Top 10 des “turn-off’’ relationnels

Comme j’ai autant d’expériences de couple que d’années de célibat en arrière de la cravate, j’ai un portrait global de ce qui accroche dans la vie en relation avec les autres. Donc, ce peut être une difficulté dans le couple, comme pour se trouver un(e) partenaire de vie. En plus, avec mes clients en médiumnité, les problèmes amoureux des gens, je les vois tous. Il y en a vraiment de tous genres.

Je m’exerce à relever le défi, au travers de cette chronique, d’en faire un top 10 en les regroupant, 10 étant comme la base.

10- Les défis juridiques :

Disons que je m’éloigne d’un candidat qui est en lutte juridique sur un sujet quelconque. J’aime la paix, je ne vais pas aller me foutre dans les problèmes des autres. Bien que nous ayons tous droit à une deuxième chance, surtout quand nous avons assumé les conséquences de notre immaturité, je me positionne sur ce qui a été fait dans le passé, si je peux composer avec ça, question de maturité.

9- Les animaux :

On ne parle pas de ceux qui sont allergiques parce que eux, on en retire que c’est juste poche de les voir sur les médicaments à chaque fois qu’ils sont chez vous en même temps que le chat. Ceux qui sont avec leur gros chien qui pue, où tout leur style de vie tourne autour de l’animal qui comble un manque affectif évident. Ceux qui font l’amour avec leur partenaire et que le chien est là, dans le lit avec eux. J’ai une amie qui a sept chats et, elle le dit, les hommes ont peur. Ceux qui travaillent avec les animaux et qui sont imprégnés de l’odeur. Bref, ça apporte des frictions.

8- Les enfants :

Dans le couple, c’est de s’entendre à unifier deux perceptions d’éducation afin que cela soit bien dosé. Célibataire, il y a un décalage entre celui qui veut des enfants et celui qui en a déjà. Pour ceux qui n’en ont pas, est-ce qu’ils ont suffisamment d’amour dans leur cœur pour accueillir une nouvelle famille dans leur mode de vie? Habituellement non, ils se sentent coincés. Et ceux qui en ont déjà, on n’en rajoute plus; souvent ils craquent, c’est trop de pression. Personne n’est à l’aise d’intervenir dans un noyau familial souvent mi-fonctionnel à cause des problèmes qui ne sont pas réglés. Cela inclut aussi le positionnement face aux petits-enfants dans un environnement de famille reconstituée.

7- Le travail :

Que ce soit une question d’horaire, de localisation, de temps alloué à ses fonctions, et même une discrimination face au domaine du travail. Sans parler de ceux qui se font juger parce qu’ils ne travaillent pas. Les rentiers qui ont beaucoup de temps ont aussi une adaptation à faire par rapport à ceux qui ont une vie professionnelle.

6- Les finances :

Une personne qui gagne 50 000$ par année n’est pas capable de suivre le train de vie d’une personne qui a un salaire de 250 000! Et celui qui gagne 13 000$ par année n’est pas en mesure d’investir dans une vie de couple. Ceux qui payent sont tannés de payer pour ceux qui ne peuvent pas suivre.

5- Les activités en commun :

À mon avis, ce n’est pas le critère de base pour une relation mais ça devient emmerdant la différence des goûts, à la longue. Quand on n’écoute pas le même style de musique, les mêmes intérêts au niveau cinématographique. Que un aime le sport et l’autre préfère créer. Faut se faire à l’idée que l’autre n’est pas obligé d’aimer tout ce que l’on aime et fait. Mais il faut se rejoindre à quelque part quand même. Exemple, je vais aller à la pêche avec toi, mais au lieu de pêcher, je vais prendre des photos et conduire le moteur de la chaloupe, là oui je peux combiner ce que j’aime avec ce que tu aimes.

4- Les problèmes de communication :

Celui là, c’est le plus évident. Plusieurs personnes ne communiquent pas leurs vérités à mesure qu’elles vivent des expérimentations désagréables. Elles ont peur de faire mal et elles encaissent des émotions discordantes qui amplifient des comportements de destruction de la relation et font de l’autosabotage. D’ailleurs, si cette catégorie était fonctionnelle, il n’y aurait plus de téléromans de merde parce que le monde règlerait leurs problèmes dès qu’ils se présentent.

3- Les fantômes du passé :

Ceux-là, ils font du ravage. La perte de confiance, la suspicion, le contrôle, la manipulation. Même chez les célibataires, on voit les traits de caractère d’un corps de souffrance qui n’a pas été apaisé et allégé. Les gens qui ont vécu de l’abus sont tout le temps à prendre avec des pincettes. C’est même théâtral des fois.

2- Les dépendances :

Commençons par les fumeurs; sont très discriminés en partant. La tendance est plutôt à l’extrémisme santé. L’alcool est toléré à une certaine limite méditative ou sociale. Plus que ça, c’est un fardeau. Le pot! Est-ce que c’est agréable d’être accompagné par une personne qui se gèle? Plus que ça, drogue dure, c’est trop “dark’’, ce n’est pas intéressant. Le jeu, personne ne maîtrise cet art du gain, c’est dévastateur. Le sexe, ça prend trop de personnes pour équilibrer, c’est démesuré et surtout pas axé sur le cœur. Le sucre a ses conséquences. Technologie…souvent croisée avec le travail.  Ou celui qui est tout le temps avec du monde, que ce soit sa famille ou amis. Ah la-la!

1- Le temps vrai pour soi :

On manque d’espace. On est envahis. On n’est plus capables de respirer dans le moule et l’espace que nous avons choisi et créé. Du coup que nous avons ce que nous voulons, est-ce que nous nous sommes trompés de direction à savoir ce que l’on a ne correspond plus à nos aspirations profondes parce qu’on a pris un engagement sous le coup de la responsabilité? Sommes-nous nous-mêmes à travers d’une relation ou une fréquentation? C’est la journée qu’on le conscientise… On es-tu heureux? Libre d’Être qui On Est? Sommes- nous accompagné par des gens respectueux de notre évolution? Est-ce que c’est un plaisir de réaliser ce que l’on construit? Nous sommes-nous trouvé, prêt à construire avec quelqu’un d’autre? Est-il autonome et sage de ses choix? Est-ce mieux de se concentrer sur ce que l’on a à vivre, à partir de ses propres réalisations qui donnent du sens à tout ça?

En terminant, moi j’ai tout ça. J’ai fait faillite, j’ai quatre enfants, je fume la cigarette, je communique tout (les gens ne sont pas habitués à tout dire ce qui en est. Ça gosse pour quelqu’un qui n’est pas habitué d’être vrai). Je suis divorcée. Je bois une bière en cuisinant au souper. Je vis seule une semaine sur deux. J’ai ma business. Je suis médium de profession, naturopathe de formation et animatrice de passion…Je suis une pacifiste qui aime la paix. Je suis la composante de l’ensemble des turn-off de nos jours. Je l’assume! Une chance parce que les gens ne sont pas capables de gérer ça.

D’où le pourquoi je demande la perle rare solide pour être à mes côtés. Quelqu’un de bien, quoi! Et je l’apprécie même, d’avoir une accalmie de complications amoureuses avec des personnes insatisfaites de l’ensemble de qui elles sont déjà. Pendant ce temps- là, je m’améliore à m’organiser d’être la souveraine de ma vie et être encore plus heureuse vis-à-vis moi-même. C’est un 89% assez fort, de bien établi à date. Je continue à grimper puisque je suis face à moi-même.

Soyez bénis.

Merci.

Julie L.

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