Une médium vous répond

Certains d’entre vous savez que j’offre dans le cadre médiumnique, des consultations dans le cadre du travail. J’aide autant le côté patronal qu’employé. Pour moi, c’est un tout. En plus de l’environnement, qui a besoin très souvent d’être nettoyé et aligné. On me consulte dans n’importe quel dossier. Je n’ai même pas besoin de lire un dossier. Juste l’énergie du dossier en raconte déjà pas mal.

Dans le cas qui nous préoccupe, ce sont deux collaboratrices qui ne se sont pas choisies et qui ont un projet commun à faire, avec un objectif à réaliser. C’est un groupe de quatre personnes. Une qui se retire et qui est là en back-up pour la nouvelle qui rentre. Une exécutive dans le processus qui est trempée de a à z dans la mise en œuvre du produit, et qui est là depuis un moment. Et une chef d’équipe qui suit le processus de réalisation et qui coordonne toute la boîte. Elle délègue à des gens compétents qui sont supposés  réussir ce qu’ils font.

Une phrase trop directe et paff, ça bardasse quelque chose. Le premier domino est tombé. La nouvelle, à qui on a dit quelque chose de raide quelque peu, s’est sentie obligée de prendre la parole et d’y déverser beaucoup de négativité sous prétexte qu’elle se devait de s’affirmer, ce qui a commencé à détruire pas mal tout dans l’environnement virtuel. C’était de la méchanceté car elle affirmait que l’exécutive était méchante.

Ça ne lâchait pas, des courriels à ne plus finir, des messages dans le groupe du chatting toujours péjoratifs. Assez que la chef d’équipe a profité de la porte que la nouvelle avait entrouverte, en lui permettant de se respecter maintenant, à savoir si elle préférait arrêter le projet maintenant pour ne pas être malheureuse jusqu’à la fin et de rester là-dedans.

C’est assez résumé. L’article souligne que la méchanceté échangée, dans une énergie d’équipe, retarde toute la boîte. Une pomme pourrie et il y a des conséquences énormes, même sur les délais de la production. Ce n’est pas juste au niveau des coûts. C’est le moral de la troupe qui devient dure à protéger. Dans ce cas-là, la chef d’équipe a pu isoler le cas car il n’y avait que quatre personnes qui étaient concernées. Elle a avisé les 30 autres personnes qui œuvrent dans l’entreprise après coup. Quand le problème fut réglé, elle a annoncé les changements de directions et les conséquences de ce qui venait de se passer.

Le plan b est arrivé. Ça s’est converti en plan c aussi, et même d, en peu de temps. Mais l’équipe a été capable d’honorer son mandat sans trop de dégât. Ç’a demandé de la patience et de la coordination, mais la méthode de travail s’est affinée, tout le monde a appris de ses erreurs et a réaffirmé secrètement que c’est mieux de fonctionner quand on est en harmonie.

J’ai aidé la chef d’équipe dans son processus d’intervention auprès de la nouvelle qui était malade dans sa fréquence. On a écrit ensemble une lettre de tempérance comme première action, où on amenait à sa conscience les endroits dans ses énergies qui avaient besoin de son attention pour sa libération. C’est alors, dans sa réponse, que nous avons vu qu’elle était fermée avec sa souffrance, et qu’elle était non désireuse de s’harmoniser.

Le défi était aussi de protéger l’exécutive parce quand ton allié central est atteint, c’est fini, le projet n’avance plus. Malgré l’éveil de cette dame, elle a été affectée profondément dans ses émotions. Ç’a l’a ébranlée. Il arrive un âge où on ne s’attend plus à être attaqué par une personne émotive qui ne se contrôle pas dans son verbe.

Élucider le karma, amener la progression de la conscience pour départir ce contexte émotionnel, faire du recadrage de perceptions, et c’est facile quand on nous en donne tous les éléments avec des propos déblatérés. Je ne peux pas vous dire comment l’exécutive a passé son morceau après notre discussion. Je la sens bien. Elle éprouve encore du plaisir à contribuer dans ses fonctions, même si ce fût difficile dans le passé. Et il y a aussi de l’espoir à ce que ça se raffine encore plus et que ce soit plus facile, plus ça avance.

Moi, j’ai aidé la chef d’équipe à dégager tout ça. Bien que cela ne la concernait pas, on parlait bien de libérer cet ancrage du cadre de l’entreprise. La fréquence d’un projet doit constamment être réalignée avec des intentions pures pour qu’il y ait continuité et avancement.

Nous avons mis au point un système de repérage lors du recrutement. Oui, il est bon d’avoir quelqu’un qui sait comment faire le mandat au niveau de ses connaissances. Le savoir-être embarque maintenant dans les références d’embauche. Des questions préparées en fonction du discernement du candidat, des signes évidents à porter à notre attention (et c’est plus facile quand tu sais quoi regarder), capter la fréquence du curriculum… ont été mis en place suite à mes recommandations.

On ne peut pas se permettre une roue croche sur notre chariot. Rien des fois, c’est mieux. Quoique si en cours de route, on répare le problème et qu’il reste discipliné, là on peut avancer, mais si ce n’est pas le cas, on change la roue avant que tout pète.

Il faut bénir les situations et les accueillir. C’est la seule manière d’avancer consciemment dans ses rêves, ou son entreprise, ou son travail. À tous les niveaux, ça se bénit. La confiance en découle. Tout est à jour. Il n’y a pas de non-dit, ni d’émotion de travers. Les gens ont l’expérience de se réaliser pleinement parce que chacun a sa place. C’est de la collaboration basée sur le respect et la communication que ça prend. C’est ça que j’amène dans une équipe.

Le reste, ça se nettoie en méditation ou avec une personne comme moi qui vous guide à travers vos erreurs, pour votre apprentissage et l’ouverture du cœur.

Julie L.

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