande sagesse de l’ancienne Chine, le concept de la résonance divine n’était pas figé dans une définition rigide; il s’agissait plutôt d’une sorte d’état qu’on est en mesure d’éprouver, de ressentir au fond de soi, mais sans pouvoir l’expliciter, sans pouvoir l’intellectualiser. Toutefois l’esprit divin était une évidence pour la société des lettrés et les gens en général avaient conscience que le fondement de l’univers vivant reposait sur la mise en application de cet esprit au quotidien. Le bonheur et le malheur des personnes, des familles et des institutions dépendaient de la manière dont ce souffle de vie primordial qui anime toutes formes d’existence était appliqué en art, en politique, en agriculture, en haute finance, en entreprise commerciale, en médecine, en justice et en spiritualité. Tous les éléments du cosmos étant imbriqués les uns dans les autres, la société était prospère lorsque l’esprit vivant était respecté, le climat était alors agréablement tempéré, la nature florissante, les gens en excellente santé, chaque citoyen connaissant l’abondance sans être l’esclave d’un système financier fédéral les obligeant à travailler huit heures par jour comme des bêtes de somme. L’harmonie sociale était alors durable, stable, et les gens vivaient en parfaite sécurité malgré leurs différentes croyances, mœurs ou coutumes.

À l’opposé, lorsque l’esprit vivant qui anime la matière et les êtres était méprisé, voire ignoré ou même combattu avec agressivité par une classe dirigeante déviante et corrompue, alors toute l’architecture sociale s’effondrait en seulement quelques décennies dans une spirale de criminalité, dans les perversions les plus grossières, les infections et les pénuries de toutes sortes. Il s’ensuivait des sécheresses, des feux de forêt, des inondations, des tornades destructrices, des tremblements de terre, des éruptions volcaniques dévastatrices, des guerres, des émeutes généralisées, des épidémies ainsi qu’une suite de naufrages industriels qui finissaient par rayer la nation de la carte dans un immense bain de sang. Il suffit de s’intéresser un tant soit peu à l’histoire du globe terrestre pour s’apercevoir que tous les empires qui ont dévié du feu sacré de l’esprit divin ont tous connu les plus grandes tribulations et ont fini par disparaître lamentablement. On visite de nos jours leurs ruines, ou le peu qu’il en reste, les pieds dans le sable et la poussière. Notons que François Cheng, en tant qu’intellectuel émérite, ne parle pas de religion, mais bien de lois cosmiques.

Pareillement, nous devons reconnaître ce qui manque à la société d’aujourd’hui. Dans l’organisation sociale actuelle, il existe une faille, et pour cette raison éclatent perpétuellement des conflits de grande envergure. Nous avons donc besoin d’une indication qui nous permette de réaliser par quoi nous pourrions redécouvrir un but commun, dans la paix, la fraternité et la prospérité. Si nous suivons la direction de François Cheng ainsi que celle des plus grands penseurs modernes, ce besoin sera comblé par un profond changement de culture visant à la respiritualisation de l’humanité tout entière. Les dissonances, les déchirements qui blessent la société humaine viennent du manque de principes fondés sur l’existence de l’esprit divin qui est à l’origine de la conscience et qui sous-tend toute la création. La science ne fait pas les efforts nécessaires pour découvrir cet esprit tout-puissant. Il n’en demeure pas moins qu’il existe une source ultime de tout ce qui est. Le travail de respiritualisation commence avec l’éducation. Or, on apprend maintenant aux enfants et aux gens en général à être lascifs et cupides. On n’enseigne plus la puissance de la vertu ni la force remarquable de la pureté mentale. Les universités ne finissent qu’à produire des individus avides et passionnés. Si les systèmes d’éducation ne produisent que des gens lubriques, toute paix sur Terre sera automatiquement détruite. Est-ce cela que nous voulons? Être agité de toutes sortes de désirs est une caractéristique de l’animal.

Afin de détourner l’attention du public sur la sortie du film Sound of Freedom, un documentaire dénonçant l’odieux trafic d’enfants par les élites d’Hollywood et produit par des artistes mondialement connus tels que Mel Gibson, Jim Caviezel et Tim Ballard, les oligarques forcent les médias à parler d’autre chose. Un des problèmes les plus dérangeants dans le monde d’aujourd’hui, c’est le trafic humain, et en particulier le trafic des enfants, qui est le crime le plus horrible de tous les temps. Les journaux refusent d’en parler. La raison en est que ceux qui les ont corrompus ont un agenda pour normaliser la pédophilie. L’ONU vient même de déclarer qu’il faut décriminaliser ce vice social qui est maintenant très répandu. Désormais, on appelle les pédophiles  des « personnes attirées par des mineurs », (des « MAP », pour minor attracted persons). Les salles de garderie permettent des jeux sexuels dès l’âge de 4 ans. Dans l’Antiquité, des villes comme Sodome et Gomorrhe ont été évaporées par des forces thermonucléaires issues du feu du cosmos pour moins que ça.

