Le bébé raton laveur

Ce qui me manque le plus depuis que j’ai fermé mon blog, c’est de parler d’une journée régulière. Il y a plein de situations banales qui expriment des grandes choses. Ça vaut la peine de célébrer ces plus grands espaces de conscience dans la vie. L’expérience développe la Sagesse. Le partage est l’aide à la communion, pour que le positif serve à protéger nos pairs, nos proches et la vie sous toutes ses formes.

On m’a souvent déconseillé ce genre d’approche. Je suis comme un livre ouvert, dans la transparence. Certaines personnes, mal intentionnées, ne comprennent pas souvent ce genre de générosité et elles s’en servent à mauvais escient. On s’en est même pris à ma liberté d’expression, afin que je retire ce que j’avais entrepris, parce que certaines personnes ne comprennent pas ce qui se passe. Ils sont encore à cacher des trucs ou à avoir l’air parfait, tout beau.

Je relève le défi, par cette nouvelle rubrique, d’y aller dans l’équilibre. Une école de la vie qui apporte des résonnances spirituelles aux leçons de la vie, où se cache de grandes vérités souvent astrales, pour un souvenir de conscience cellulaire et pour se développer à travers nos qualités et notre essence de qui nous sommes, grandioses sur terre.

Je vais m’inspirer de ma meilleure histoire du mois, pour déposer ma sagesse sur des éléments, souvent karmiques, pour améliorer une situation. En pratique, dans la vie de tous les jours, et en théorie de moi qui vous partage les sentiments de comment se passent les choses, lorsqu’on y dépose un regard chaleureux, aimant et compatissant, pour réaliser sa mission humaine et divine sur Terre, en même temps.

Maintenant que j’ai introduit la rubrique, voilà le vif de l’action. Avec une parenthèse importante qui déresponsabilise tous les acteurs qui ont participé dans l’histoire, de façon anonyme, pour les protéger des malfaiteurs.

L’Histoire du petit raton laveur :

Il était fois, un samedi de Pâques, j’ai eu l’initiative d’aller porter le sac de composte plein dans le bac. J’aurais pu répéter cinq fois, pour qu’un de mes enfants se sacrifie pour aller le porter. Comme ça ne me tentait pas de « gosser », j’y suis allée directement; ça va être fait.

L’an passé, huit de mes voisins, que je ne connaissais pas tous d’ailleurs, ont fait une plainte à la SPCA contre moi, car je nourrissais les ratons et moufettes. J’avais développé une harmonie parfaite avec l’environnement animalier. C’était bien entretenu et propre. Avec les enfants, on avait un super projet de sciences naturelles. On a eu une relation avec une famille de six ratons. Bref, je n’ai plus le droit de les nourrir, sauf que je peux jeter de la bouffe dans le bois en arrière de chez nous.

J’arrive au bac et une maman raton que je ne connais pas, premier contact visuel, est dans mon bac avec deux bébés naissants. Au début, je pense aux enfants. Je présume que la mère a faim. Je lui ai lancé une crêpe. Elle n’a pas bougé. J’ai compris qu’elle n’avait pas faim, mais elle restait dans le bac. Elle ne pourrait pas manger. J’ai donc baissé le bac au sol et elle est partie, laissant ses deux bébés là. J’ai réalisé qu’elle n’a pas de bras, pour les mettre sous ses aisselles et partir sur deux pattes. Par télépathie et avec beaucoup d’amour, je l’ai invitée à venir chercher ses petits rapidement.

Probablement que cela a fonctionné. Il y a un bébé qui a disparu deux heures plus tard, ne laissant aucune trace. C’était le plus « grouillant ». On a attendu six heures de plus et elle n’est pas venue chercher l’autre qui a eu froid, dans le bac, malgré les linges à vaisselles qu’on avait mis pour l’aider un peu, le petit pou.

C’est mon gars de 11 ans, souffrant d’insomnie par cas de conscience, qui craignait que si on le laissait là, il mourrait. C’est lui qui l’a rentré avec des gants, pleurant sa vie, parce qu’on devait intervenir pour contrer les lois de la nature. J’avais conscience que si je disais oui, j’en avais pour deux mois à m’occuper de ce bébé naissant, incluant de faire les boires dans la nuit. Mon cœur de mère a accepté facilement. On l’a réchauffé, on l’a nourri au compte-goutte et on a fait notre possible pour l’accompagner dans sa grande souffrance de raton.

J’ai passé une nuit d’enfer! Il a crié presque toute la nuit. Je l’ai réconforté. Les enfants m’ont laissé dormir dans le jour, entre les boires, et s’en occupaient avec beaucoup d’amour et de délicatesse. La deuxième nuit à été mieux; il a dormi. Je me suis levée juste pour les boires. On était mieux informés. On a pris, sur internet, une recette de lait pour chaton. On a compris que la ratine est plus confortable. On était fiers et contents de son premier caca. Mais il n’urinait pas. On m’a suggéré, pour ce problème, de le stimuler avec un Q-Tip humide. J’ai essayé.

La troisième nuit, j’ai dormi mes 10 heures et il ne m’a pas réveillée. Je me suis dit, il commence à y avoir un problème. Effectivement, ce fût le cas. Durant ses cinq ou six jours de vie, il n’a pas uriné une seule fois. Il en est mort. Par chance, mon oncle qui est aussi ange pour les animaux que moi, est venu le chercher avant ses dernières heures de vie, pour l’observer. Le diagnostique venait de lui. Il nous a expliqué bien des choses.

J’ai été voir en énergie, ensuite, ce qu’il en était. Il est rendu à mi-chemin de son évolution animale, avant de devenir humain. Il a saisi tout de suite ma fréquence et a apprécié grandement mes mains aimantes. Il a réussi à modifier ses codes, pour l’amélioration de son prochain corps physique.

Pour ma part, j’ai pu libérer des mémoires et des blessures. Par exemple, une vie où j’étais un singe et dans laquelle je suis morte tôt, comme le raton. J’ai enlevé des codages de ne pas être capable de me voir vieille.

Une vie où j’étais sage-femme. Je pleurais tellement à chaque fois qu’il y avait un bébé qui mourait.

J’ai dégagé beaucoup de mémoires, concernant des massacres animaliers dont j’ai été témoin et qui m’ont fait tellement de mal.

L’important, en tant que parent conscient, c’est d’alléger aussi les enfants, qui ont vécu leurs choses. J’ai appelé ma chirurgienne énergétique pour qu’elle m’aide à nous dégager.

Ça a travaillé aussi sur ma lignée, sur mes parents. Ce qui est plaisant en énergie, c’est quand il y en a un qui se relève. L’équilibre du coucher de soleil se fond dans le portrait et toute la nature/l’environnement vit cette harmonie.

Namasté

Julie L.

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