Quelques citations de Neale Donald Walsh

Merci à son éditeur, Ariane, de nous autoriser à prendre quelques passages du livre La trilogie des Conversations avec Dieu pour cette chronique.

« Depuis des siècles, on vous a répété que l’action animée par l’amour vient du choix d’être, de faire et d’avoir tout ce qui fait le plus grand bien à un autre, mais je vous dis ceci : le choix le plus élevé est celui qui vous fait le plus grand bien. »

« Comme toute vérité spirituelle profonde, cette affirmation est ouverte à une fausse interprétation immédiate. Le mystère s’éclaircit un peu dès qu’on détermine le « bien » le plus élevé qu’on peut se faire. Et lorsqu’on a fait le choix absolument le plus élevé, le mystère se dissout, le cercle se complète et le plus grand bien pour vous devient le plus grand bien pour un autre. »

« Il te faudra peut-être plusieurs vies pour comprendre cela, et encore davantage pour l’appliquer, car cette vérité tourne autour d’une autre plus grande encore : ce que tu fais pour ton Soi, tu le fais pour un autre, et ce que tu fais pour un autre, tu le fais pour le Soi. »

« Car toi et l’autre ne faites qu’un, puisqu’il n’y a que toi. »

« Tous les Maîtres qui ont foulé le sol de votre planète ont enseigné cela. (« En vérité, je vous le dis, tout ce que vous faites au plus petit d’entre les miens, c’est à moi que vous le faites. ») Mais c’est resté, pour la plupart des gens, une grande vérité ésotérique sans grande application pratique. En fait, de tous les temps, c’est la vérité « ésotérique » la plus applicable d’un point de vue pratique. »

« Il est important, dans les relations personnelles, de se rappeler cette vérité, car, sans elle, les relations seront très difficiles. »

« Revenons aux applications pratiques de cette sagesse et écartons-nous pour l’instant de son aspect purement spirituel et ésotérique. »

« Il est arrivé si souvent, dans la conception ancienne des choses, que les gens (bien intentionnés et, pour nombre d’entre eux, très religieux) fassent, dans leurs relations, ce qu’ils croyaient être le plus grand bien de l’autre. Hélas, tout ce que cela engendrait dans bien des cas (sinon la plupart), c’était un abus continuel de la part de l’autre, un mauvais traitement continuel, une dysfonction continuelle de la relation. »

« En définitive, la personne qui essaie de « faire le bien » en fonction de l’autre (pardonner rapidement, montrer de la compassion, ignorer sans cesse certains problèmes et comportements) devient rancunière, colérique et méfiante, même à l’égard de Dieu. Car comment un Dieu juste peut-il exiger une souffrance, une absence de joie et un sacrifice sans fin, même au nom de l’amour? »

« La réponse est : Dieu ne l’exige pas. Il te demande seulement de t’inclure parmi ceux que tu aimes. Dieu va même plus loin. Il te suggère (te recommande) de t’accorder la première place. »

« Je tiens ces propos en sachant fort bien que certains d’entre vous les qualifieront de blasphèmes, prétextant que ce n’est pas ma parole et que d’autres, parmi vous, feront pire encore : ils l’accepteront comme étant ma parole et en donneront une fausse interprétation, ou la déformeront en fonction de leurs propres objectifs, pour justifier des actes dépourvus d’amour. »

« Je te dirai ceci : le fait de t’accorder la première place, au sens le plus élevé, ne mène jamais à un acte irrespectueux. Si, par conséquent, tu t’es surpris en flagrant délit de commettre un acte sans amour après avoir fait ce qui te convenait, la confusion ne consiste pas à t’être accordé la première place, mais plutôt à avoir mal interprété ce qui te convenait le mieux. »

« Bien entendu, pour déterminer ce qui te convient, il te faudra également déterminer ce que tu essaies de faire. C’est là une étape importante que bien des gens ignorent. Que veux-tu faire? Quel est ton but dans la vie? Si tu ne réponds pas à ces questions, tu ne sauras jamais, au grand jamais, ce qui te « convient ». »

« En termes pratiques (encore une fois, en laissant de côté les aspects ésotériques), si tu considères ce qui te convient le mieux dans ces situations où l’on abuse de toi, au moins tu feras cesser l’abus. Et ce sera bon à la fois pour toi et pour celui qui abuse de toi. Car même la personne qui abuse est victime d’abus quand on lui permet de continuer. »

« Abuser n’est pas une forme de guérison, et cela fait du tort à celui qui abuse. Car si l’abuseur trouve son abus acceptable, qu’a-t-il appris? Mais s’il se rend compte que son abus n’est plus accepté, que découvre-t-il? »

