L’extraterrestre qui faisait de la radio

(3ème partie, suite et fin)

Je ne sais pas et je ne saurai jamais si tous ces contactés disent vrai ou pas, il m’arrive de penser qu’ils ont vécu des rencontres spectrales[1] qu’ils transposent dans leur réalité, ce qui serait alors une toute autre histoire. À titre d’exemple, plus loin, je vous raconte ce qui m’arrive avec une Asiatique spectrale qui me fait vivre ma première relation sexuelle assortie d’un phénomène paranormal de haut niveau.  J’aurais pu perpétuer cette présence très inusitée avec mon imagination, en faire ma « copine de Vénus » et charger la mule à l’extrême, m’inventer des petits-enfants aux yeux bridés !

Ce que je propose est que Matthews ait vécu une série de rencontres spectrales, c’est-à-dire une série d’expériences extra-dimensionnelles, réelles, authentiques, mais se déroulant dans un espace-temps autre que celui de son champ, sa grange et sa maison, ou alors en ces mêmes lieux, mais dans un espace-temps parallèle et qu’il aurait choisi par la suite de rendre palpable, matériel et dans notre dimension, histoire de faire passer le message, non par malice, ou dans le but de commercialiser son expérience, mais simplement pour que ce soit plus crédible ! Il m’arrive de le penser.

Le sérieux et la résilience des propos de Georges Adamski qui dit avoir voyagé avec des Vénusiens et avoir observé des forêts sur la Lune [2]suggère fortement une expérience spectrale. Je ne serais pas surpris que ces contactés aient choisi de terraformer leur aventure, convaincus que s’ils ne le faisaient pas, les gens croiraient aussitôt qu’ils ont rêvé tout cela. Possible même qu’ils aient observé ce comportement de la part de leur auditoire restreint, amis, proches, etc. et que voyant le peu d’intérêt soulevé par leur histoire à caractère onirique, ils l’ont modifiée, intentionnellement et peut-être aussi sans s’en rendre compte ? Je demeure donc ouvert à cette alternative à l’arnaque parce que ce n’est pas ce que dégageait Matthews.

D’autres dimensions ? La science quantique y pense très sérieusement.

L’idée d’une possible existence viable en d’autres dimensions n’est plus du seul département des contes de fées, des films de fiction et de l’imagination d’auteurs éclatés. Ce revirement est d’ailleurs tellement récent que la très grande majorité des gens ignorent seulement qu’il se soit produit. J’ai souvent parlé du docteur Michio Kaku, mais il y en a d’autres qui, malheureusement, n’ont pas tous ce besoin de partager leurs conclusions par la vulgarisation, ne serait-ce que leur questionnement.

Juan Martin Malcadena est un physicien quantique argentin devenu presqu’une légende dans son milieu. En 1997, il s’est demandé [3] si notre univers n’était pas un hologramme. Personne n’y a vraiment prêté attention. Or récemment, il semble qu’une équipe de chercheurs du Japon aurait validé par des simulations, la proposition de Malcadena selon laquelle notre univers serait une sorte de projection d’un univers ayant un plus grand nombre de dimensions. Selon eux, notre univers serait en quelque sorte la surface d’un univers plus vaste.

Or, cette théorie de l’hologramme réconcilierait la théorie de la gravité d’Albert Einstein avec la physique quantique. Étienne Klein, un physicien français, dit que cette théorie rejoint celle des supercordes. [4] En général, cette théorie considère dix dimensions. Notre univers ne serait donc que la projection d’un autre cosmos existant dans une sorte de projection, un hologramme. Klein reconnaît, et j’en suis fort aise, que la théorie en question donne le vertige avec ses six dimensions supplémentaires. Mais si la théorie ou, comme le jargon de ces messieurs le veut, la conjoncture holographique de Malcadena se confirmait, cela voudrait effectivement dire que notre univers serait une sorte de portion observable d’un univers plus vaste qui, lui, est non observable. On voit le nôtre mais pas le plus grand. La Terre et le Ciel ?

Que la théorie de Malcadena soit ou non validée n’a aucune fichue importance !  Elle démontre surtout que ce ne sont plus que nous, les zézotérisses, qui discutons de ces choses. Des gens de science, d’une science moderne, sophistiquée et audacieuse, traitent d’un univers à multiples dimensions comme les initiés des mystères anciens le font depuis des millénaires ![5]

Parmi les contactés, mes seules exceptions notables pour moi sont Betty Andreasson, Linda Cortile-Napolitano, Jean Miguères et Roseline Pallascio[6]. Non pas que les autres soient des faux ou des canulars, grands dieux, qui suis-je pour affirmer une telle chose, mais ceux-là ont ma confiance, tout simplement. Leur histoire, aussi incroyable et extraordinaire soit-elle, n’a pas ce côté très irritant des Space Brothers, des Envoyés de l’Espace chargeant l’humain d’une mission grandiloquente et le plus souvent irréalisable. Et bien sûr, il y a la mienne !

Je suis un homme bien ordinaire à qui on a demandé de remplir une mission, celle de faire connaître, comme des centaines d’autres, l’existence d’un tout autre univers. Cela s’inscrit dans un plan immense, colossal, et mon rôle est tout petit; je ne suis pas prophète, gourou, je n’aime pas l’expression contacté, j’ai un job à faire. Je sais que je vais en dire pas mal plus dans ce bouquin parce que l’essentiel y sera, comme par exemple répondre à la fameuse question : pourquoi ces visites, furtives, cachées, et vous dire que tout cela est lié à notre évolution mal foutue depuis le début, à des circonstances qui ont mené à la création de cette espèce de parc animalier dans lequel nous sommes et qu’on appelle la Terre, et que pas nous, pas encore, peut-être nos enfants, moi je pense plus loin, nos petits-enfants, verront la fin du programme parce qu’on a un foutu problème sur les bras, insoluble, et pourtant il faudra le résoudre. Nous sommes 5 milliards de trop sur une planète qui ne peut en faire décemment que pas même deux. Et bientôt nous sommes 6 milliards de trop et en 2100, nous serons 14 milliards de trop.

Je ne m’attendais pas à ça ! Parce que jamais personne n’en parle, mais laisser des milliards des nôtres se vautrer dans les déchets et l’eau croupie pour se nourrir et s’abreuver est considéré par ces Messieurs comme un crime extrêmement grave contre le principe même du mot humanité. Nous ne sommes pas même considérés globalement comme une civilisation, alors comme dirait mon garagiste, ça va mal à shop en estie !

[1] J’explique ce qu’elles sont en long et en large dans Révélations spectaculaires sur les Faits Maudits.

[2] En 1953, certains ont sans doute cru à cette histoire de forêts sur la lune.

[3] The Large N Limit of Superconformal Field Theories and Supergravity.

[4] Trustmyscience.com

[5] Cf Les Divergents, 2019

[6] J’inclus tous mes témoins qui ont vécu une RR-4 typique dont Louis, Michelle du NB, Sisi, bref tous ces gens dont j’ai parlé longuement dans mes ouvrages.

 

 

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