Nous sommes Un, nous sommes sacrés

La science, la religion et la médecine qui nous ont été enseignées depuis un siècle ont créé la manière dont nous percevons la réalité de ce monde. Pour des raisons évidentes de contrôle politico-religieux, la plupart des individus qui se sont impliqués dans ces disciplines nous ont raconté des histoires lugubres et d’une tristesse sans précédent.

En effet, selon les différentes versions officielles, nous serions une sorte d’erreur « nés dans le péché » ; nous serions munis de gènes déterminant par eux-mêmes nos maladies ainsi que nos qualités (le dogme lucratif du déterminisme génétique). En outre, il s’agirait de gènes qui seraient transmis de génération en génération (hypothèse qui n’a jamais été prouvée). Si toutes ces mauvaises plaisanteries ne suffisaient pas, on nous a affirmé que notre présence sur terre est le fruit d’un pur hasard et que nous mutons de manière tout à fait aléatoire. Autant d’idées farfelues qui ont eu comme résultat de nous retirer tout pouvoir personnel.

Il nous a aussi été répété que nous existons séparément de l’univers et que nous sommes seuls dans la galaxie. Le dogme de la matière en tant qu’origine de la vie, l’interdiction de guérir ou de soigner en-dehors de la collusion organisée entre industrie pharmaceutique et médecins, la croyance d’être énergétiquement isolés les uns des autres et celle de vivre sur une planète perdue dans un vide sidéral : tous ces crédos sont encore prêchés dans les collèges et par les grands médias conventionnels. Le problème est devenu systémique. Ces dogmes culturels nous imprègnent et déterminent la réalité de notre monde et de notre vie. Ce n’est donc pas étonnant si de nos jours l’humanité suffoque et qu’une personne se suicide toutes les 40 secondes dans le monde. Tel est le diagnostic.

Heureusement, les brillantes recherches de nouveaux physiciens, biologistes, neuroscientifiques et journalistes scientifiques remettent en question ce bourrage de crâne. On réalise aujourd’hui que le rejet de la pensée unitaire et holistique représente l’une des tendances les plus destructrices de l’histoire humaine. Cette vision totalement fausse de la réalité est à l’origine de tous les grands problèmes auxquels nous devons faire face : pollution radioactive, guerres civiles, terrorisme politique, fanatisme religieux, cruauté sans limite et quotidienne de l’abattage et de l’élevage industriel de millions d’animaux, généralisation de la criminalité dans les milieux policiers et politiques, mafias de la grande finance, pour n’en citer que quelques-uns.

Par bonheur, nous réalisons maintenant que ce paradigme de la séparation est dépassé, irréel et sans fondement. De plus, les sages de tous les temps et de tous les temples l’affirment : tout est lié et rien n’est séparé. Nous sommes tous Un, tous reliés au niveau du comportement des particules de matière qui composent les cellules de nos corps physiques, de même qu’au niveau des énergies subtiles qui animent nos esprits. Cela est désormais un fait établi quelles que soient nos origines, notre langue maternelle ou la couleur de notre peau. Nous sommes unis dans les champs morphogénétiques de la conscience unifiée. En essence,  nous formons une seule et grande famille. Nous pouvons donc nous aimer et nous respecter.

Ce que nous faisons aux autres, aux animaux comme à la nature, ce que nous faisons à Gaïa, notre mère la Terre, nous le faisons à nous-mêmes. Les nouveaux physiciens observent, presqu’avec effroi, qu’au stade le plus élémentaire et le plus profond de la vie, tous les êtres ainsi que toutes les particules qui composent les atomes de nos corps sont connectés. Il nous est demandé désormais de comprendre et d’intégrer les implications de cette évidence aussi scientifique que spirituelle. Nous avons besoin d’un nouveau milieu de compréhension intégrale. Un milieu qui nous fera saisir la nature de ce que signifie d’être un être vivant à part entière, c’est-à-dire d’être une parcelle de Vie Suprême. Nous avons besoin d’une nouvelle perception de la réalité du monde avant que l’intelligence artificielle des ordinateurs biologiques surpuissants fasse de nous les esclaves de la machine. Nous en avons besoin de toute urgence.

L’aspect le plus intéressant de la physique selon laquelle tout est imbriqué dans tout et avec tout est de réaliser que le phénomène de la conscience est bien réel. Le pouvoir de notre conscience ne peut plus être considéré comme une simple vue de l’esprit. Ce pouvoir existe bel et bien. Ce que notre libre arbitre laisse couler dans le flot continu de nos pensées a un impact déterminant et quasi absolu sur les conditions de notre santé, de notre société et de notre existence toute entière. Cela ne peut plus être ignoré. Notre conscience est l’observateur qui transforme les conditions de la matière. Et cela nous unit dans une même essence.