La première étape pour éradiquer ces comportements psychotiques et retrouver l’harmonie sociale perdue, c’est la conscientisation. Les parents doivent prendre conscience de leur responsabilité et des conséquences de leurs décisions; ils doivent savoir ce qui se passe dans les écoles et ce qu’on impose à leurs enfants. Le futur de l’humanité en dépend. Pourquoi en est-il ainsi? Pourquoi l’avenir de l’humanité est-il ici en jeu? Parce qu’on pousse des enfants encore très jeunes à devenir des êtres qui répondent immédiatement à leurs pulsions, des individus qui n’ont pas de retenue. Or, la caractéristique de l’animal est de n’avoir ni  retenue, ni maîtrise des sens, ni contrôle mental.

Nous assistons donc à une chute vertigineuse de l’humanité vers l’animalité. Il ne s’agit pas ici de liberté ou de choix de vie. Il s’agit de retourner à l’état animal parce que la différence entre l’humain et l’animal, c’est précisément le sentiment de la retenue des envies et des pulsions. L’animal n’a pas de honte. Il assouvit instantanément ses pulsions sexuelles par instinct bestial, sans réfléchir aux conséquences de son acte, sans pudeur et sans culpabilité. Sans la retenue naturelle des êtres humains civilisés, l’humanité est donc en train de foncer à toute vitesse vers la barbarie. Rappelons que la plupart des grands penseurs de l’Histoire ont tous affirmé que le mal ne se répand que lorsque les gens de bien le laissent faire et ne font rien pour l’enrayer. Mais les choses ne pourront pas en rester là. Quatre siècles et demi avant l’avènement du Christ (441 av. J.-C.), le stoïcien Sophocle affirmait déjà que lorsque le karma frappe en retour, nul mortel ne peut se libérer du malheur.

Nous avons donc besoin d’un changement d’orientation de toute urgence. Huit millions d’enfants disparaissent chaque année dans l’indifférence nationale et avec la complicité du silence médiatique afin de mieux hypnotiser l’opinion publique. La réalité est ce qu’elle est : on tue des bébés pour vendre leurs organes. On en torture des milliers pour produire de l’adrénochrome, la drogue des élites dont le commerce s’élève à 150 milliards. Pendant ce temps, l’illustre revue médicale et scientifique The Lancet confirme officiellement le risque extrêmement élevé de myocardites graves des injections ARNm Pfizer et Moderna alors que des millions de gens ont accepté innocemment de se faire  « vacciner ». Posez-vous la question : comment se fait-il que cette information majeure ne se soit pas immédiatement retrouvée en prime time dans les médias grand public? La réponse est limpide; qu’il s’agisse de pédophilie avérée ou de génocide déclassifié, les dirigeants ne veulent pas que leurs crimes contre le peuple soient connus du peuple.

Quoi qu’il en soit, il est inutile de se désespérer. La sagesse nous dit qu’il fallait sans doute qu’il en soit ainsi. La décadence et la déliquescence radicales de nos sociétés sont en train de provoquer une réelle renaissance spirituelle. Notre champ d’observation sur les quatre millénaires écoulés révèle qu’à partir d’un effondrement quelque chose d’autre renaît automatiquement. En étant attentif à l’Histoire, on observe que toute destruction provoque un renouveau, une nouvelle création. La victoire finale du feu immortel de l’esprit divin face au pouvoir institué est un mécanisme inéluctable parce qu’il est soutenu par les lois inviolables de la nature et du cosmos.

Ce qui est tout à fait particulier de nos jours, c’est que la nature malveillante du pouvoir en place est désormais devenue visible. Chacun peut s’en rendre compte. Les masques sont tombés. Les vrais visages se révèlent derrière le discours d’un faux paternalisme. En tant que société, nous apprendrons bientôt qu’il est impossible de vivre heureux et prospère dans un monde dénué du feu de l’esprit divin. Ce n’est pas nécessairement une question de religion; toutefois, si une religion, quelle qu’elle soit, nous apprend à connaître les lois indestructibles et immuables de la divinité ainsi qu’à en suivre les directives galactiques, alors elle nous mènera à la bonne place. Sinon la religion est inutile. Il est absurde de considérer l’esprit divin comme une idée plutôt que comme une réalité positive. L’Esprit Vivant Suprême n’est pas un concept abstrait. Son cerveau est doté d’une intelligence infinie; c’est un Être personnel et impersonnel simultanément, et nous pouvons apprendre à lui parler et à le voir.

