Comment gérer ceux qui nous disent non?

Tout au long de sa vie, chaque humain se fera dire non des milliers de fois, pour toutes sortes de raisons. Heureusement, ceux qui ont continué d’avancer après un certain nombre de non « significatifs » ont réussi à être eux-mêmes et inspirants malgré tout.

Les parents sont les premiers à dire non pour un peu tout. Cela sert à protéger les enfants, à les éduquer, à les aider à trouver un équilibre, mais la dose de ce contrôle peut être vite débalancée, perturbant un certain niveau d’équilibre, et à un moment donné, cela devient apparent. De fortes réactions contradictions peuvent en découler, influençant le cours de toute une vie ainsi que la personnalité. La joute de la souffrance et du pouvoir désillusionné joue gros, occasionnant des carences, des problèmes d’identification du soi et de cafouillage dans la collectivité, puis devient un générateur de karmas assez puissant, constant aussi, toujours dans la blessure et la fermeture.

Je vous écris une chronique sur ce que j’ai vécu le 8 mars, Journée des femmes. Déjà, c’est très fort comme occasion de grandir. J’en profite à l’infini de ce que représente le 8! Connecter la tête par le cœur, dans le corps, avec stimulation de son essence. Je l’accueille pleinement et le bénis, en étant dans une profonde gratitude. L’occasion de grandir est là parce que je suis responsable de mon ascension, ayant conscience de mes actes dans ma création, et aussi, j’aime mettre de l’ordre, remettre les pendules à l’heure, ramener ça à zéro maintenant. C’est un mode de vie assumé, déstabilisant pour les autres, mais le but est d’avancer, et qui sait, avancer ensemble, c’est encore mieux. Je ne suis plus dans ce rôle de celle qui fait progresser les autres. Je le prône par l’exemple et la communication. Comme c’est une expérience qui concerne du vrai monde, je vais leur attribuer des noms fictifs pour respecter leur cadre-jeu rigide et désuet dans lequel nous sommes.

Une recherchiste à l’emploi de CC, dans le monde traditionnel des médias au Québec, m’aborde professionnellement pour obtenir de la voyance, dans le cadre d’une émission animée par PP, MEJ et une autre personne, par Facebook. Puisque j’accueille, je suis contente de voir cela arriver en cette journée des femmes. Sondant mon cœur, j’ai vite compris que quelque chose ne tournait pas rond.

Comme vous le savez, ça fait un moment que j’œuvre dans la pratique des communications, parallèlement ou « fusionnellement » avec mes fonctions de médiumnité. Je suis très capable de les séparer, de distinguer entre une conversation agréable 3D, et d’assister à une œuvre de transformation consciente, si elle a lieu. Je peux également rester 3D dans mes relations avec les autres, même si j’assiste à ce qui se passe en profondeur.

J’ai répondu immédiatement, même si ma mère était en désaccord. Elle m’a conseillé d’attendre, de prendre du recul. Je lui réponds tout le temps la même chose : dans six heures, trois jours ou un autre délai, je reste toujours dans ma position centrale. Pourquoi attendre? Le résultat sera le même, mais on gagnera du temps et on diminuera la marge d’erreur que le karma peut engendrer. Plus vite c’est réglé, mieux c’est, et mieux vaut que le cœur soit en accord avec la démarche.  

J’ai écrit à la recherchiste en l’accueillant et en la remerciant pour la proposition, mais dans les faits, (je suis partie de là avec l’optique que cela pourrait s’améliorer en bonne optimiste/opportuniste que je suis) elle n’a pas bougé pour faire avancer le conflit vers une solution harmonieuse. C’est ainsi que c’est devenu une cause pour laquelle je milite présentement. Mon cœur est heureux quand j’ai une occasion de rendre cela plus harmonieux et juste, mais ce n’est pas le cas de tous. Certains préfèrent se coller le nez sur le mandat qui leur est confié, et sur leur façon de faire. C’est la culture du travail d’aujourd’hui. On a évacué la capacité de réfléchir, de sortir de la boite, d’innover, de prendre des initiatives, des risques payants parce qu’il y a du renouveau. C’est une méthode bureaucratique, donnant l’illusion que l’employé est autonome dans son cadre bien défini, par une culture du silence et de l’hypocrisie du show-business et autres domaines populaires.

