Jean Béliveau

Je vous parle aujourd’hui d’un homme droit et généreux. Un être qui s’est accompli et qui m’a énormément inspirée. Je l’ai découvert sur le tard. J’ai commencé à regarder le hockey en 1987 lorsque j’avais 7 ans, il ne jouait déjà plus à cette époque. Je ne suis pas une vraie fan. Je ne regarde pas tous les matchs, je ne suis pas au courant du détail de ce que le Canadien vit, chaque saison. Je dirai que ce qui contribue à mon intérêt, ce sont les joueurs. J’ai beaucoup aimé l’époque de Patrick Roy, et maintenant Carey Price. Le hockey est tatoué sur le cœur de ma lignée paternelle. Mon grand-père a écouté tous les matchs du Tricolore à la radio quand il était jeune, et jusqu’à sa sortie de vie. Pour ma part, je m’intéresse au hockey pour avoir un sujet de conversation avec mon père.

J’ai un intérêt pour ceux qui se réalisent. En 2016, j’ai écrit mon livre Guérir avec les stars, regroupant des entrevues avec des vedettes décédées. J’avais fait une demande d’audience auprès de l’âme de Jean. Premièrement, parlons-en! Il est ouvert, présent, lumineux. Il est léger, agréable, bon vivant, et la connexion avait bien fonctionné. Il s’était bien installé et on était prêts à écrire ensemble. Ça s’est arrêté là. Son seul souhait était d’écrire, de contacter sa femme et sa fille par le fait même. J’aurais tellement voulu l’aider, mais le but du livre était pour le public, et finalement ça a avorté dans l’énergie, et j’ai perdu la connexion. Je n’ai pas su ce qu’il voulait tant partager avec sa conjointe, mais je lui ai offert, par le cœur, que si un jour il la place sur ma route, avec honneur je servirai de transmetteur.

Il y a quelques mois, un élan intérieur m’a guidée sur une chaîne où je ne vais pas d’habitude, et ça a mené directement sur la télésérie Jean Béliveau. Mon cœur a chaviré. La couronne me pétillait, des grands courants mauves et bleus s’activaient entre les dimensions. J’ai compris que Jean était toujours dans mon cœur, et que je devais le connaître dans ce qui a accompli ici-bas. Je me suis délectée à admirer et reconnaître un homme droit, beau, juste, honorable, magnifique, merveilleux et très talentueux. Une espèce très évoluée dans un monde de brutalité, désorganisé, avec joutes de pouvoir et de stratégies. Je me suis tellement reconnue dans un parallèle de possibilités. Je m’explique. Sa présence m’amène à vibrer mon jaune d’âme, beaucoup plus fort.

C’est une caractéristique des âmes de haut niveau : il est un Maître de Lumière qui connait bien la matière. Sa contribution vibratoire est faramineuse, ce qui a fait de lui un humain exceptionnel. Ma reconnaissance en cet homme est grandiose.

Je souhaite tant remercier sa femme Élise d’avoir su accompagner cet homme avec beaucoup d’amour et de courage. J’espère, Madame, vous croiser un jour. C’est le genre de rencontre qui change une vie. Comme j’aime tant renouveler mes codages énergétiques, je sais que la borne de Jean Béliveau est curative et que c’est un pilier d’évolution solide pour les consciences flexibles.

Encore aujourd’hui, en 2021, Jean Béliveau reste en tête, comme étant le joueur numéro un que le Canadien a eu dans son histoire. J’ai au moins pu regarder le match où il était venu avec sa femme avant la partie, et où il a été ovationné pendant un long moment. Je ne savais pas trop pourquoi malgré la belle aura qu’il avait. La série portant sur sa vie m’a permis de mettre les morceaux en place et de me donner le goût de faire appel à lui plus souvent pour de l’aide, surtout quand c’est d’ordre diplomatique et que j’ai besoin de m’exprimer.

Je l’aime bien.

Julie L.

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