Nous sommes Un, nous sommes sacrés. Le mot sacré signifie que l’être vivant est digne de respect. Il n’est pas un mélange de produits chimiques jetable et exploitable à souhait. Et ce que nous faisons aux autres, nous le faisons à nous-mêmes. La propriété la plus spirituelle de la réalité quantique est « l’intrication instantanée ». C’est sans doute pourquoi la règle d’or de tous les grands « Enseigneurs » passés et présents (Krishna, Bouddha, Jésus, Pythagore, Confucius, Chaitanya, Swami Bhaktivedanta, Sainte Thérèse, Amma, etc.) est restée précisément la même : ne fais pas aux autres ce que tu ne veux pas que les autres te fassent. Il faudrait le rappeler à ceux qui détiennent les codes des arsenaux nucléaires de par le monde.

Nous sommes Un. Toutefois, cela n’est pas du syncrétisme. Nous sommes connectés les uns avec les autres, connectés avec l’unité universelle, avec l’intelligence du cosmos et avec l’Individualisation Suprême du Divin dans le respect des différences. Cette unité dans la multiplicité est plus qu’un pas dans la direction de l’harmonie mondiale. C’est un changement radical de paradigme, une prise de conscience qui pourrait nous guider vers l’amélioration de nos conditions d’existence sur terre et dans l’au-delà, dans cette vie comme dans les suivantes.

Vous allez me dire que je rêve en couleur et vous aurez certainement raison : rêver en couleur est devenu ma principale activité. Je crois même à l’existence des fées. Et puisque je crois en elles, elles aussi croient en moi. Nous sommes unis dans la réciprocité et la résonance harmonique du cœur. Telle est la cohérence des règnes et des mondes. Il me semble les entendre quand je marche dans les forêts d’érables qui entourent ma petite demeure située dans les Laurentides, à la lisière des collines magiques de l’Outaouais.

Je rêve peut-être mais je ne suis pas le seul, loin de là. Nous ne sommes sans doute pas encore légion à écouter au fond de nous ce que la Bhagavad-Gita et la Bible définissent comme « Le Silence des Choses Secrètes ». Nous ne sommes peut-être pas encore très nombreux à porter toute notre attention sur les signes avant-coureurs que cette Présence Intérieure nous envoie constamment, en murmurant au fond de nos veines. Nous ne sommes peut-être pas encore des milliards à envoyer nos pensées d’amour et de gratitude vers les autres et vers la Conscience Infinie qui soutient la beauté mystérieuse des phénomènes de la nature, mais les choses peuvent changer à une vitesse exponentielle. La révolution de l’empathie et de la pure compassion sera définitive. Tout peut et va changer très vite une fois qu’une masse critique sera atteinte. Nombreuses sont les belles âmes incarnées qui y travaillent, au Québec comme ailleurs. Nous sommes les bénévoles de l’univers, les ouvriers d’une tendresse ineffable, et nous sommes de plus en plus nombreux !

Souvenons-nous qu’une seule pensée positive est plus puissante qu’un million de pensées négatives. Une petite lueur de lumière a le pouvoir d’illuminer d’immenses cavernes enfouies sous des tonnes d’obscurité. Rien ne se perd, tout se transforme. Notre petite étincelle de vie est immortelle. Elle survit à la dissolution de la matière. Nous changeons de corps, c’est entendu, mais notre responsabilité galactique demeure la même. N’arrêtons pas de briller, quoi qu’il arrive. Réunifions-nous dans la pure énergie de notre vie divine. À force de pardon, de patience et d’amour, nous deviendrons les êtres de lumière que nous sommes déjà de toute éternité. Le potentiel est là, il nous attend, il nous invite. À bientôt. À toujours.

Prahladji Patrick Bernard

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Nous sommes Un, nous sommes sacrés, Nous sommes Un, nous sommes sacrés, Nous sommes Un, nous sommes sacrés, Nous sommes Un, nous sommes sacrés, Nous sommes Un, nous sommes sacrés, Nous sommes Un, nous sommes sacrés, Nous sommes Un, nous sommes sacrés, Nous sommes Un, nous sommes sacrés, Nous sommes Un, nous sommes sacrés, Nous sommes Un, nous sommes sacrés, Nous sommes Un, nous sommes sacrés, Nous sommes Un, nous sommes sacrés, Nous sommes Un, nous sommes sacrés, Nous sommes Un, nous sommes sacrés