La raison de cet article, c’est de montrer que par la conviction et la détermination de dire les choses pour qu’une situation progresse, il est possible d’amener une conscience. Si au moins une personne pouvait être plus agréable et vraie quand on lui fait une proposition, déjà le monde s’en porterait mieux!

Je donne les détails ici, mais la réponse que je lui ai faite a été concise. Cependant, j’ai conclu mon message en précisant qu’un redressement devait être effectué si j’apportais ma collaboration à leur projet.

Parce que pour moi, les gens qui me disent « non » avec un manque de savoir-être, je m’en souviens beaucoup parce qu’avec bravoure, j’ai fait l’effort de mettre dans l’amour les événements à mesure que je les vis, avec pardon et compassion en plus (courage d’aimer pour purifier ce qui ne marche pas sur le plan intellectuel). Je ne suis pas forcément encline à renouer avec ce genre d’auto-sabotage des relations humaines, avec des gens qui choisissent la fermeture pour éviter de ressentir qu’ils peuvent apporter leur contribution au grand plan, celui dans lequel tout le monde se réalise avec amour. Au détriment d’une compréhension supérieure de « comment ne pas impliquer sa nature profonde dans ce que l’on crée et ce que l’on désire accomplir, être », nous, qui sommes dans l’ouverture, devons accepter d’être témoins de ce qui ne marche pas, et de l’illuminer, de faire notre part pour améliorer une situation. On peut également secrètement souhaiter que tous les aspects de son plan de vie se règlent définitivement, étape par étape, en espérant que ça ouvre un jour, peu importe quand ou comment. Je suis prête comme on dit.

Pourquoi se créer des complications pour son avenir? C’est ce que je n’ai pas compris et pourquoi j’investigue. Je vais le passer profondément, et rejoindre davantage de certitude face à la capacité de m’habiter, dans mon espace et ma conviction profonde. C’est malheureux de constater que les gens ne construisent pas sur du long terme, parce qu’ils ne voient pas plus loin que le bout de leur nez. Je pardonne…

Voici ce qui est arrivé, ce que j’ai résumé à la recherchiste.

En 2016, une connaissance (DD) m’avait mis en relation avec MEJ, on s’était parlé au téléphone. Je lui avais demandé une entrevue pour mon émission de radio Web à cette époque. Ce n’était pas une femme qui écoute avec son cœur, ses réponses étaient sèches, elle était un peu bête, avec un intérêt sonnant faux. Elle a opté pour le « oui », générant de l’attente sans fin, et ses traces se sont évaporées avec le temps. Elle a reçu mon livre « Guérir avec les stars » que je lui avais offert pour le passage du message avec Elvis. Je n’ai pas reçu de retour. Rapport qualité/humanité plutôt pauvre, avais-je constaté, la notion de respect dans sa façon d’entreprendre faisant défaut. Elle réserve sa gentillesse à ceux qui lui apportent des choses intéressantes, quant aux autres… Il lui manque du rose pour la ramener à la générosité de l’être, inconditionnelle.

Elle plafonne dans sa façon de réussir, inconsciente de ce qu’elle crée, narcissique, n’est pas en paix avec le père, avec beaucoup d’illusions émotionnelles jaunes, effaçant le bleu indigo du chakra 3e œil et le vert de son cœur, qui n’est pas ouvert. Elle n’est pas capable de pardonner ce qui bloque avec sa mère, a besoin d’apporter la guérison à sa blessure d’abandon et ce qui ne tourne pas avec le père (le plexus est devenu vert, bourgogne sombre. Elle se fâche d’être désillusionnée, mais c’est inconscient. Bref, elle n’a pas trouvé le moyen de revenir à elle-même. Elle n’est pas en paix, et c’est pour ça qu’elle a l’air bête (hautaine).

Elle est en deux parties non fusionnées et refuse de s’investir pour se ramener dans son courant de vie. Elle manque d’amour et de reconnaissance du soi pour bien porter son âme jaune un jour, et réussir enfin à être heureuse en amour. Je lui souhaite une énergie de tendresse maternelle des mères divines, ainsi que de la guérison pour panser avec son père, ce qui génère son refus d’Acceptation.  

J’ai un tempérament de compassion, compréhension et d’empathie ultra-élevé, je suis capable de lui envoyer mes bons souhaits de réconciliation, de libération pour qu’elle comprenne l’importance de mieux s’aimer en s’élevant en spiritualité, celle qui lui est propre et qui l’amène à effacer les regrets du cœur (pour le retour à l’intégrité et au soi). Même si elle ne m’a pas dit non, toute sa fermeture parlait pour elle, en montrant le contraire. Un « Non, ça ne m’intéresse pas! » aurait été plus favorable et aurait fait moins de dégâts, chère MEJ.

