Le silicium : essentiel à la vie

J’aime beaucoup les images fortes pour illustrer mes propos. Quand je parle de l’importance du silicium pour la santé du corps humain, j’explique que sans silice, aucun arbre ne tiendrait debout, troncs et branches joncheraient le sol, comme s’ils étaient constitués de caoutchouc mou… En fouillant le sujet, on apprend aussi que la silice représente près des deux tiers de la croûte terrestre continentale, et que le silicium est, après l’oxygène, l’élément le plus abondant de sa couche externe (lithosphère). Bref, il est omniprésent partout autour de nous. Le hic, c’est qu’il en va tout autrement dans le corps humain même si son rôle est tout aussi important que dans les règnes végétal et animal. En effet, au même titre que le carbone, l’oxygène et l’hydrogène, il est un élément essentiel de la matière vivante. Comme le silicium est indispensable à la vie, sa rareté est la source de bien des perturbations physiologiques, qui sont souvent attribuées au vieillissement. J’ai même lu dans un résumé de ses vertus que les deux premiers signes de carence sont les rides et les problèmes articulaires. Ça vous dit quelque chose?

La clé du collagène

Comme je l’ai déjà expliqué dans une précédente chronique, le principe de départ de mon expérience remonte au jour où j’ai appris que la structure fondamentale du corps humain est le collagène sans lequel il n’aurait pas la forme qu’on lui connaît. Or, pour que le corps en fabrique, il lui faut impérieusement de l’acide ascorbique (vitamine C) ainsi que trois acides aminés, la lysine, la glycine et la proline. Quand on observe le règne animal, on constate que la nature a prévu le coup, car l’immense majorité des animaux fabriquent leur propre vitamine C à partir du glucose sanguin grâce à quatre enzymes, dont un manque à l’humain. Par exemple, une chèvre produit plus de 10 grammes de Vitamine C par 24 heures pour assurer ses fonctions vitales, et cette quantité s’accroît avec l’exercice, le stress et la maladie. Quand j’ai su, il y a 20 ans, que le soufre organique intervenait aussi dans la recette, je l’ai ajouté à ma supplémentation, car il est quasi absent de l’alimentation.

Pour évaluer les effets de ces molécules, j’ai depuis plus de 40 ans un formidable banc d’essai : mes deux matchs hebdomadaires comme gardien de but amateur au hockey. En effet, cette position fait bouger constamment — et en quelques fractions de seconde — l’ensemble du corps. Là où c’est devenu intéressant, c’est que j’ai continué à côtoyer de jeunes joueurs même si j’avançais en âge jusqu’à supporter sans difficulté un écart de plusieurs décennies. Mais je restais encore sur mon appétit en raison de malaises mineurs, notamment aux genoux, car ces charnières sont hyper sollicitées dans le feu de l’action. C’est là que j’ai ressorti il y a quelques mois mes documents sur le silicium, dont j’avais pourtant pris connaissance il y a belle lurette. J’en consommais de temps à autre en brèves cures, mais pas quotidiennement comme j’ai décidé de le faire désormais. Et je n’ai pas tardé à en ressentir les effets positifs. Quand tout s’améliore à presque 70 ans, on doit tenir un bon filon! J’avais aussi obtenu des résultats avec l’argile verte, qui, incidemment, est très riche en silice…

Un rôle aux multiples facettes

Le silicium se retrouve partout dans le corps humain, notamment dans les organes, la peau, les ongles, les cheveux et l’émail des dents. Ce minéral contribue particulièrement au maintien de l’élasticité et de la souplesse du tissu conjonctif ainsi qu’à l’intégrité du tissu réticulo-endothélial. Quand je constate l’importance de son rôle, comme on le voit dans la nature, je me demande ce qui arriverait à l’humain si sa carence prolongée — selon plusieurs sources, l’une des principales causes du vieillissement — était évitée.

Chez l’humain comme chez l’animal, le capital de silicium s’épuise graduellement avec les années, certains affirment que la décroissance débuterait dès l’adolescence! À partir de la quarantaine, ce déficit provoque un dessèchement important de la peau et l’apparition des rides. Reste à voir quelle est la biodisponibilité du silicium présent dans l’alimentation, car l’important n’est pas ce qu’on ingère, mais ce qu’on assimile. Voilà pourquoi la supplémentation devient pertinente pour se soustraire aux altérations du collagène, aux scléroses par calcification des tissus ainsi qu’à l’affaiblissement de la trame osseuse étant donné que le silicium entretient une relation étroite avec le calcium, dont il favorise la fixation, en collaboration avec le magnésium et la vitamine D. Le silicium protégerait aussi le système vasculaire puisqu’il est le constituant principal des parois des artères et veines riches en élastine. J’ignorais par ailleurs que ce minéral est indispensable à l’efficacité du système immunitaire et qu’il possède une action anti-inflammatoire.

La logique avant tout

Comme toujours dans mon approche, je fouille un peu partout à la recherche d’informations en écoutant également mon intuition et ma logique intérieure avant d’expérimenter, puis observer les résultats. J’ai coutume de ne me supplémenter que pour les nutriments que l’alimentation ne m’apporte pas en quantités suffisantes. Et encore faut-il déterminer quelles sont ces quantités, car les recommandations varient énormément. Pour ce qui est du silicium, mon côté logique me dit que si le quart de l’écorce terrestre est composé de silice et que je suis un microcosme de la planète sur laquelle je suis incarné, je n’adhère pas à une recommandation de quelques milligrammes par jour pour le poids d’un humain. Reste à voir quelle est la biodisponibilité du silicium présent dans l’alimentation. Car l’important n’est pas ce qu’on ingère, mais ce qu’on assimile.

Aussi, après moult recherches, j’avais opté à l’époque pour le silicium organique G5 obtenu par l’exposition du quartz à l’action de bactéries pour le rendre assimilable, notamment après avoir entendu de vive voix des témoignages étonnants, et malgré le scepticisme de la science à son égard. Je vais donc continuer à en consommer quelques cuillerées à soupe par jour pendant encore une année, puis observer ce qui se passe. Mon objectif est d’en arriver à me sentir encore mieux dans mon corps et accroître encore davantage mes performances en tant que gardien. En définitive, gardien de la santé!

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