Particules de lumière et de prana pour la santé
(1ère partie)
Pour votre santé, voici un processus d’intégration de particules de lumière, de prana et d’autres natures.
Les êtres humains vivent actuellement une période de profondes mutations. Les mutations de l’ADN, des glandes et des corps de lumière sont facilitées par l’intégration de particules subtiles qui circulent dans l’atmosphère. L’intégration de ces particules favorise en outre la santé physique, psychique, énergétique et spirituelle.
Comme tout organisme vivant, l’humain est doté d’une intelligence sensorielle qui lui permet de capter les attributs de son environnement et d’entreprendre une action intentionnelle en relation avec eux. Cette intelligence se manifeste aussi dans la conscience subtile, dans la matière sensible et dans les corps subtils. Ces composantes possèdent les facultés de percevoir, ressentir, connaître, discerner et décider sans référence à des expériences passées. Autrement dit, leurs connaissances ou reconnaissances peuvent être instantanées, sans le besoin d’une réflexion ou d’une analyse préalable. Cela signifie que dès qu’une substance physique ou subtile entre en contact avec une cellule physique ou photo- lumineuse, les attributs de cette substance sont immédiatement captés par la cellule réceptrice. L’intelligence de la cellule réceptrice en interrelation avec le système nerveux central lui permet d’intervenir immédiatement. Cette action pourrait être le rejet de la substance ou son intégration.
C’est dans cette perspective que se présentent les portes naturelles de réception par lesquelles vous pouvez capter des particules de transmutation cellulaire et vous en nourrir. Elles sont nommées portes parce qu’elles permettent la transmission de l’énergie et des informations qu’elles véhiculent.
La relation consciente avec chacune des portes permet leur activation, l’actualisation de leurs facultés. Chacune des portes activées perçoit les particules des rayons solaires, cosmiques et du souffle pranique circulant dans l’atmosphère terrestre. Dans cette perspective, percevez la lumière comme une particule, un photon ou un grain de lumière qui entre en relation avec les cellules des portes. Ces cellules vont détecter les attributs de la particule et discerner celles qui favorisent la transmutation. L’information sera alors transférée au système nerveux central (SNC).
L’observation des mutations cellulaires nous confirme que le cerveau se situe autant dans la membrane autour de la cellule et de son noyau que dans l’encéphale. Le système nerveux central, souvent considéré comme le prolongement du cerveau, agit comme un système intelligent de décodage, de recodage et de neurotransmission. C’est lui qui reçoit les informations contenues dans les nouvelles particules de transmutation. Selon ces informations, il commandera par la suite la manière de les transmettre, soit vers les chakras, soit directement vers les cellules du corps physique et éthérique, selon les caractéristiques des particules, de leurs informations, et selon les besoins des tissus des corps.
Le corps physique et les corps subtils sont constitués de milliards de cellules qui se présentent sous une forme solide, liquide, gazeuse ou photo-lumineuse. Elles se sont regroupées en constellations de cellules pour former le tissu d’un organe, d’une glande, d’un muscle, du sang, etc. Les corps subtils sont composés de cellules photo- lumineuses. Rassemblées aussi en constellations, ces dernières forment un tissu subtil. L’intelligence cellulaire permet à chacune des cellules de porter l’information de l’état de l’ensemble du corps. Si un tissu est déficient et qu’il nécessite une nourriture, ses cellules transmettent ses besoins en émettant des éclats lumineux ou sonores. C’est ainsi que les cellules parlent entre elles. De plus, les cellules du système nerveux central, les neurones, en sont instantanément conscientes. Chaque instant, votre corps sait, par exemple, quels minéraux ou quelles vitamines sont en déficit ou en surnombre.
La nourriture subtile se présente sous une forme d’ondes et de particules ayant une programmation particulière. Ainsi, lorsque les particules entrent en contact avec les capteurs de chacune des portes, elles transmettent immédiatement leurs informations. Ces dernières sont codifiées et les codes sont transférés soit par la vibration, soit par le contact établi. Les codes sont alors retransmis au SNC. Ainsi, ce qui nourrit est en fait un message codé. Une fois transmis, ce message provoque un changement cellulaire, organique ou systémique, ou encore la sécrétion d’une substance.
Vous concevez bien que les ondes lumineuses puissent influencer l’état des cellules de la rétine. Il en est de même pour le SNC ou les cellules de la peau : un code est transmis. En ce qui a trait à la peau, les pores touchés font instantanément vibrer les terminaisons nerveuses, lesquelles captent le message des particules et les communiquent.
Établissons un parallèle entre les particules, les aliments et l’être humain. Chaque aliment est plus ou moins vivant. La vitalité, que ce soit celle d’un humain, d’un animal ou d’un fruit, est relative à la circulation de l’énergie en lui. L’énergie permet à chaque cellule d’être en mouvement, et ce mouvement lui permet d’accomplir sa fonction et de se régénérer.
Avant de collaborer à la composition d’un tissu, la cellule contient un bagage d’informations de base identique pour toutes les cellules du corps. À ce stade, on la nomme cellule souche. À partir de cet état, elle vit dans le sang ou dans la moelle osseuse en attente d’une fonction. C’est un stimulus qui la guide éventuellement vers le tissu auquel elle contribuera. Ce stimulus ou appel peut être issu de plusieurs sources. Il peut provenir des cellules du tissu vers lequel la cellule souche doit être dirigée ; le tissu, qu’il soit organique, sanguin, osseux, ou autre, peut nécessiter une régénération pour maintenir sa fonction. Certaines de ses cellules peuvent avoir vieilli ou être devenues anormales. Il peut aussi provenir d’une seule cellule en dégénérescence ou être généré par le système nerveux central qui, ayant décelé un mauvais fonctionnement, une anomalie ou un vieillissement, commande une régénération. Le SNC pourrait aussi avoir reçu d’une particule une information lui indiquant de commander une régénération.
