Propos sur la médecine actuelle.
À notre époque, on peut dire que nos systèmes de santé bénéficient de bons chirurgiens, de bons médecins et de bonnes infirmières. Cela dit, on peut toutefois observer qu’il se passe en coulisses des choses bien étranges dans le cadre de la médecine « légale ». Nous en récoltons trop souvent les mauvais effets sans même être conscients de leurs causes. Il est évident que la médecine fait des affaires faramineuses avec le pharmaceutique et est devenue le laquais des politiques au lieu de raisonnablement suivre la science médicale. Comme exemple, citons que le 24 septembre dernier, une dépêche annonçait que le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, risque la prison pour avoir détruit les preuves accablantes de l’extrême danger du déploiement des injections ARNm mis en place par l’Organisation mondiale de la Santé. Le gouvernement canadien a retiré d’urgence tous les vaccins Pfizer et Moderna contre la Covid-19 à la suite d’une série de découvertes scientifiques capitales sur les vaccins ARNm. Ceux-ci contiennent des nanorobots autoassemblés. Les enquêteurs et les procureurs internationaux préviennent que Trudeau et les principales personnalités à l’origine du déploiement de ces vaccinations risquent des décennies derrière les barreaux. Trudeau et ses acolytes du ministère de la Santé à Santé Canada sont en train de détruire en catimini tous les vaccins Covid en stock pour éliminer les preuves de leur crime. De nombreux analystes et journalistes de la santé qualifient ces actes des plus grandes dissimulation et destruction de preuves criminelles jamais vues.
Partout dans le monde, la vérité sur les manipulations médicales commence à faire surface. En Allemagne, des preuves de génocide organisé s’étalent désormais dans les grands médias. On ne le répétera jamais assez : selon ces études, au Canada et en France comme ailleurs, la Covid-19 n’a été qu’une vaste opération de manipulation pour soumettre les populations à des injections expérimentales visant la soumission et la dépopulation de la planète. Le résultat est sous nos yeux : depuis le déploiement des injections, les myocardites sont en augmentation de 2800 %, l’infertilité de 500 %, les fausses couches de 300 %, les troubles neurologiques de 1000 %, les troubles démyélinisants de 1000 %, les cas de sclérose en plaques de 600 %, les embolies pulmonaires de 400 %, etc. Il y aurait plus d’un milliard d’effets secondaires graves et 20 millions de morts dans le monde. Mais les médias subventionnés par les régimes socialistes de la gauche bourgeoise au sein des pays de l’OTAN, ceux-là même qui ont imposé par la force policière ces injections empoisonnées ne nous en informent pas. Les policiers et les journalistes seraient-ils donc complices d’un même stratagème? Pourquoi en parleraient-ils puisqu’ils sont payés des fortunes pour n’en pas dire un mot? Témoins directs du complot mondial contre la santé, la plupart des médias font comme si tout cela n’existait pas. Et pendant ce temps-là, les gens souffrent sans savoir pourquoi leur santé se déglingue à ce point.
Par ailleurs, on apprend que certains hôpitaux vont de nouveau obliger le port du masque à cause des rumeurs du retour de la « petite Covid ». La fraude se poursuit malgré les nombreuses voix qui s’élèvent de la part de citoyens qui prennent conscience de son ampleur. Comment peut-on être aussi antisocial et aussi malintentionné, alors que TOUTES les études scientifiques démontrent la totale inutilité du masque et sa très haute dangerosité, surtout pour les enfants? Comment est-ce possible? Doit-on subir toutes ces épreuves à cause des réactions de nos actions passées? Ce n’est pas impossible. En même temps, il doit y avoir une logique machiavélique à tout ce qui se passe en médecine « légale » de nos jours. Sinon, comment peut-on comprendre les meurtres au midazolam qui ont eu lieu au Royaume-Uni dès avril 2020 et qui semblent se poursuivre encore aujourd’hui? Sommes-nous vraiment tous coupables de ces assassinats par le seul fait que nous restons silencieux à la suite de ces tragédies? Juridiquement, le silence est une forme d’acquiescement.