Toutefois, seuls les empires qui suivront les lois cosmiques du feu spirituel pourront connaître le bonheur de vivre dans l’harmonie et la paix mondiale. Les sociétés qui veulent demeurer éloignées des constances divines n’ont aucune chance de s’améliorer. Nous n’aurons aucun espoir de bonheur tant que notre civilisation refusera de suivre les signes et les indications que lui envoie l’univers. Tout irait bien si nos dirigeants arrivaient à comprendre cet état de choses et qu’ils parvenaient à mettre un frein à leur avidité. Cherchons d’abord et avant tout ce feu intérieur et tous les problèmes se règleront naturellement. Rejetons ce feu divin et notre civilisation implosera. Ce postulat n’est pas une option commerciale, c’est une question d’observation des lois strictes de la nature, et c’est surtout une question de franche compréhension des lois immuables de l’évolution de la conscience humaine.

Toutes formes de croyances sont dignes d’intérêt, mais il en existe qui mènent à l’abattoir et il est de notre devoir de citoyen de les laisser pour compte. Il va falloir changer de paradigme de toute urgence, ça presse. Ne craignons pas le changement : le changement du mouvement des particules élémentaires de la matière, sous leur forme ondulatoire, n’est-il pas en physique quantique l’unique forme attestée de l’existence? Il ne faut quand même pas s’étonner de rencontrer des personnes au cœur encore ankylosé, qui ne supportent pas d’entendre parler de Dieu; le seul nom de celui-ci les secoue de colère pour la simple raison qu’ils font un amalgame désolant entre les déviations assourdissantes des religions et le feu réel de l’esprit divin. C’est une erreur classique. En faisant un minimum d’investigation, on s’aperçoit pourtant bien vite que la religion et la spiritualité sont deux principes diamétralement opposés. Dans l’état actuel des choses, ce serait plutôt aux « artistes de conscience » de reprendre aux prêtres et aux dévots compromis le rôle de guides de l’humanité. Ressentir l’appel de la chaleur de l’âme divine n’est pas vivre au-dessus des moyens de son temps même si ce qu’on appelle « la masse » est devenue cette chose ingrate et inculte qui n’en a plus que pour le Chat GPT, l’utérus synthétique et l’intelligence artificielle. L’art, la musique en particulier, mais aussi la création picturale et la littérature, l’art noble de la chanson et la poésie surtout, doivent désormais servir de relais aux mystères. Nous sommes en pleine guerre d’information dont les armes sont faites de propagande et d’ingénierie sociale. L’époque est par conséquent à un engagement tous azimuts.

Cela étant dit, rappelons que les dirigeants de tous les pays du monde devraient regarder à l’intérieur de leur cœur, observer leur conscience, sonder leurs motivations, partir à l’exploration de leurs propres ténèbres, mesurer les conséquences de leurs actes et profiter de ce puissant feu de l’esprit divin qui brûle en eux à jamais. Ils créeront ainsi une merveilleuse atmosphère de paix et d’amitié au sein des peuples de la Terre au lieu de poursuivre aveuglément la dégradation universelle des hommes vers l’animalité en s’accrochant désespérément à l’idée irréalisable d’un État technocratique et robotique, sans pudeur, sans maîtrise des sens, sans contrôle mental, et qui plus est propagateur d’un athéisme dysfonctionnel à une échelle internationale.

De toute façon, quoi que l’on fasse dans la vie, on le fait dans le train express qui roule vers la mort du corps et la dissolution des éléments génétiques qui le constituent. Seule la conscience survit à la mort physique. Le temps est peut-être finalement venu de se demander à « qui » appartient ce corps, le nôtre, cette énigmatique machine constituée d’ADN que nous croyons être nous entre le court laps de temps qui sépare le berceau de la tombe. La conception « surmatérialiste » de l’existence est une maladie qui se prend pour son propre remède. Le maître A. C. Bhaktivedanta Swami donne la solution : « Abandonne-toi à l’Esprit Suprême, fais-lui confiance. Il t’amènera au bon endroit. » De son côté, François Cheng reste persuadé que nous avons pour tâche immédiate de dévisager ces deux mystères qui constituent pour tout être humain les extrémités de l’existence : d’un côté le mal, de l’autre la beauté; d’un côté la peur, de l’autre l’amour. Quel côté choisirons-nous? Ce qui est en jeu n’est rien de moins que la destinée humaine.

 

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