Quelle que soit la source du signal, elle est l’expression de l’intelligence cellulaire, elle-même le fruit de l’intelligence universelle. La cellule souche répond au signal et se dirige vers sa nouvelle destination et résidence. Elle est assignée à une constellation de cellules du tissu en question. Instantanément, par contact vibratoire sonore et visuel, ses nouvelles fonctions s’inscrivent en elle et elle devient opérationnelle.
La cellule vivante vibre à une certaine fréquence pour assurer le fonctionnement naturel du tissu auquel elle est affectée. Pour notre exemple, supposons que ce soit le tissu d’un organe. Lorsque toutes les cellules de cet organe vibrent au même niveau fréquentiel, l’organe fonctionne très bien selon sa nature. Les cellules sont joyeuses. Elles dansent et chantent. Lorsque des cellules d’un même organe diminuent leur rythme vibratoire à l’intérieur d’un certain registre acceptable, l’organe peut remplir sa fonction même si ce n’est pas optimal. Si le rythme diminue en deçà de ce registre fréquentiel, le fonctionnement est alors affecté. Si le rythme continue à descendre, l’organe fonctionne de moins en moins bien jusqu’à éventuellement ne plus pouvoir remplir sa tâche. La cellule, puis le tissu, et finalement l’organe qu’ils composent perdent leur vitalité. La dégénérescence pourrait continuer jusqu’à une dévitalisation totale s’il n’y a pas d’intervention correctrice ou régénératrice.
Par ailleurs, la cellule vivante à son niveau fréquentiel optimal génère de l’énergie sous forme de lumière, de chaleur et de prana. Cette énergie lui permet d’être en mouvement, de faire fonctionner l’organe et de générer de l’énergie. Bien sûr, le processus s’épuise par lui-même progressivement, mais beaucoup plus lentement que si la cellule n’était pas à son niveau fréquentiel naturel. Plus la cellule est vivante, plus elle nourrit la vie autour d’elle.
Il en est ainsi de la cellule humaine comme de la cellule animale ou végétale. C’est ainsi que votre aliment peut vous être présenté avec plus ou moins de vitalité. Chaque aliment, que ce soit une particule infinitésimale ou un fruit, est composé comme l’humain d’un corps physique comportant une partie dense opaque et une partie éthérique translucide. En d’autres mots, autour du fruit et de la particule, il y a une enveloppe éthérique quasi invisible. Les deux « corps » contiennent toutes les propriétés de l’aliment. Le corps éthérique vibre à une fréquence plus élevée que le corps physique. Les cellules du corps éthérique d’un aliment vibrent donc à un rythme plus élevé et, de ce fait, elles transmettent plus facilement et plus rapidement leurs propriétés.
Si vous approchez de vous un aliment, les récepteurs ou portes entrent en contact avec le corps éthérique de l’aliment ; ils détectent ses propriétés, transmettent les informations au SNC, lequel transmet alors un signal quant à l’action à prendre dans votre corps. Ainsi, la vue de l’aliment, son odeur comme les sons qu’il émet, transmettent des informations de plusieurs niveaux. De même, si vous portez l’aliment à votre bouche, vos capteurs éthériques feront en sorte que vous vous en nourrirez avant même de l’avoir mâché et avalé. Ils captent les propriétés de l’aliment codifiées dans sa partie éthérique et les transmettent au SNC, lequel les retransmet partout dans le corps selon leur nature.
Le même processus se reproduit lorsque vous mâchez les aliments puis les avalez. Les récepteurs de votre bouche et de votre estomac en contact avec la matière pourront identifier les informations qu’elle contient pour l’ensemble du corps. C’est votre corps qui, à partir de ces informations codifiées, générera des vitamines, des minéraux, des protéines, commandera des sécrétions, ou procédera à une mutation, par exemple.
Plus votre nourriture est vivante et ses propriétés sont saines, plus elle vous nourrit et permet des transmutations. Vous avez donc tout avantage à choisir des aliments vivants. Il est aussi important que, par votre intention et votre énergie, vous vivifiez vos aliments avant de les consommer, afin de hausser leur vitalité.
Le processus avec les particules solaires, praniques ou cosmiques est exactement le même. Toutefois, ces particules sont encore plus vivantes que vos aliments et elles possèdent des propriétés plus puissantes pour favoriser votre santé. En plus des caractéristiques déjà énoncées, certaines de leurs codifications permettent aussi à votre corps de synthétiser des vitamines et de générer des minéraux en fonction de la transmutation générale du corps physique.
Tout comme vos aliments, les particules transmettent leurs informations à vos capteurs, soit par les ondes qu’elles émettent, soit par le contact direct avec eux. Puis le processus suit son cours.
Nous pourrions aussi nous pencher sur vos nourritures intellectuelles ou affectives et reconnaître exactement le même processus. La nourriture vivante est celle qui contribue à la régénération, aux transformations, aux transmutations, soit à la santé physique, psychique et énergétique. Quels que soient son type et sa nature, elle a des caractéristiques qui contiennent de l’information. L’information est codifiée et elle peut ainsi être transmise au système nerveux central ou directement aux cellules. Une ou plusieurs actions immédiates ou ultérieures en résulteront pour transformer votre corps, votre état, votre attitude et vos comportements. Les informations des particules qui nous intéressent permettent d’accentuer la génération d’énergie et la régénération cellulaire, et d’orienter la transmutation cellulaire.
(Suite et fin du texte au prochain numéro)
Tiré du livre : Nourriture de Guérison et Transmutation cellulaire, Éditions Ariane.
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