Serions-nous les maux de Gaia

Dernièrement, j’ai fait quelques sorties en forêt à la maison O’Neil à Québec. En marchant avec le groupe, j’ai remarqué que les arbres, la forêt en général, ne se découragent jamais de voir l’état pitoyable de nos auras. Il y a là deux énormes saules entourés de fées. Heureusement, les deux saules sont de chaque côté d’un petit pont en bois. Je suis donc retourné avec une amie, elle-même une femme fée, et j’ai demandé à ces deux majestueux saules ce qu’ils pensaient de la situation actuelle de nos auras.

«C’est toi qui penses ça. Nous vous ressentons arriver dans ce boisé plein d’espoir. Même certains sont pleins d’amour pour la forêt. Les gens sont affaiblis par la vitesse à laquelle ils vivent. Dans bien des cas, les gens arrivent essoufflés, préoccupés, même confus. Pour certains, ils sont en mode survie. Pour nous, aucun de ces états d’âme n’est particulièrement difficile à transformer. C’est ce que nous appelons les vents malades. Vous générez beaucoup de vents malades. Pauvres petits êtres, toujours dans vos émotions. Certainement trop de suppositions. Vous entrez dans la forêt avec tous ces maux, peines, tristesse, colère, etc. Nous absorbons tout cela, on le transforme et puis on vous le retourne transformé, allégé».

Combien de temps prend la transformation?

«Alors, si vous marchez et respirez correctement comme la marche afghane, 20 minutes. Si vous préférez être assis bien tranquille, alors 45 minutes suffisent. Tu devrais pratiquer la marche afghane lors de tes randonnées. Tu en parles, mais personne ne le fait. Tout passe par vos poumons. Pour débuter, inspirez trois pas puis expirez trois pas; si cela est trop laborieux, passez à 2/2. Ensuite avec un peu de pratique, faites trois pas j’inspire et un pas apnée suivi de trois pas j’expire et un pas apnée. C’est difficile puisque la plupart d’entre vous inspirent un pas et expirent immédiatement au deuxième pas.»

Y a-t-il autre chose que nous devrions faire pour vous aidez à nous aider?

«Être dans le moment présent. Confiez-nous vos vents malades et laissez-nous faire, n’y pensez plus, ne ruminez plus ces choses négatives. Vous êtes là pour vous soulager de ces peines et fardeaux énormes, alors profitez du moment présent en utilisant vos cinq sens. Que sentez-vous dans le bois, quel coup d’oeil pouvez-vous capturer avec votre caméra pour mettre sur votre écran d’ordinateur. Quels oiseaux entendez-vous chanter, etc. Plus vous faites travailler votre corps, plus vous êtes dans le moment présent.»

Un gros merci à toi et à bientôt.

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