En ce qui concerne PP, ça remonte probablement à quelques années, j’avais réussi par Facebook à lui demander, dans un commentaire d’une publication, une entrevue vidéo, cette fois-ci pour la page couverture de ma revue. Sa gérante et moi avons eu une conversation téléphonique. Je lui ai expliqué le projet, lui précisant qu’elle avait toute la latitude d’approbation voulue concernant l’entrevue, et qu’aucune question spirituelle n’allait être proposée, et que le but était de mettre en valeur l’artiste sans faire de vague.

Cette gérante a opté pour une livraison de jugements et de limites presque exprimées dans la méchanceté, mettant dans le même bateau le paranormal, la médiumnité, la religion, la sorcellerie, etc.  sous prétexte que ma revue portant sur la voie de la conscience représentait un danger pour PP. J’ai été spectatrice du contrôle qu’elle détenait sur l’artiste au vu des répercussions dans sa structure, de son « déphasement », de sa position d’attente face à sa gérante, à sa création, à sa vie. J’ai assisté à un écrasement énergétique, à une mauvaise relation de confiance entre deux personnes supposément en équipe, parce qu’aucune d’elles ne gouverne sa vie par la voie du centre, du juste, de sorte qu’elles n’expriment pas leurs pleins talents.

Sous le réflexe de vouloir protéger l’artiste, elle a dirigé la situation directement avec ses filtres erronés, (teintés de son jugement et de sa méconnaissance de ce qui en est), ce qui a appauvri ses relations interpersonnelles. Le processus de notre échange a été contaminé par des manifestations égotiques, ce qui a court-circuité ce qui aurait pu être échangé ou construit sur un plan plus élevé. Ce que je trouve le plus triste, c’est que je suis certaine que PP ne sait pas toute l’histoire, parce que celle qui l’assiste ne lui dit pas tout, probablement dans un contexte de filtration dans ses fonctions. Elle retient donc beaucoup l’information qui aurait pu l’aider, surtout de ses erreurs. L’ego n’avertit pas qu’il est déraisonné et lui fait croire qu’elle a raison d’agir ainsi avec les gens.

Il serait facile pour moi de vous en dire davantage sur les énergies de ces personnes, sur leurs problèmes, mais ce n’est pas le but de mon propos. Un « non merci » sympathique avec la vérité aurait fait l’affaire. Quand j’ai raccroché, je me suis dit qu’elle me prenait pour un monstre! C’est super! Wow!

De plus, par le truchement de FT qui travaillait avec PP il y a un moment, mon livre « Guérir avec les stars » lui avait été remis avec une dédicace spéciale. D’elle non plus, je n’ai eu aucun retour. MEJ et PP font bien de travailler ensemble, car elles partagent la même ingratitude. Ça m’a fait rire aussi, avant de le passer dans la compassion encore plus fort. Ce qui surprend, c’est que les deux n’ont même pas eu l’idée ou le réflexe de dire à la recherchiste qu’une médium les avait approchées pour leur remettre un exemplaire de son livre (qu’elles n’ont pas lu et qu’elles ont égaré).   

J’ai mis de l’amour là-dessus, sur leurs souffrances qui justifient qu’elles se comportent ainsi, j’ai pardonné, mais l’expérience reste et nourrit la sagesse, si c’est fait en conscience. C’est juste très drôle de constater que les raisons pour lesquelles on m’a dit non sont les mêmes que celles qui font qu’on m’approche maintenant pour faire l’émission. J’ai beaucoup ri avec la vie, je vous le confesse! La justice divine fait bien les choses. Je suis prête! Je saisis tout le temps l’occasion de mettre de l’ordre, y compris quand les gens sont mal polis. Je suis directe, ça froisse, mais je l’assume.

L’approche de communiquer intelligemment implique les faits et la réception du cœur. C’est la réaction émotionnelle polluée de la partie qui le reçoit qui complique la situation.

