Le célibat : choix de vie

On dirait qu’en constatant mon livre de vie, je suis assurée que j’ai pas mal tout vécu, en toutes circonstances et décisions. Je suis rendue, dans cette incarnation ici, à regarder le tableau d’ensemble, à faire des choix et prendre des actions, pour ma stabilité intérieure. Je suis en plein processus existentiel, qui mesure tout dans l’existence. C’est ma nature.

Depuis que j’ai eu la maturité de me responsabiliser à savoir qui je suis, j’ai exécuté tous les passages de conscience. J’ai nettoyé le plus possible de mon champ de connaissance, mon champ aurique, pour y délaisser le plus de mémoires dans mes énergies. Je suis en action dans mon travail de lumière, depuis le début de mes vingt ans, l’âge où j’ai quitté le domicile de mes parents.

Je ne fais pas ça seule. Je suis en action avec d’autres travailleurs de lumière dans la matière et des maîtres énergétiques. Ça prend les deux qui ouvrent en même temps. Le plus drôle là-dedans, même si je déblaie couche par couche jusqu’à l’infini d’amour, il y a encore une partie de moi qui reste bloquée. Et ce qui bloque, je n’avance pas, ou peu, dans le domaine précis où ça se présente. C’est beaucoup trop d’efforts pour les résultats que ça donne.

Pour ça, le maître se présente quand l’élève est prêt. Je sais que mes blessures sont karmiques, et que ce sont des maux d’incarnation de l’âme. Je n’ai pas précisément trouvé le bon débloqueur pour ces sujets, jusqu’à il y a trois semaines. Je fais affaire avec un couple francais par Skype, capable de s’attaquer à ces déprogrammations spécifiques qui obstruent ma vie. En plus, j’ai des rencontres avec des grandes fréquences extraordinaires, comme ma rencontre avec l’invité du mois. Je médite de mon nettoyage à chaque fois que je le peux, je suis consciente de ce que je fais et ce que je suis. J’accueille les fruits de ma sagesse.

C’est ce que je fais, célibataire comme en couple. Le cheminement personnel est tellement important, car c’est lui qui va évaluer la prochaine qualité de relation avec un/une partenaire. Un moment donné, on accepte où on est rendu dans notre progression. Une fois centré, là on est capable de s’attaquer à la prochaine butte qui nuit à notre potentiel de réalisation, parce qu’on est nécessairement rendu solide dans qui nous sommes, pour prendre position dans le respect de ce qui en est. C’est alors qu’une somme considérable de lumière peut nous amener à déprogrammer ce qui ne marche pas. C’est toujours envers nous-même, puis ensuite, ça va sur notre connexion avec la terre mère. C’est ça quand on a trop accumulé. Ça prend une vie pour nettoyer. La période de célibat est idéale pour ça, car nous n’avons pas l’interférence d’une personne qui n’est pas consciente de ses espaces, qui pollue notre reprise de pouvoir créateur.

Moi, je suis célibataire depuis longtemps. Comme j’ai fermé la porte à ces résistances externes d’hommes pollués, je me dis qu’il y a de la place pour rentrer un amour à succès. Mais c’est une illusion. Il n’y a pas de place parce qu’il y a des blessures. Je suis protégée de m’exposer à des détours qui briment la voie du cœur. Je me respecte.

Alors, je continue mon ménage, et enfin je peux dire que je suis prête à faire face à mes gros gros blocages inconscients comme le refus d’incarnation, la non-réussite en amour et en affaires, l’auto-destruction. C’est certain que ça va faire une différence d’alléger ma fréquence encore plus en profondeur. Vouloir l’équilibre,  c’est fondamental dans notre nature épurée. C’est de s’avouer qu’on peut l’être plus. Je suis autonome comme dirait la 13e loi cosmique universelle.

Ce qui n’est pas facile sur la route de l’ascension, c’est que c’est toujours à recommencer, comme le ménage dans la maison, ou comme manger. Une chance que ça finit un jour. On appelle ça le dharma. Tous les contrats de vie avec les autres âmes sont terminés. On est prêt à vivre le “absolument vrai” dans nos vies. C’est ça qui est beau. Il en est fini des sacrifices d’identité pour plaire à l’autre. C’est révolu la dévotion aveugle envers quelqu’un qui cherche à combler un besoin et qui n’est pas à l’aise avec qui il est. C’est terminé les complications des jeux de rôles et des joutes de l’égo. C’est la reconnaissance pure manifestant son divin en soi. Moi, c’est ça que je veux, et ce n’est pas sur un site de rencontre que je vais trouver ça. Je le sais, j’ai assez perdu de temps là-dessus.

Chose certaine, c’est que ça va bouger parce que je mets tout en œuvre pour cela. Allège-toi et accueille. Voilà ma philosophie de vie.

Julie L.

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