Rappelons qu’au lieu de prescrire un demi-milligramme de midazolam, les médecins en ont prescrit dix. Vous avez bien lu, dix milligrammes! Les infirmières savaient pertinemment quels en seraient les effets puisqu’elles en voyaient les résultats sous leurs yeux et en étaient donc les premières assistantes. Comment ont-elles pu ne pas alerter les autorités? D’après les rapports officiels britanniques, 26 541 aînés ont été ainsi éliminés uniquement dans des maisons de repos. N’est-ce pas un chiffre hallucinant? Que s’est-il passé dans les hôpitaux et les autres cliniques? Et que ne s’est-il pas passé? On n’ose l’imaginer. Qu’est-il arrivé au Québec? En France? En Allemagne? Tous ces aînés sont morts étouffés. Comme tout « bon » médecin l’apprend au cours de ses études et comme toute « bonne » infirmière peut le savoir en lisant la feuille technique qui accompagne toute boîte de médicament, le midazolam à 10 milligrammes provoque irrémédiablement une dépression importante quasi immédiate de la respiration. On a tué ces gens volontairement. Encore là, silence radio dans les médias. Aucune enquête policière malgré les preuves. Quand on tente de les joindre à ce sujet, le Collège des médecins, Santé Canada et l’Institut Pasteur ne retournent jamais les appels; tout le monde reste muet. Je ne sais plus trop quoi en penser. Où allons-nous? Dans quel monde vivons-nous? Ne trouvez-vous pas que cette situation commence à ressembler à l’omerta des grandes mafias?
D’où provient le problème? D’après les analystes, cette guerre contre les peuples provient de l’agenda d’un groupe d’environ 3000 super riches qui ont réussi à corrompre et à contrôler l’ensemble des institutions (OMS, FEM, CIA, FBI, instituts, collèges, etc.) et qui exigent un contrôle total sur l’être humain. Selon cet agenda appelé la « grande réinitialisation » (The Great Reset), la sauvegarde de la planète requiert l’élimination de plusieurs milliards d’individus. Les vaccinations ne sont qu’un moyen parmi d’autres pour atteindre ce but inavoué et inavouable. À cette fin, les médecins, le personnel hospitalier, les politiques, les juges, les policiers et les journalistes ont été soudoyés. Les élites qui ne coopèrent pas sont menacées ou assassinées « par suicide », et les populations sont manipulées par toutes sortes de techniques psychologiques d’ingénierie sociale. La pandémie n’a été qu’une fraude, un simple prétexte. Le virus lui-même n’a jamais existé; c’est pourquoi aucune institution médicale n’est en mesure de nous le montrer. De grands laboratoires internationaux ont démontré à maintes reprises que les injections contiennent de l’oxyde de graphène, qui est un matériau radio-modulé. Le graphène absorbe les radiations et les renvoie, tout en libérant des radicaux libres dans le corps. Le système immunitaire s’effondre graduellement, ou immédiatement selon l’état des personnes, et crée à terme des tempêtes inflammatoires cytokiniques. Le graphène est une antenne qui relie le corps aux antennes 5G. C’est pourquoi, sans en être conscients, les injectés irradient en eux et autour d’eux des radiations comme un bluetooth technologique de basse fréquence. Cela se passe insidieusement, silencieusement et invisiblement. Tout se passe comme si tout cela était un retour de karma parfait. D’après les règles de la thermodynamique, chacune de nos actions provoque une puissante réaction opposée. Le monde entier se serait-il fourvoyé et aurait-il bafoué les lois de la vie au point qu’il lui faille désormais subir le grand retour de manivelle, un retour de bâton aux conséquences sinistres?
La grippe appelée Covid-19, de même que les fausses pandémies qui pourraient apparaître dans un proche futur, ne sont pas causées par une contamination via ce que la propagande nomme un « virus ». Encore faudrait-il nous prouver l’existence de ces soi-disant « virus » que personne n’est capable de nous montrer. En réalité, la maladie est causée par radiations toxiques. Ces radiations proviennent soit des injectés eux-mêmes, puisqu’ils sont devenus malgré eux des microantennes cryptées, soit émanent directement des tours 5G. Les radiations des tours 5G sont programmées pour émaner de plus en plus intensément partout dans le monde. Pour les sceptiques qui croient encore naïvement ce qu’on leur raconte à la télé et dans l’empire du mensonge, sachez que chacun d’entre nous peut mesurer toutes ces radiations avec de simples appareils mesureurs d’ondes à hautes fréquences (analyseurs d’hyperfréquences qui permettent de mesurer les pollutions et les rayonnements électromagnétiques). Mais qui s’en inquiète? Tout cela nous dépasse complètement et nous préférons penser à autre chose. Bien des gens en sont malades pourtant.
