La vieille prison de Trois-Rivières

Elle a servi de prison de 1822 à 1986. C’est l’Unesco qui l’a fermée parce qu’elle ne la considérait plus comme un endroit salubre. Avant sa fermeture, elle était considérée comme le lieu carcéral le plus vieux du Canada.

Aujourd’hui elle sert de musée. Bien que cela a été rafraîchi par de la peinture, et que cela a été mis propre, ça pue. Il y a une odeur ancestrale qui s’y est imprégnée. On a droit à une visite guidée. On joue au jeu de “si tu rentrais comme prisonnier, comment ça se passerait”.

Déjà que c’est intéressant d’un point de vue 3D. Ça nous permet de comprendre pourquoi les Droits de l’Homme au niveau mondial sont intervenus. Mais côté énergétique, c’est très très chargé. On voit des pendaisons, des voisins assistant à des exécutions et qui crient sur les gens. On voit aussi des traces de violence chez certaines âmes errantes et qui sont prises dans les plans. Ce n’est pas juste la prison qui est chargée, l’environnement de la prison vibre aussi.

J’étais stationnée quand même assez loin et j’ai eu plusieurs visions saisissantes qu’il y a eu beaucoup de souffrance sur ces lieux. Ce n’est pas une zone qui vibre particulièrement la lumière. Je regardais la fréquence des gens qui habitent le secteur et on le perçoit même dans leurs vibrations. C’est comme une lourdeur, une énergie noire qu’ils traînent sans le savoir.

J’ai réussi à m’entretenir avec un homme qui travaillait la terre dans ce coin-là, vers la fin du Bas-Canada. Il était réfractaire à ce coin-là de pays. Les gens respectables n’osaient même pas se rapprocher du périmètre de la bâtisse ou même la regarder quand ils passaient devant. Il m’a fait écouter ce que l’on pouvait entendre de la prison quand l’on se promenait dans la rue. Il y a des gémissements, des lamentations. Ce n’est pas clair ce qui se passe de l’autre bord mais on sent dans nos tripes que c’est inhumain comme traitement, qu’on ne veut pas être là. Il y a l’odeur aussi qui englobe le périmètre.

On voit clairement que les gens ne se sentent pas en sécurité, ni en dedans, ni ceux qui sont libres dehors. Ce n’est pas pour les mêmes raisons évidemment. On m’a dit qu’il y a déjà eu des prisonniers qui ont réussir à s’évader, pas beaucoup mais quand même. On me montre aussi des femmes et familles qui sortent de la prison après des visites et qui pleurent.

Les gens qui y travaillent ont une dureté dans le regard, le cœur vide et malheureux. Ceux qui ont un cœur, ils ne sont pas capables d’y rester travailler, pas dans ces conditions.

Les gens qui sortent de la bâtisse sont plus pollués énergétiquement en sortant qu’avant qu’ils y rentrent. J’ai remarqué que ce fait n’était pas seulement qu’historique. Les touristes qui font la visite guidée avec nous se font remplir sans s’en rendre compte.

Comme tout travailleur de lumière qui se respecte, à qui la vie lui propose une occasion d’élever la fréquence, je m’y exécute. J’ai eu la chance de visiter les cachots. J’en ai profité pour amplifier ma lumière et pour faire une petite, intense mais courte, méditation afin de faire un petit passage d’âmes.

De l’isolement, un grand tube de lumière me rejoignit dans le cachot, où il y avait beaucoup d’âmes errantes en-dessous de mes fesses assises. On a libéré des chaînes à pu finir, des fouets, des étranglements sur des personnes, beaucoup de lésions physiques et de pressions négatives psychiques.

Ç’a pris de l’amplitude parce que ç’a été nettoyé au niveau de l’histoire, simultanément sur des égrégores carcéraux de ce monde jusqu’à aujourd’hui.

On a aussi libéré beaucoup de conscience auprès des travailleurs de la paix qui gardent les détenus. Les officiers de justice aussi, parce qu’il y en a qui se sont trompés. Il y a des gens qui n’avaient pas d’affaire-là et n’avaient pas de ressources pour ramener la vérité.

C’est un moment qui m’a fait travailler beaucoup, même par après. Ça arrive souvent que j’y retourne en méditation pour aider et contribuer un peu, le temps que les consciences avancent.

Je veux juste que vous sachiez qu’il ne faut pas avoir peur de cet endroit, malgré les nombreuses âmes qui y sont restées après leur départ physique. C’est un endroit qui a besoin d’amour pour atténuer toutes les larmes que les cœurs ont endurées et qui veulent se libérer de ce chagrin qui perdure et qui nous amène à perdre le contrôle. C’est vraiment une énergie très présente sur les lieux.

Allez-y et bénissez, soyez dans votre cœur et cela aura une résonance sur un super gros réseau installé sur terre. Atténuez vos peurs, jugements et méchancetés. Cet endroit-là vous donnera l’occasion de vous surpasser, ainsi que vos limites.

Julie L.

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