Quelques citations de Neale Donald Walsh
Ceci est une chronique approuvée par Éditions Ariane, qui nous permet de vous partager certains passages du livre La trilogie des Conversations avec Dieu. Un des meilleurs ouvrages spirituels des temps modernes. Merci!
« Si toute personne qui est en relation se préoccupait du Soi, de ce que le Soi est en train d’être, de faire et d’avoir; de ce que le Soi est en train de vouloir, de demander, de donner; de ce que le Soi est en train de chercher, de créer, de ressentir; toutes les relations personnelles rempliraient magnifiquement leur rôle – et serviraient leurs participants! »
« Que chaque personne se trouvant en relation se préoccupe non pas de l’autre, mais seulement et uniquement du Soi. »
« Cette stratégie paraît étrange, car on vous a laissé entendre que dans la forme de relation la plus élevée on ne se préoccupe que de l’autre. Mais je vous dis ceci : le fait de vous concentrer sur l’autre (votre obsession pour l’autre) fait échouer les relations personnelles. »
« Qu’est-ce que l’autre est en train d’être? Qu’est-ce que l’autre est en train de faire? Qu’est-ce que l’autre est en train d’avoir? Qu’est-ce que l’autre est en train de dire? De vouloir? D’exiger? Qu’est-ce que l’autre est en train de penser? D’espérer? De planifier? »
« Le Maître comprend que ce que l’autre est en train d’être, de faire, d’avoir, de dire, de vouloir, d’exiger, n’a aucune importance. Ce que l’autre est en train de penser, d’espérer, de planifier n’a aucune importance. Tout ce qui importe, c’est ce que vous êtes par rapport à cela. »
« La personne la plus aimante est celle qui est centrée sur le Soi. »
« Si tu ne peux aimer ton Soi, tu ne peux aimer quelqu’un d’autre. Bien des gens font l’erreur de chercher l’amour du Soi dans l’amour d’un autre. Bien entendu, ils ne s’en aperçoivent pas. Ce n’est pas un effort conscient, puisque cela se déroule au tréfonds du mental, dans ce qui est appelé le subconscient. Ces gens se font la réflexion qu’il suffit d’aimer les autres pour que ces derniers les aiment, qu’ainsi ils seront dignes d’être aimés et pourront s’aimer. »
«Inversement, un grand nombre de gens se détestent parce qu’ils ont l’impression que personne ne les aime. C’est une maladie quand ces gens sont vraiment « malades d’amour », car, en vérité, d’autres les aiment vraiment, mais ça ne compte pas. Peu importe combien de gens leur témoignent leur amour, ça ne leur suffit pas. »
« Premièrement, même si tu leur en témoignes, ils ne te croient pas. Ils pensent que tu essaies de les manipuler, d’obtenir quelque chose. (Comment peux-tu vouloir les aimer pour ce qu’ils sont vraiment? Non. Il doit y avoir une erreur. Tu dois vouloir quelque chose, mais quoi?) »
« Ils restent là à essayer de figurer comment il se peut que tu les aimes vraiment. Ils ne te croient pas et se lancent dans une campagne pour t’amener à le prouver. À toi de le démontrer vraiment. Dans ce but, ils peuvent te demander de modifier peu à peu ton comportement. »
« Deuxièmement, s’ils en viennent enfin à pouvoir croire que tu les aimes, ils se demandent aussitôt combien de temps ils pourront garder ton amour. Alors, afin de s’accrocher à cet amour, ils se mettent à modifier leur comportement. »
« Voilà comment deux personnes se perdent littéralement dans une relation. Elles entrent en relation en espérant se trouver, mais elles se perdent. »
« Cette perte du Soi dans une relation est la cause de la plus grande part d’amertume au sein de telles associations. »
« Deux personnes se lient dans un partenariat en espérant que le tout sera plus grand que la somme des parties, puis elles découvrent qu’il est moindre. Elles se sentent moindres que durant leur célibat, moins compétentes, moins aptes, moins passionnantes, moins attirantes, moins joyeuses, moins contentes. »
« C’est qu’elles sont moindres, puisqu’elles ont abandonné la plus grande part d’elles-mêmes afin d’être (et de rester) en relation. Les relations personnelles n’ont jamais été conçues pour se dérouler ainsi, mais c’est ainsi que les vivent plus de gens que tu ne crois. »
« Pourquoi? Parce que ces gens ont perdu contact avec le but des relations personnelles (s’ils n’ont jamais été en contact avec celui-ci). »
« Quand vous perdez de vue que vous êtes des âmes sacrées, engagées dans un voyage sacré, vous ne pouvez voir le but, la raison derrière toutes les relations personnelles. »
« Si l’âme est venue au corps, et le corps à la vie, c’est dans le but d’évoluer. Tu es en train d’évoluer, tu es en train de devenir. Et tu te sers de ta relation avec tout afin de déterminer ce que tu es en train de devenir. »
« C’est la tâche que tu es venu accomplir. C’est la joie de créer le Soi, de connaître le Soi, de devenir, consciemment, ce que tu souhaites être. C’est ce qu’on entend par devenir conscient du Soi. »
« Tu as fait entrer ton Soi dans le monde du relatif afin d’avoir les outils nécessaires pour connaître et faire l’expérience de qui tu es vraiment, tel que tu te crées, en relation avec tout le reste. »
« Tes relations personnelles sont les éléments les plus importants de ce processus. Par conséquent, elles constituent un terrain sacré. Elles n’ont presque rien à voir avec l’autre personne mais, parce qu’elles l’engagent, elles ont tout à voir avec elle. »
« C’est la divine dichotomie, le cercle fermé. Dès lors, le fait de dire : « Bénis soient ceux qui sont centrés sur le Soi, car ils connaîtront Dieu » n’est pas un enseignement si radical. Le fait de connaître la part la plus élevée de ton Soi, et d’y rester centré, ne serait peut-être pas un mauvais but dans ta vie. »
« Tu dois d’abord voir toute la valeur de ton Soi pour être capable ensuite de voir toute la valeur de quelqu’un d’autre. Tu dois d’abord voir toute la grâce de ton Soi pour être capable ensuite de voir toute la grâce de quelqu’un d’autre. Tu dois d’abord reconnaître la sainteté de ton Soi pour être capable ensuite de reconnaître la sainteté de quelqu’un d’autre. »
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