Les effets les moins graves sont des maux de tête, des insomnies, des articulations douloureuses, de la fatigue généralisée, etc. Le régime interdit la vente de puissants antioxydants, comme l’ivermectine, parce que c’est un médicament qui pourrait nous soigner en apportant de l’oxygène aux cellules et en encourageant ainsi le système immunitaire. Comme pour les mesures d’ondes, les quelques scientifiques encore lucides qui osent témoigner de la réalité conseillent simplement aux gens de s’emparer d’une fiole de vaccin, de se rendre dans un labo, de placer le contenu du flacon sous microscope et de voir par eux-mêmes. Les gens ne doivent plus faire confiance aveuglément à ce qu’on leur dit : ils doivent réfléchir par eux-mêmes, faire eux-mêmes des investigations, devenir des journalistes citoyens, aller voir par eux-mêmes et constater l’état des choses. Les enfants sont en danger, l’espèce humaine est en danger. La race humaine doit tout faire pour se réveiller de l’hypnose généralisée et arrêter ce génocide. Si suffisamment de gens autour du monde comprennent ce qui se passe, nous pouvons espérer trouver l’antidote et renverser la situation.
Nous devons remettre les pendules de la médecine à l’heure de l’éternité. Le manque d’idées universelles concernant la constitution complète de l’être humain et de ses relations avec l’ordre cosmique empêche pitoyablement l’enseignement médical de sortir de l’ornière matérialiste. La médecine doit s’élever jusqu’à la synthèse spirituelle et prendre conscience de la force vitale métaphysique qui anime la matière des corps physiques. Il va falloir redécouvrir l’unité scientifique des méthodes cliniques et thérapeutiques réelles et s’affranchir du mensonge matérialiste qui est en train de nous tuer à grand et petit feu. Un grand neurologue, le professeur Roger Sperry, prix Nobel de médecine 1981, résume assez bien la situation, je cite : « Il est indispensable de contester avec la dernière rigueur la conception matérialiste et réductionniste de la médecine actuelle. Je soupçonne que nous avons été dupés, et que la science n’a fourgué à la société que de la camelote. » (extrait du best-seller DIEU, La Science, Les Preuves, aux Éditions Guy Trédaniel, 2023). Je suis d’accord avec le grand professeur : nous avons été dupés. Si suffisamment de gens comprennent ce qui se passe, nous ne le serons plus.
Les effets pervers de la médecine matérialiste sont parfois horribles. Depuis l’année dernière, les employés des pompes funèbres constatent quelque chose d’énorme : un doublement du nombre d’enfants mort-nés. Ils disent ne plus avoir de place où les mettre. Ces employés n’ont plus le droit de les déclarer « mort-nés », car cela nécessite un certificat de naissance puis un certificat de décès, ce qui laisse des traces. Ils doivent les déclarer dans un nouveau concept de « nés sans vie », ce qui permet qu’il n’y ait aucune trace officielle de ces bébés. Ils ont aussi des consignes d’incinérer les corps au plus vite, car l’inhumation permet toujours des autopsies post mortem. Les élites ne veulent pas laisser de traces de leurs crimes.
L’État profond est en panique parce que son plan génocidaire a été mis en lumière. En prenant la peine d’observer la séquence des faits vérifiables, en en tirant des conclusions logiques, en gardant une vision synoptique du contexte événementiel et en analysant à qui profite le crime (la locution latine cui bono), il ne fait aucun doute que la médecine dégénérée est en train de frapper de plein fouet le mur du réel, mais pas que. Nous vivons le temps de la grande fracture. C’est la fin d’un monde et le début d’un autre. C’est la fin de la domination occidentale unipolaire sur le reste du globe et le passage vers la multipolarité des moyens d’exister matériellement, d’évoluer spirituellement, de se nourrir sainement et de se guérir naturellement. La décolonisation de la médecine et de la culture est en route et rien ne peut arrêter ce qui arrive. La grande bascule inclut également l’agriculture, le commerce, le social, le culturel, le religieux, le militaire, l’armement et bien évidemment l’économie. Préparons-nous à un immense changement de cap civilisationnel. L’empire du mensonge s’écroule et la vie humaine est sur le point de redécouvrir qu’elle fait partie intégrante de la vie universelle et de la symbiose terrestre.