Quand la recherchiste VGR a vu ça, elle m’a remerciée pour ma franchise, mais elle n’a pas été capable de bien gérer la situation. Elle m’avait fait une demande d’amitié Facebook en même temps que son message, que j’ai acceptée. Alors que je tentais de lui expliquer simplement la situation, elle a commencé à se fermer. J’ai vu un poids s’alourdir dans ses énergies, tapant dans la contribution karmique de son espace compte tenu de ses blessures d’abandon et de rejet. C’est typique de ceux qui veulent éviter les problèmes, car ils ne sont pas conscients qu’en se fermant au moment présent, ils s’éloignent de qui ils sont et n’assument pas leur mouvement dans la création. Ils génèrent plus de problèmes en les contournant, et bafouillent leurs semences pour l’avenir. Ils s’occupent de leur boîte.

J’ai vite compris que la recherchiste ne pouvait pas gérer des problèmes parce que son don d’entrepreneur et celui de l’initiative, qui lui auraient permis d’apporter ses solutions à ses demandes, ou d’assumer sa mission d’être, sont cassés, tout comme sa capacité de mettre en relation et d’entreprendre la construction de son réseau de contacts. Au lieu de cela, elle préfère dépendre de l’information provenant des autres. Si ça ne sert pas maintenant, ça peut être utile plus tard. Elle n’a pas compris cela. Elle m’a écrit qu’elle annulait sa demande pour l’émission, m’a retirée de ses amis Facebook et est sortie en douce comme un voleur.

Ce matin, je l’ai appelée. Elle a répondu, déjà! Quand je me suis identifiée, son plexus a sorti un anneau de distorsion intense, mais elle a assumé sa position de la boîte.  J’ai usé de gentillesse pour prendre sa version des faits, de sa sortie nulle dénuée de classe. J’ai écouté son cadre standard, sa cassette de balises professionnelles, mais ce que j’ai compris est très simple! Son employeur craint le changement et de l’innovation, préférant le superficiel et le contenu léger du divertissement, qui reste en surface, parce qu’on craint d’entrer dans la vérité. Ils engagent des gens à leur image, donc limités, des animateurs qui ne veulent pas savoir qui ils sont, qui font semblant d’être. En d’autres mots, VGR m’abordait pour une voyance superficielle, comme du tarot vide ou de la voyance légère, contrôlés pour ne pas brusquer les conventions non formelles des animateurs ou de CC. Effectivement! Ce n’est pas pour moi, qui suis spécialisée dans la transformation en profondeur des consciences. Il faut dire, et ils ne sont pas prêt à entendre. Ces médias s’éteignent tous à petit feu parce que les gens sont prêts à voir, à entendre, à grandir et à se nourrir de qui ils sont. Je les bénis et je leur pardonne pour leurs limites, en espérant qu’ils ne s’étoufferont pas avec bientôt.  

VGR a mis le focus sur son mandat à la surface. Ne faisant pas la différence de ce qu’elle magasine, prête à acheter n’importe quoi pourvu qu’il n’y ait pas de problèmes apparents, elle est passée à côté de la possibilité d’être et de la chance de se réaliser, de pouvoir faire avancer quelque chose de bien et spectaculaire pour son équipe et son employeur, par sa peur d’innover, de solutionner, de créer des ponts communicationnels supposés servir à ses fonctions de relationniste. Elle a refusé d’être la messagère qui établit des ponts, (il aurait fallu qu’elle habite son rose un peu plus pour qu’il puisse y avoir de l’initiative, pour vouloir aider à régler les problèmes (le refoulement, l’abandon et le rejet l’amènent à se fermer et à partir rapidement dans les situations qui se présentent dans sa vie).

Pour terminer ce long article, qui aurait pu prendre cinq minutes à la radio, je dirai qu’il s’agit d’un exercice de communication profonde qui a pour but de partager ce qui ne fonctionne pas dans nos systèmes et sociétés. De mon côté, j’ai exercé le redressement chez moi dans chacune des situation de vie, je suis une femme libre qui n’a rien à perdre, je peux me permettre de partager cela avec vous.

Je vais le faire parvenir aux personnes concernées, dans le détachement face à ce que ça peut provoquer, comme une simple messagère qui transmet un message pour une possibilité de correction quelconque, même si ce sont d’autres personnes qui en bénéficieront dans leur vie. Si une personne s’améliore personnellement, ce sera déjà ça de gagné pour tous. C’est comme ça pour les êtres qui avancent.  À eux d’être libres de le recevoir à leur façon, puisque mon article est neutre.

Soyez bénis.

Namasté

Julie L.

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