Bien vivre son célibat

Une de mes spécialités dans la vie, j’ai beaucoup de plaisir à faire ça, c’est de monter des structures. C’est vraiment un don que j’ai développé au fil du temps. Il m’est arrivé en 2003, avec la révélation que j’étais un pilier de lumière pour la Terre. J’ai compris bien des choses, que j’ai intégrées au fil de ma personnalité avec le temps. Et tranquillement, je suis devenue une personne qui prend le temps de bien faire les choses. bien sur, il y a une partie logique et prévoyante là-dedans, mais tellement peu, comparativement à être à l’écoute de son moment présent et elle vient souvent pour appuyer de façon constructive la partie intuition qui guide.

Je dois vous dire qu’avoir des enfants, avec le désir de bien faire les choses pour que ça soit pratique et facile, vous amène à une organisation agréable instinctivement. Cependant, j’ai aussi en moi l’opposé, qui était manifeste auparavant : je suis d’une paresse fainéante quand je me le permets et je suis capable de repousser, déléguer, ou éviter toutes les corvées qui ne m’intéressent pas. C’est le budget qui décide. Je suis une personne concentrée sur mettre du temps dans ce que j’aime faire. Ce que je n’aime pas d’office, demande un effort pour m’y déposer et avancer la tâche avec amour. Les inévitables quoi. Bref, je me suis entraînée à jouer dans les deux terrains, c’est ce qui me définit dans mon autonomie.

Je vous parle de cela parce que ça fait plus de sept ans que je suis célibataire et que ma structure est plus que solide, parce que je l’ai travaillée beaucoup. C’est un peu la raison de la chronique ici ; si on pouvait, par le partage d’expériences, s’éviter de faire des détours. À ce stade-ci, je ne suis plus sur les réseaux de rencontres sur internet et je n’ai aucune connaissance dans mon entourage qui soit assez solide dans sa structure, pour faire la correspondance voulue au niveau du couple. Donc, ça me prend quelqu’un de nouveau. Comme ce n’est pas moi qui décide sur ce qu’il y a dans mon plan de vie, mais plutôt mon âme, j’ai décidé de lui faire confiance et de suivre ses indications.

De mon côté, c’est ouvert en énergie. Je ne suis pas une recluse parce qu’on m’a blessée. Non. Je suis une femme qui est passée par des expériences dans la conscience, la compassion, la communication, le respect et l’amour. Je suis à jour dans mon plan de vie, karma et relations avec les autres. Quand une personne se présente, amoureux ou pas, mon ouverture permet une bonne lecture de ce qui en est. Ensuite, le positionnement se fait tout seul. C’est clair dans le cœur, c’est clair dans la matière. À partir de là, il est possible que le compromis embarque, en raison de la partie «besoin» qui est manifeste. Quand on règle la cause du besoin, le système hormonal s’ajuste et ça devient simple de canaliser positivement son énergie sexuelle, face à soi-même. On n’a plus besoin des autres.

On arrive ensuite dans le besoin du cœur. Cela veut dire que nous ne sommes plus assujettis aux dépendances interrelationnelles. On est agréablement capable d’être et de vivre seule, même si on est accompagnée d’un chat, ou des enfants. Le but, c’est la création. Plus nous sommes disposés à allouer du temps pour que l’âme se réalise à travers la perfection de ses dons, meilleure est la création et les résultats ont une plus grande portée pour rejoindre le bonheur absolu. Quand on est prêt, la bonne personne se présente. Je suis rendue là. Je suis drastique sur cette question : c’est ça ou je passe mon tour.

Le premier critère que je regarde c’est l’âme de la personne. Si c’est léger, fluide, lumineux, pour moi c’est harmonieux.

Le deuxième, c’est la droiture. Je ne fais pas référence à la rigidité du plan mental. Je parle de cette qualité qu’avait Jésus, d’être droit dans son cœur. Ça veut aussi dire que ses pensées, paroles et actions concordent et sont alignées.

Le troisième, c’est d’être à jour. Comme je le suis dans toutes les sphères de ma vie, je me cherche le parfait complément qui pourra me comprendre dans ce schème de vie et partager cette liberté réciproque.

Le corps de souffrance est libéré. C’est une personne qui est prête dans la vie et qui a de la place pour accueillir quelqu’un. Déjà, on évite les complications dans la nouvelle relation à cause du passé et en plus, ce que l’on crée dans le présent est fondé sur des bases durables. Évitez les gens qui ne sont pas prêts ! Vous ne pouvez pas vous permettre d’attendre après eux ou de les aider. Sinon, c’est votre cœur qui paiera le prix de leur faillibilité.

J’ai beaucoup à dire et deux pages, c’est très peu ! On continue  le mois prochain.

Julie xox

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