Si elle veut survivre à la crise actuelle et aux multiples scandales qui sont sur le point de lui éclater en pleine face, la médecine « légale » ne doit plus détacher les gens de la nature, elle ne doit plus les abstraire de leur passé, ni les affranchir de leur environnement. Les médecins qui étudient un patient sans préambule, sans rechercher d’abord les conditions générales qui président à sa constitution et à son évolution, s’égarent gravement. Le patient doit être relié à son milieu naturel qui le rattache à des lois biologiques et spirituelles précises de nutrition, mais surtout d’émotion. Si les médecins méconnaissent l’existence de ces lois, ils ignorent la véritable genèse des états de santé et de maladie. La médecine ne doit plus se borner à soigner le corps sans s’occuper du terrain et de l’état d’esprit des patients. L’enseignement médical cultive la foi aveugle en des faits morbides se déterminant par hasard. Mais on « n’attrape pas » une grippe ou un cancer; on développe ces conditions durant un long laps de temps. Ces choses-là ne nous tombent pas dessus par hasard sans qu’intervienne notre responsabilité à un ordre naturel et surnaturel. La médecine doit remonter aux causes immatérielles de la maladie et considérer l’action primordiale des influences psychosomatiques et spirituelles. En état d’urgence, des remèdes anti-symptomatiques, antidouleurs, chimiothérapeutiques ou des interventions peuvent peut-être soulager, mais ils ne font que masquer le problème, quand ils ne créent pas des complications bien plus sérieuses par effets secondaires toxiques. Les effets mortels des vaccins en sont la preuve directe et on ne peut plus les ignorer. Certes, la maladie se déplace, mais la rémission est de courte durée et les choses s’aggravent, laissant les malades piégés dans des contraintes sociales et livrés sans défense (surtout les enfants) aux pires absurdités d’une médecine matérialisée, étatisée, politisée et commercialisée.
En conclusion, la grande nécessité pour la médecine serait de ne plus suivre les agendas mortifères des politiques dégénérées de l’Occident, de ne plus consentir à nuire pour de l’argent, et de réaliser que l’organisme n’est pas fait que de chair matérielle. Comme le concevaient toutes les anciennes médecines de la plus haute Antiquité, il faudrait prendre en considération l’état d’esprit du patient, ses émotions, sa foi en un Ordre Suprême, sa connaissance ou ignorance des pouvoirs de sa propre immunité naturelle, ses mémoires, ses traumatismes, et les sentiments vertueux, passionnés ou malsains qui font battre son cœur à un rythme trop rapide ou trop lent. Une force vitale spirituelle nous anime en tant qu’unité de conscience. Cette étincelle de vie immortelle sert d’instrument à l’esprit pour agir sur le corps. C’est la raison pour laquelle la prière sincère guérit depuis des millénaires. La maladie ne se détermine pas uniquement par le fait du hasard, de la chance, du froid, du chaud, des microbes, de l’humidité, etc. Elle provient de fautes lentement accumulées, commises contre les lois qui règlent les conditions du métabolisme et de la conscience humaine. C’est pourquoi il est utile de rappeler aux médecins qu’ils ont la responsabilité de ne pas faire de mal aux gens avec toutes ces absurdes vaccinations. Leur principal protocole devrait être en accord avec le serment d’Hippocrate originel, c’est-à-dire avec les lois divines et donc naturelles, des lois qui régissent les conditions de la santé et de la guérison.
Considéré comme un des plus grands sportifs de son temps, Muhammad Ali a dit un jour : « On ne devient pas champion dans un gymnase. On devient champion grâce à ce qu’on ressent : un désir, un rêve, une vision. » Chaque petit rêve, chaque petit geste dans cette direction compte. Souvenons-nous de Rosa Park, cette petite femme noire fort courageuse qui, en refusant de céder sa place à un policier blanc dans un bus en 1955, a semé une révolution qui atteint aujourd’hui son apogée. Pareillement, nous devrions refuser de céder notre place à l’apartheid de la vaccination et des dangers du port du masque imposé de manière totalitaire par les multinationales du Big Pharma. L’apartheid des compagnies pharmaceutiques qui font des milliards sur la souffrance des gens est un système d’oppression et de domination d’un groupe sur un autre, un système institutionnalisé à travers des lois liberticides, des politiques totalitaires et des pratiques discriminatoires pour l’ensemble des malades. Ne plus consentir à cette forme particulièrement cruelle d’exploitation serait déjà un important geste barrière afin de se tenir au service de la source de la vie le plus longtemps possible. Ce serait surtout un premier pas vers la création d’un monde nouveau, basé cette fois sur le respect de la personne humaine et sur une médecine fondée sur l’amour du prochain.
Patrick Bernard, 7 octobre 2024.
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