Quand le glandu frappe à notre porte!

J’estime la communication comme étant à son plus haut niveau d’évolution dans la création. En effet, tout communique d’emblée naturellement, juste par sa présence d’être.

Entrer en relation avec les autres, nous amène inévitablement à se parler. Aujourd’hui, la technologie permet de s’affranchir de la distance, ce qui est une très bonne chose pour ceux qui aiment régler et avancer rapidement. Quoique, certains sont capables d’étirer la sauce et d’effectuer un retour lent, inefficace, désordonné. Nous expérimentons, dans nos temps modernes, la possibilité de l’efficacité relationnelle par la communication, si bien sûr nous sommes à jour dans notre disponibilité à pouvoir établir une communication infaillible.

Pour quelqu’un comme moi, le sujet de l’efficacité relationnelle par la communication absolue (lumière, transparence), permet de développer une confiance en soi, en l’autre, en le déroulement des circonstances de la vie. Les gens sont occupés, alors par respect, lorsqu’on communique avec eux, ou qu’on va à eux pour une raison, le moins que l’on puisse faire en sollicitant une personne, est de lui dire au premier abord, pourquoi on va lui parler.

Il y a plusieurs manières d’aborder quelqu’un. En personne, on ne peut pas se contenter de venir te voir et juste te dire allô, parce que tu vas répondre, et après… qu’est-ce qui se passe? Mais par écrit, peu importe sur quel aspect de nos vies, l’incertitude transparaît dans le message. En d’autres mots, ça me frustre lorsque quelqu’un que je ne connais pas m’écrit sur les réseaux sociaux, juste un allô, ou même un ça va?

J’ai développé la diplomate en moi, même si je flaire rapidement le glandouillage. Je réponds par un bonhomme sourire de gentillesse et j’écris: qu’est-ce que je peux faire pour vous? Aussi simple que ça, mais il arrive que la réponse ne vienne pas plus, au bout que quelques lignes supplémentaires et ça joue sur les nerfs. Je spécifie que je reviens à la question primaire, qu’est-ce que tu veux? Au niveau amoureux, ça gèle en général, surtout que j’arrive avec la réponse rapidement à l’effet que je ne suis pas intéressée, que je lui souhaite bonne chance dans ses démarches et je le bénis, merci.

Le glandu profond, va tourner la machine et se montrer intéressé par ma profession, pour étirer l’élastique et souvent avec une approche désaxée. Par exemple le dernier qui m’a contactée, oui je voudrais que tu me tires au tarot! Non. Trouve-toi une tireuse, je ne fais pas ça.

Mon niveau d’irritation augmente trop facilement encore envers les pertes de temps, ce qui se décèle très rapidement dans l’approche. À chaque fois, je me demande combien de temps vais-je rester polie? Pour finalement arriver au même résultat : l’exclusion du glandu de façon permanente, entre autres en le bloquant sur Facebook, en espérant qu’il s’en tienne là et qu’il ne tentera pas d’autres approches. Ceci dit, tout est nettoyé par la conscience, l’amour et la lumière, parce que j’accueille ce qui en est et que je redresse ce qui manque d’amour, dans le respect de qui je suis.  

Quand j’ai le courage d’aborder quelqu’un, peu importe le sujet, je m’assure que mon message soit livré clairement. Bonjour, je suis, je…merci pour le partage.

Mais bon! Pour conclure, lorsque vous vous adressez à quelqu’un, précisez vos messages, démontrez vos intentions clairement, et passez par la gentillesse, l’ouverture, et l’acceptation inconditionnelle de sa réponse, même si elle s’avère être déséquilibrée par un manque d’amour et de présence de votre interlocuteur. Parfois, ça peut s’équilibrer, quand une personne est habituée de saisir par son essence, la véritable appréciation de son moment présent et c’est là qu’une rencontre devient grandiose.

Merci! Soyez bénis!

Julie L.

 

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