Quelques citations de Neale Donald Walsch

Merci à son éditeur francophone, Les Éditions Ariane, de nous autoriser à vous partager quelques passages du livre La trilogie des conversations avec Dieu.

« En cherchant à être. En choisissant de l’être. Mais c’est là un choix que tu dois faire chaque jour, chaque minute. Cela doit devenir le but même de ta vie. C’est le but de ta vie ; seulement, tu ne le sais pas. »

« Et même si tu le sais, même si tu te rappelles l’exquise raison de ton existence, tu ne sembles pas savoir comment y arriver à partir de ta situation actuelle. »

« Je te le répète : cherche, et tu trouveras. Frappe, et on t’ouvrira. »

« Pour ne pas dire que tu te sens « déçu », n’est-ce pas ? En réalité, même si je dois te donner de bonnes notes pour avoir essayé – un «A pour l’effort » en quelque sorte –, je ne suis pas d’accord avec toi quand tu affirmes que tu cherches et que tu frappes depuis trente-cinq ans. Disons plutôt que tu cherches et que tu frappes par intermittence depuis trente-cinq ans, car, la plupart du temps, tu ne le fais pas. »

« Par le passé, quand tu étais très jeune, tu ne venais à moi que lorsque tu étais en difficulté ou que tu avais besoin de quelque chose. À mesure que tu as vieilli et mûri, tu t’es aperçu que ce n’était sans doute pas une relation juste avec Dieu et tu as cherché à créer quelque chose de plus significatif. Même alors, j’étais un phénomène occasionnel, sans plus. »

« Encore plus tard, à mesure que tu en es venu à comprendre que l’union avec Dieu ne peut être atteinte que par la communion avec Dieu, tu as entrepris les pratiques et adopté les comportements par lesquels tu pouvais atteindre à la communion. Mais même là, tu t’y engageais de manière sporadique et inconstante. »

« Tu as médité, tu t’es livré à des rituels, tu m’as invoqué par la prière et la psalmodie, tu as évoqué l’Esprit de moi en toi, mais seulement lorsque cela te convenait ou que tu en sentais l’inspiration. »

« Et même si ton expérience de moi était splendide en ces occasions, tu as passé la presque totalité de ta vie coincé dans l’illusion de la séparation, et quelques moments fugaces, ça et là, dans la réalisation de la réalité ultime. »

« Tu crois encore que ta vie se résume à des réparations de voiture, à des factures de téléphone et à ce que tu veux tirer de tes relations. Que ta vie a trait aux drames que tu as créés, plutôt qu’au créateur de ces drames. »

« Il te faudra encore apprendre pourquoi tu continues de créer tes drames. Pourquoi tu es trop occupé à les jouer. »

« Tu dis comprendre le sens de la vie, mais tu ne vis pas ce que tu en comprends. Tu dis connaître la voie qui mène à la communion avec Dieu, mais tu ne l’empruntes pas. Tu prétends être sur la voie, mais tu n’y chemines pas. »

« Puis tu viens me voir en disant que tu cherches et que tu frappes depuis trente-cinq ans. Je déteste devoir t’enlever tes illusions, mais il est temps que tu cesses d’entretenir des illusions à mon égard et que tu commences à te chercher tel que tu es vraiment. »

« Maintenant, je te le demande : Veux-tu « devenir Christ » ? Chaque minute de chaque jour, agis comme le Christ. (Ce n’est pas que tu ne saches pas comment, puisqu’il t’a montré la voie.) Sois comme le Christ en toute circonstance. (Ce n’est pas faute de moyens, puisqu’il t’a laissé des instructions.) »

« Tu n’es pas dépourvu d’aide en cela, au cas où tu en chercherais. Je te donne des directives chaque minute de chaque jour. Je suis la petite voix calme à l’intérieur, celle qui sait de quel côté aller, quel sentier emprunter, quelle réponse donner, quelle action appliquer, quelle parole prononcer, quelle réalité créer si tu cherches véritablement la communion et l’unité avec moi. »

« Contente-toi de m’écouter. C’est ce que tu es en train de faire ! Fais-le tout le temps, voilà tout. »

 « Oui, tu le peux ! Autrement dit, si quelqu’un te disait que tu peux établir un lien direct, une ligne directe avec Dieu à la seule condition de t’assurer d’avoir, en tout temps, du papier et un stylo à portée de la main, le ferais-tu ? »

« Pourtant, tu viens de dire que tu ne le ferais pas. Ou que tu « ne peux pas ». Qu’est-ce qui se passe ? Que dis-tu ? Quelle est ta vérité ? La bonne nouvelle, c’est que tu n’as même pas besoin d’un bloc-notes et d’un stylo, car je suis toujours avec toi. Je ne vis pas dans le stylo, mais en toi. »

« Bien sûr que tu peux le croire. C’est ce que je te demande de croire depuis le début. C’est ce que chaque Maître, y compris Jésus, t’a dit. C’est l’enseignement central. C’est la vérité ultime. Je suis avec toi, toujours, jusqu’à la fin des temps. Peux-tu croire cela ? »

« Alors, utilise-moi. S’il est efficace de prendre un bloc-notes et un stylo (et je dois reconnaître que cela semble plutôt efficace dans ton cas), alors prends un bloc-notes et un stylo. Plus souvent. »

« Chaque jour, chaque heure s’il le faut, rapproche-toi de moi. Rapproche-toi de moi! Fais ce que tu peux. Ce que tu dois. Fais le nécessaire. Récite un chapelet. Embrasse une pierre. Incline-toi vers l’est. Psalmodie. Fais osciller un pendule. Fais un test musculaire. Écris un livre. Fais le nécessaire. »

« Chacun de vous a sa propre structure. Chacun de vous m’a compris, m’a créé à sa façon. »

« Pour certains d’entre vous, je suis un homme. Pour certains autres, je suis une femme. Pour d’autres encore, je suis les deux. Pour certains, je ne suis ni l’un ni l’autre. Pour certains d’entre vous, je suis pure énergie. Pour certains, je suis le sentiment ultime qu’ils appellent amour. Et certains d’entre vous n’ont aucune idée de ce que je suis. Vous savez tout simplement que JE SUIS. Et c’est vrai. JE SUIS. Je suis le vent qui ébouriffe tes cheveux. Je suis le soleil qui réchauffe ton corps. Je suis la pluie qui danse sur ton visage. Je suis le parfum des fleurs dans l’air, je suis les fleurs qui répandent leur fragrance, et je suis l’air qui la transporte. »

« Je suis le commencement de ta première pensée et la fin de ta dernière pensée. Je suis l’idée qui a déclenché ton moment le plus brillant. Je suis la gloire de son accomplissement. Je suis le sentiment qui a alimenté la chose la plus aimante que tu aies faite. Je suis la part de toi qui désire sans cesse ce sentiment. »

« Tout ce qui te convient, tout ce qui le concrétise, peu importe le rituel, la cérémonie, la démonstration, la méditation, la pensée, la chanson, le mot ou l’action qu’il te faut pour te « relier », fais-le. Fais-le en souvenir de moi. »

 

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