« Par conséquent, traiter les autres avec amour ne veut pas nécessairement dire les laisser faire tout ce qu’ils veulent. »

« Les parents l’apprennent rapidement avec les enfants. Toutefois, les adultes ne l’apprennent pas aussi rapidement avec les autres adultes, ni les nations entre elles. »

« Il ne faut pas laisser prospérer les despotes. Il faut stopper leur despotisme. L’amour de Soi et l’amour du despote l’exigent. »

« Voilà la réponse à ta question : « S’il n’y a que l’amour, comment l’homme peut-il justifier la guerre? ». »

« Parfois, l’homme doit aller à la guerre pour affirmer ce qu’il y a de plus élevé en ce qui concerne l’homme : détester la guerre. »

« À certains moments, tu devras abandonner qui tu es afin d’être qui tu es. »

« Des Maîtres ont enseigné qu’on ne peut avoir tout, à moins d’être prêt à tout céder. »

« Ainsi, afin de devenir un homme de paix, tu devras peut-être abandonner l’idée que tu es un homme qui ne part jamais en guerre. L’histoire a demandé à des hommes de prendre de telles décisions. La même chose est vraie dans les relations les plus individuelles et les plus personnelles. La vie te demandera peut-être plus d’une fois de prouver qui tu es en démontrant un aspect de qui tu n’es pas. »

« Si tu as vécu quelques années, ce n’est pas si difficile à comprendre, bien que, pour les jeunes idéalistes, cela puisse sembler l’ultime contradiction. Avec la perspective qu’offre la maturité, cela peut apparaître comme une divine dichotomie. »

« Ce qui ne signifie pas que, dans les relations humaines, tu dois « riposter » si tu te sens blessé. (Cela ne s’applique pas, non plus, aux relations entre nations.) Cela veut tout simplement dire que le fait de laisser un autre infliger un tort continuel n’est peut-être pas le plus grand geste d’amour envers ton Soi ou envers l’autre. »

« Cela devrait enterrer certaines théories pacifistes selon lesquelles le plus grand amour interdit toute réponse vigoureuse à un mal apparent. »

« Cette discussion redevient ésotérique, car aucune exploration sérieuse de cette affirmation ne peut ignorer le mot « mal » ainsi que les jugements de valeur auxquels il invite. En vérité, il n’y a rien de mal : il n’y a que des expériences et des phénomènes objectifs. Mais ton but, dans la vie, exige que tu puises dans la collection infinie de phénomènes que certains nomment le mal, car si tu ne le fais pas, tu ne peux te qualifier, ni rien qualifier d’autre, de bien… et ainsi, tu ne peux connaître, ou créer, ton Soi. »

« Tu te définis par ce que tu appelles le mal – et par ce que tu appelles le bien. »

« Par conséquent, le plus grand mal serait d’affirmer qu’il n’y a rien de mal. »

« En cette vie, tu existes dans le monde du relatif où quelque chose ne peut exister qu’en relation avec autre chose. C’est à la fois la fonction et le but des relations personnelles, à savoir fournir un champ d’expérience au sein duquel tu te trouveras, tu définiras qui tu es et, si tu le choisis, tu le recréeras constamment. »

« Choisir d’être semblable à Dieu ne signifie pas choisir le martyre. Et certainement pas de choisir d’être victime. »

« Sur la voie de la maîtrise – lorsque toute possibilité de blessure, de tort et de perte sera éliminée –, il conviendra de reconnaître la blessure, le tort et la perte comme une part de ton expérience, et de décider qui tu es par rapport à tout ça. »

« Oui, ce que les autres pensent, disent ou font va parfois te faire mal, jusqu’à ce que cela cesse. Ce qui te permettra d’y parvenir rapidement, c’est l’honnêteté totale – le fait d’être prêt à affirmer, à reconnaître et à déclarer précisément tes sentiments à propos d’une chose. À dire ta vérité d’une manière douce, mais pleine et entière. À la vivre aussi avec douceur, mais de façon totale et cohérente. À changer ta vérité, facilement et rapidement, quand ton expérience t’apporte une nouvelle clarté. »

« Aucune personne saine d’esprit, encore moins Dieu, ne te dirait, quand tu as mal dans une relation personnelle, de « t’en écarter pour qu’elle ne veuille plus rien dire ». Si tu as mal maintenant, il est trop tard pour faire en sorte que cette relation ne veuille rien dire. Ta tâche, à présent, consiste à déterminer ce qu’elle veut dire, et de le montrer. Car, en faisant cela, tu choisis et deviens qui tu cherches à être. »

 

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