Les dédales administratifs 8e partie

Je suis toujours en attente de la médiation proposée par le TAQ (Tribunal administratif du Québec). Lors de la dernière chronique, je vous avais partagé que j’avais trouvé un emploi idéal à ma ville, en communication. J’avais tout pour que ça fonctionne (les contacts, la compétence pour livrer quelque chose de révolutionnaire, la connaissance de la région, des journaux locaux et mon expérience citoyenne de 20 ans, mais je n’ai pas le diplôme. Celle qui a le diplôme et qui engage dans son département, n’a pas pris deux secondes pour répondre à ma candidature, elle a préféré « snober » ma candidature et la rejeter. Déjà, on peut dire que son diplôme ne lui a pas appris la politesse de base.

J’en vois plein d’erreurs de communication dans ma ville. Par exemple, ils ont affiché des interdictions de stationnement sur ma rue, qui est un cul-de-sac, complètement inutiles, sans même aviser personne; c’est du moins, ce que mon enquête auprès de 12 voisins m’a confirmé, à savoir que leurs avis n’avaient pas été sollicités. De plus, ce sont des blocs appartements, où il n’y a pas de stationnement supplémentaire pour les invités, ça finit automatiquement à ce stationner dans rue. Bref, des règlements qui nuisent et qui ne sont pas adaptés à la réalité du citoyen, et pourtant, ils ont tous des diplômes.

Des erreurs en communication, il y en a à tous les jours dans les médias. Pourtant, tous nos politiciens sont accompagnés par des gens diplômés et qui se plantent. Oui! Je suis convaincue que mon sens médiumnique va au-delà du diplôme, parce que j’ai une lecture du passé, présent, futur qui apporte un résultat plus juste, en toutes circonstances.

Ce qui est étonnant, c’est qu’en tout, j’ai envoyé 83 CV, et que tous se cachent derrière la protection ou la fausse sécurité, que si tu n’as pas de diplôme, tu ne vaux rien. Pourtant, j’en est plein de diplômes, mais l’ensemble du candidat n’est pas considéré. Pourquoi? C’est le phénomène de transformer une personne en numéro, compartimenter pour exécuter des tâches précises comme des esclaves, qui évitent de penser par eux-mêmes. Je résumerais en disant que le processus de l’emploi est impersonnel et inaccessible si tu n’acceptes pas de rentrer dans la boîte. Mais je sais pertinemment que dans la boîte, les gens ne sont pas heureux; ils ont limité leurs rêves et ont abandonné une partie de Qui Ils Sont. 

Bref, ça m’a permis en même temps d’apprécier encore plus mon statut de travailleur autonome, avec mon entreprise, qui me permet de jouir de ma liberté de vivre, même si c’est plus difficile par moments. Au moins, je peux dire que j’ai essayé véritablement. Il y a une partie de moi, qui trouve ça difficile de compresser mon horaire, alors que mes journées sont déjà très chargées. Je ne sais pas comment je pourrais faire plus, en ajoutant un 35 heures semaine.

Comme j’ai la capacité incroyable de revenir à zéro, et de repartir à nouveau, je me suis posé les bonnes questions, donc j’ai reçu les bonnes réponses. Continuer mon chemin, avec la foi et la certitude que ça va ouvrir, peu importe comment, même si je suis encore pauvre et que je dois faire des sacrifices. Je me redéfinis et pendant les vacances des fêtes, je vais monter des ateliers accessibles à tous, avec la gestion consciente émotionnelle. Ça va aider la terre et la société à mieux se porter, par la conscience individuelle rehaussée.

Je vous souhaite une année magnifique et facile. Réglez vos situations difficiles au fur et à mesure. Bénissez-tout! Soyez qui vous êtes. Namasté

Julie L.  

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